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Corrosion is one of the major durability problems that needs to be solve in order to extend the service life of a reinforced concrete structure. Within the APPLET project, in order to evaluate corrosion kinetics, the influences of both the concrete (sound or polluted) and the environmental conditions (controlled or outdoor) were studied. Four series of reinforced concrete prisms were made and aged depending on the degradation: none, chlorides in the mix, chlorides by wetting/drying cycles and carbonation. They were then exposed to seven environmental conditions based on different Temperature - Relative Humidity couples among them the natural outdoor weathering condition. Electrochemical characterizations (half-cell potential, linear polarisation resistance and corrosion rate) were carried on for each of the 140 prisms four times a year for more than 3 years. A database of more than 3000 values was delivered. Results were discussed based on different parameters such as degradation type, temperature, humidity and time.

Reinforcement corrosion is one of the major durability problems that need to be solved in order to extend the service life of a structure. It is influenced, on one hand, by the concrete itself, sound or polluted (chlorinated or carbonated), and on the other hand, by the environmental conditions (controlled or outdoor). To explore the influence of temperature and humidity, electrochemical characterisations (potential, linear polarisation resistance and corrosion rate) were carried out on reinforced concrete prisms. A database of more than 3000 values has been delivered. The results enabled us to deduce that both parameters have influences on each other. Moreover, considering the four concretes, the corrosion order obtained in controlled conditions may be different from the one obtained in outdoor conditions.

Ce dispositif comporte 25 placettes "qui se veulent représentatives des milieux dans lesquels elles se trouvent". Elles sont accessibles et renferment chacune jusqu'à 100 individus de C130 supérieure à 60 cm. La conception de ce dispositif comporte de nombreuses limites qui ne permettront pas un dépouillement "final" et ce dispositif devra donc être complété dans un proche avenir par des dispositifs complémentaires. Le présent document concerne uniquement les placettes localisées en forêt dense de basse et moyenne altitude.

Les rudes conditions du milieu limitent la végétation des atolls au cocotier et quelques arbres indigènes dont on indique ici la succession végétale

Les forêts tropicales et celles de l'hémisphère Sud sont vues comme des forêts de feuillus où l'existence de résineux surprend souvent. Ils donnent parfois de très grands arbres

Les rudes conditions du milieu limitent la végétation des atolls au cocotier et quelques arbres indigènes dont on indique ici la succession végétale

Les forêts tropicales et celles de l'hémisphère Sud sont vues comme des forêts de feuillus où l'existence de résineux surprend souvent. Ils donnent parfois de très grands arbres

Ce dispositif comporte 25 placettes "qui se veulent représentatives des milieux dans lesquels elles se trouvent". Elles sont accessibles et renferment chacune jusqu'à 100 individus de C130 supérieure à 60 cm. La conception de ce dispositif comporte de nombreuses limites qui ne permettront pas un dépouillement "final" et ce dispositif devra donc être complété dans un proche avenir par des dispositifs complémentaires. Le présent document concerne uniquement les placettes localisées en forêt dense de basse et moyenne altitude.

Par convention n°5937/90, la Province Nord de la Nouvelle Calédonie a confié au Centre Technique Forestier Tropical, la réalisation de l'inventaire forestier d'exploitation du massif d'ATEOU (2428 ha). Dès la mise en place du plan de sondage par une mission biométrie du CTFT/Siège, les travaux ont pu démarrer. Ils ont été réalisés en deux phases (defin1990 à début 1991). La phase de terrain s'est déroulée dans d'excellentes conditions météorologiques. L'embauche de cinq ouvriers à la tribu permis de constituer les équipes de layonnage et de comptage. La rédaction du rapport a été réalisée au CTFT/NC, mais le CTFT/Siège s'est chargé des dépouillements informatiques. Les résultats montrent que la forêt doit être subdivisée en trois unités : La zone Ouest qui couvre 817ha, entre 300 et 600 mètres d'altitude. Elle est difficilement accessible et pauvre en essences principales. Elle porte une forêt en cours de reconstitution, qui semble inexploitable dans le contexte actuel. Le versant Est s'étendant sur 954 ha, entre 300 et 1000 mètres d'altitude. L'accessibilité et la richesse en bois recherchés sont moyennes à faibles. La forêt dans sa composition définitive est en place mais encore en mélange avec les espèces pionnières. Seule la partie supérieure à 600m d'altitude (couvrant 500 ha) pourrait éventuellement être exploitée, Le "plateau" côte Ouest représentant 657 ha, entre 600 et 1000 mètres d'altitude. Il est riche en gros bois et très facilement accessible à partir de la tribu. Il porte une forêt dense humide classique. Cependant, les hêtres et les ralias constituent l'essentiel du volume des essences principales. Même dans cette zone les houps, les kaoris et les tamanous sont très rares. Le volume brut moyen sur l'ensemble du massif, des arbres de plus de 40cm de diamètre, représente 174 m3/ha et il augmente avec l'altitude. Il est très fort pour ce type de forêts en Nouvelle-Calédonie. Le volume commercial est de 119 m3/ ha, sur l'ensemble du massif. Au vu de ces

Les ptéridophytes de la Nouvelle-Calédonie regroupent quelque 200 espèces en 26 familles. La famille des Cyatheacées avec 3 genres et 10 espèces renferme les fougères arborescentes. La plus grande fougère jusqu'à présent mesurée en Nouvelle-Calédonie a une hauteur de 28 m

Les ptéridophytes de la Nouvelle-Calédonie regroupent quelque 200 espèces en 26 familles. La famille des Cyatheacées avec 3 genres et 10 espèces renferme les fougères arborescentes. La plus grande fougère jusqu'à présent mesurée en Nouvelle-Calédonie a une hauteur de 28 m

Par convention n°5937/90, la Province Nord de la Nouvelle Calédonie a confié au Centre Technique Forestier Tropical, la réalisation de l'inventaire forestier d'exploitation du massif d'ATEOU (2428 ha). Dès la mise en place du plan de sondage par une mission biométrie du CTFT/Siège, les travaux ont pu démarrer. Ils ont été réalisés en deux phases (defin1990 à début 1991). La phase de terrain s'est déroulée dans d'excellentes conditions météorologiques. L'embauche de cinq ouvriers à la tribu permis de constituer les équipes de layonnage et de comptage. La rédaction du rapport a été réalisée au CTFT/NC, mais le CTFT/Siège s'est chargé des dépouillements informatiques. Les résultats montrent que la forêt doit être subdivisée en trois unités : La zone Ouest qui couvre 817ha, entre 300 et 600 mètres d'altitude. Elle est difficilement accessible et pauvre en essences principales. Elle porte une forêt en cours de reconstitution, qui semble inexploitable dans le contexte actuel. Le versant Est s'étendant sur 954 ha, entre 300 et 1000 mètres d'altitude. L'accessibilité et la richesse en bois recherchés sont moyennes à faibles. La forêt dans sa composition définitive est en place mais encore en mélange avec les espèces pionnières. Seule la partie supérieure à 600m d'altitude (couvrant 500 ha) pourrait éventuellement être exploitée, Le "plateau" côte Ouest représentant 657 ha, entre 600 et 1000 mètres d'altitude. Il est riche en gros bois et très facilement accessible à partir de la tribu. Il porte une forêt dense humide classique. Cependant, les hêtres et les ralias constituent l'essentiel du volume des essences principales. Même dans cette zone les houps, les kaoris et les tamanous sont très rares. Le volume brut moyen sur l'ensemble du massif, des arbres de plus de 40cm de diamètre, représente 174 m3/ha et il augmente avec l'altitude. Il est très fort pour ce type de forêts en Nouvelle-Calédonie. Le volume commercial est de 119 m3/ ha, sur l'ensemble du massif. Au vu de ces

Conformément à la Convention passée entre le CTFT et la CCCE, cette mission s'inscrit dans le cadre normal des activités du programme d'expérimentation forestière mené par le Centre technique forestier tropical sur l'ile de Rarotonga. Le financement est assuré par la CCCE. Il s'agit de la troisième mission sur les cinq missions prévues. Il s'agissait plus particulièrement de : réceptionner les travaux définitifs ; réceptionner les travaux d'entretiens des essais réalisés par le Service forestier local ; mener une campagne d'observations qualitatives des essais préciser les travaux forestiers à mener en 1989 (en relation avec le Service forestier local) ; remettre au ministère de l'Agriculture des iles Cook un exemplaire le rapport de mise en place des essais ; d'inspecter le matériel du CTFT laissé sur place (au ministère de l'Agriculture) ; prendre des renseignements aussi complets que possible sur les projets de centrales dendrothermiques existants pour les iles de Mauke et Atiu de se rendre compte des possibilités de biomasses sur ces îles. Le passage en Polynésie française, comme à chaque mission, permet : d'informer l'agence de Papeete de la CCCE de l'état d'avancement des essais ; de rencontrer les responsables de la Sedep sur le même objet.

Conformément à la convention passée entre le Centre technique forestier tropical et la Caisse centrale de coopération économique, cette mission s'inscrit dans le cadre normal des activités du programme d'expérimentation forestière mené par le Centre technique forestier tropical sur l'ile de Rarotonga. Le financement est assuré par la Caisse centrale de coopération économique. Il s'agit de la quatrième mission sur les cinq missions prévues. Il s'agissait plus particulièrement de : réceptionner les travaux d'entretiens des essais réalisée par le service forestier local ; mener une campagne de mesures des essais et d'observations qualitatives : préciser les travaux à mener pour les 12 mois à venir (en relation avec le service forestier local) ; présenter au ministère de l'agriculture des iles Cook ; l'arrivée prochaine de monsieur Yves Ehrhart et de régler les formalités de sa venue, ainsi que de la poursuite des activités forestières que le Centre technique forestier tropical se propose de mener dans l'archipel dans les trois années à venir sur financement Caisse centrale de coopération économique ; inspecter le matériel du Centre technique forestier tropical laissé en gardiennage au ministère de l'Agriculture. Le passage en Polynésie française, comme à chaque mission, permet : d'informer l'agence de Papeete de la Caisse centrale de coopération économique de l'état d'avancement ; de rencontrer les responsables de la Sedep sur le même objet.

Cette mission s'inscrivait dans le cadre normal des activités du programme d'expérimentation forestière mené par le CTFT sur l'île de Rarotonga, et financé par la CCCE. Il s'agissait plus particulièrement de : réceptionner les travaux menés ; analyser et évaluer les travaux restants à mener ; prendre les dispositions pour la poursuite de ces travaux, le suivi des essais ; mener une campagne de mesures et de dépouillements des essais en place ; rencontrer les responsables de la Sedep à Tahiti, de façon à faire le point sur l'état d'avancement sur le projet de centrale dendrothermique et d'évaluer ses possibilités d'intervention sur les essais forestiers ; rencontre avec la Caisse centrale de coopération économique sur le même objet rencontre avec les techniciens forestiers du Service de l'économie rurale de Polynésie française.

L'objet de la mission était d'apporter un appui à un chercheur affecté sur l'île de Rarotonga (Iles Cook), à savoir : préciser son programme de travail ; préciser un budget de fonctionnement pour la durée de son séjour ; trouver une structure d'accueil officielle.