A social franchise in health is a network of for-profit private health practitioners linked through contracts to provide socially beneficial services under a common brand. The early 21st century has seen considerable donor enthusiasm for promoting social franchises for the provision of reproductive health services. Based on a compendium of descriptive information on 45 clinical social franchises, located in 27 countries of Africa, Asia and Latin America, this paper examines their contribution to universal access to comprehensive reproductive health services. It finds that these franchises have not widened the range of reproductive health services, but have mainly focused on contraceptive services, and to a lesser extent, maternal health care and abortion. In many instances, coverage had not been extended to new areas. Measures taken to ensure sustainability ran counter to the objective of access for low-income groups. In almost two-thirds of the franchises, the full cost of all services had to be paid out of pocket and was unaffordable for low-income women. While standards and protocols for quality assurance were in place in all franchises, evidence on adherence to these was limited. Informal interviews with patients indicated satisfaction with services. However, factors such as difficulties in recruiting franchisees and significant attrition, franchisees' inability to attend training programmes, use of lay health workers to deliver services without support or supervision, and logistical problems with applying quality assurance tools, all raise concerns. The contribution of social franchises to universal access to reproductive health services appears to be uncertain. Continued investment in them for the provision of reproductive health services does not appear to be justified until and unless further evidence of their value is forthcoming. Dans la santé, une franchise sociale est un réseau de praticiens privés à but lucratif tenus par contrat d'assurer des services socialement bénéfiques sous une même marque. Au début du XXIe siècle, les donateurs ont encouragé avec beaucoup d'enthousiasme les franchises sociales pour les services de santé génésique. Se fondant sur un recueil d'informations descriptives relatives à 45 franchises sociales cliniques, situées dans 27 pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine, cet article examine leur contribution à l'accès universel à des services globaux de santé génésique. Il révèle que ces franchises n'ont pas élargi l'éventail de services de santé génésique, mais se sont principalement centrées sur la contraception et, dans une moindre mesure, les soins maternels et l'avortement. Dans de nombreux cas, la couverture n'avait pas été étendue à de nouvelles zones. Les mesures prises pour garantir la viabilité vont à l'encontre de l'objectif d'accès des groupes à faible revenu. Dans près des deux tiers des franchises, le coût total de l'ensemble des services devait être payé par les patients et était inabordable pour les femmes à faible revenu. Les normes et les protocoles d'assurance qualité étaient en place dans toutes les franchises, mais on dispose de données limitées sur leur observance. Des entretiens informels avec des patients ont indiqué qu'ils étaient satisfaits des services. Néanmoins, les difficultés pour recruter des franchisés et une certaine usure, l'incapacité des franchisés de suivre des programmes de formation, l'utilisation d'agents de santé profanes pour assurer des services sans soutien ni supervision et des problèmes logistiques pour appliquer les outils d'assurance qualité sont autant de facteurs préoccupants. La contribution des franchises sociales à l'accès universel aux services de santé génésique paraît incertaine. Il ne semble pas justifié de continuer d'investir en leur faveur pour la prestation de services de santé génésique, à moins que de nouvelles données ne prouvent leur utilité. Una franquicia social en salud es una red de profesionales de la salud particulares con fines de lucro, vinculados mediante contratos para ofrecer servicios de beneficio social bajo una marca en común. A principios del siglo XXI se ha visto un considerable entusiasmo por parte de donantes para promover las franquicias sociales para la prestación de servicios de salud reproductiva. Basado en un compendio de información descriptiva sobre 45 franquicias sociales clínicas, situadas en 27 países de Ãfrica, Asia y Latinoamérica, este artículo examina su contribución al acceso universal a los servicios integrales de salud reproductiva. Se encontró que estas franquicias no han ampliado la gama de servicios de salud reproductiva, sino que se han centrado principalmente en servicios de anticoncepción y, a menor grado, en servicios de salud materna y de aborto. En muchos casos, no se había extendido la cobertura a nuevas áreas. Las medidas tomadas para garantizar sostenibilidad eran contrarias al objetivo de acceso para grupos de bajos ingresos. En casi dos terceras partes de las franquicias, las pacientes tuvieron que pagar el costo total de todos los servicios, inasequible para mujeres de bajos ingresos. Aunque todas las franquicias habían establecido normas y protocolos para garantizar la calidad, había limitada evidencia de su cumplimiento. Las entrevistas informales con pacientes indicaron satisfacción con los servicios. No obstante, preocupan factores como las dificultades en reclutar franquiciados y una considerable amortización de puestos de trabajo, la imposibilidad de los franquiciados de asistir a programas de capacitación, el uso de trabajadores de la salud laicos para proporcionar servicios sin apoyo o supervisión, y los problemas logísticos aplicando las herramientas de garantía de la calidad. La contribución de franquicias sociales al acceso universal a los servicios de salud reproductiva parece ser incierta. A menos que surja más evidencia de su valor, no se justifica continuar invirtiendo en ellas para la prestación de servicios de salud reproductiva. [ABSTRACT FROM AUTHOR]