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Background: In humans, the acidic pH of the ear canal plays a protective role against infection and a change towards alkalinity of the external auditory canal (EAC) is a local factor in the progression of acute to chronic otitis externa (OE). The use of acidic preparations alone for treatment of OE without concurrent antibiotic use is well-documented in humans. In dogs, only one study has investigated the EAC pH in healthy dogs and in dogs with OE, and investigations to understand the role of EAC pH in the pathogenesis of canine OE are lacking. Hypothesis/objectives: To obtain physiological EAC pH values in beagle dogs. To develop a model of re-acidification of the EAC in dogs and to investigate how an acidic solution may accelerate the return to a physiological pH. Animals: Ten healthy beagle dogs in a laboratory setting. Materials and Methods: A model of re-acidification of the EAC was developed by instillation of a pH 10.1 phosphate-buffered saline (PBS) solution and the subsequent acidic effect of an ear cleaner containing lipacids was evaluated in this model. Results: Mean physiological EAC pH was 6.12 (± 0.36). EAC re-acidification took up to 9 h in this model. Mean pH values dropped immediately to 6.38 (± 0.27) on ears treated with an acidic ear cleaner. No abrupt drop was observed of the mean pH values for the control ears. Conclusion and clinical importance: This study confirms that physiological EAC pH in dogs is acidic. This model of re-acidification of the EAC pH allows investigations on acidic properties of topical ear products in healthy ears.

Somatic cell counts and bacteriological examinations were measured in 28 camel milk samples from 2 farms, one with milking machine (farm A) and the second with hand milking (farm B). The milk was analyzed for 6 months after the parturition, every month, the first one occurring one week approximately after delivery. The somatic cell count was higher at the first sampling in the two farms but significantly more in farm B. The microbiological contamination was also higher in farm B (37% samples were contaminated) than in farm A (12%). The somatic cell count decreased all along the lactation stage and increased with the parity but the trends were not significant due to the high variability of the values. On average, the normal level of somatic cell counts is low compared to cow.

Somatic cell counts and bacteriological examinations were measured in 28 camel milk samples from 2 farms, one with milking machine (farm A) and the second with hand milking (farm B). The milk was analyzed for 6 months after the parturition, every month, the first one occurring one week approximately after delivery. The somatic cell count was higher at the first sampling in the two farms but significantly more in farm B. The microbiological contamination was also higher in farm B (37% samples were contaminated) than in farm A (12%). The somatic cell count decreased all along the lactation stage and increased with the parity but the trends were not significant due to the high variability of the values. On average, the normal level of somatic cell counts is low compared to cow.

L'étude a consisté à évaluer les facteurs de variation de la qualité du lait de vache et à les mettre en relation avec les pratiques d'élevage adoptées dans cinq fermes bovines situées en zone suburbaine au Maroc. Un suivi d'élevage détaillant les modes de conduite des vaches a été adopté. En parallèle, douze prélèvements mensuels de lait de mélange ont été réalisés par ferme et ont été analysés pour leurs qualités physiques et chimiques (pH, température, densité, taux butyreux et protéique...) et hygiéniques. Les résultats montrent le caractère "hors-sol" de la production laitière, largement dépendant des concentrés alimentaires. Le taux butyreux moyen était inférieur à 35 g/kg dans 2 des 5 fermes étudiées. En revanche, le taux protéique était plus stable, illustrant les utilisations massives et généralisées des aliments concentrés. La qualité hygiénique était mauvaise pour tous les échantillons considérés et peu influencée par la réfrigération. Globalement, les résultats témoignent de la variabilité importante de la qualité du lait et de ses relations aux modes d'élevage. Une typologie des échantillons de lait a été élaborée, afin de synthétiser les variations des paramètres du lait. Ces résultats conduisent à proposer des voies de rémunération des éleveurs en fonction des caractéristiques du lait pour inciter les producteurs de la filière à adopter une politique de qualité.

L'étude a consisté à évaluer les facteurs de variation de la qualité du lait de vache et à les mettre en relation avec les pratiques d'élevage adoptées dans cinq fermes bovines situées en zone suburbaine au Maroc. Un suivi d'élevage détaillant les modes de conduite des vaches a été adopté. En parallèle, douze prélèvements mensuels de lait de mélange ont été réalisés par ferme et ont été analysés pour leurs qualités physiques et chimiques (pH, température, densité, taux butyreux et protéique...) et hygiéniques. Les résultats montrent le caractère "hors-sol" de la production laitière, largement dépendant des concentrés alimentaires. Le taux butyreux moyen était inférieur à 35 g/kg dans 2 des 5 fermes étudiées. En revanche, le taux protéique était plus stable, illustrant les utilisations massives et généralisées des aliments concentrés. La qualité hygiénique était mauvaise pour tous les échantillons considérés et peu influencée par la réfrigération. Globalement, les résultats témoignent de la variabilité importante de la qualité du lait et de ses relations aux modes d'élevage. Une typologie des échantillons de lait a été élaborée, afin de synthétiser les variations des paramètres du lait. Ces résultats conduisent à proposer des voies de rémunération des éleveurs en fonction des caractéristiques du lait pour inciter les producteurs de la filière à adopter une politique de qualité.

Les ectoparasites du bétail sont des insectes ou des acariens hématophages (glossines, tabanidés, stomoxes, tiques, etc.) présents de manière plus ou moins durable sur la peau du bétail. Ils provoquent des effets directs (irritation, lésion cutanée, spoliation sanguine, etc.) et des effets indirects, dont la transmission d'agents pathogènes qui ont un impact très important sur la santé des animaux. Les traitements épicutanés consistent à déposer sur la peau des animaux des insecticides et/ou acaricides selon diverses modalités. Ils permettent une action simultanée contre les principaux ectoparasites: les tiques et les glossines (figure 1). Pour la lutte contre les tiques, ces traitements sont très répandus et aisément mis en ouvre. Ils peuvent s'appliquer aussi bien à l'individu qu'à l'ensemble du troupeau. Pour la lutte contre les glossines, les traitements épicutanés sont un bon complément aux autres modes de lutte que sont la pose d'écrans et/ou de pièges imprégnés d'insecticides. Ils requièrent dans ce cas une approche communautaire et participative des éleveurs. Les traitements épicutanés bénéficient d'une bonne perception par les éleveurs qui peuvent rapidement constater leur efficacité, ce qui facilite leur adoption.

Les ectoparasites du bétail sont des insectes ou des acariens hématophages (glossines, tabanidés, stomoxes, tiques, etc.) présents de manière plus ou moins durable sur la peau du bétail. Ils provoquent des effets directs (irritation, lésion cutanée, spoliation sanguine, etc.) et des effets indirects, dont la transmission d'agents pathogènes qui ont un impact très important sur la santé des animaux. Les traitements épicutanés consistent à déposer sur la peau des animaux des insecticides et/ou acaricides selon diverses modalités. Ils permettent une action simultanée contre les principaux ectoparasites: les tiques et les glossines (figure 1). Pour la lutte contre les tiques, ces traitements sont très répandus et aisément mis en ouvre. Ils peuvent s'appliquer aussi bien à l'individu qu'à l'ensemble du troupeau. Pour la lutte contre les glossines, les traitements épicutanés sont un bon complément aux autres modes de lutte que sont la pose d'écrans et/ou de pièges imprégnés d'insecticides. Ils requièrent dans ce cas une approche communautaire et participative des éleveurs. Les traitements épicutanés bénéficient d'une bonne perception par les éleveurs qui peuvent rapidement constater leur efficacité, ce qui facilite leur adoption.

Quelque soit le type de production, la pathologie rencontrée à la Réunion est très proche de celle des zones tempérées. Il s'agit dans la majorité des cas de maladies directement liées aux conditions d'élevage des animaux - hygiène de la traite et du vêlage, alimentation, stress et environnement. En élevage laitier, les mammites, métrites, rétentions placentaire, boiteries, difficultés de vêlage et troubles digestifs sont de manière quasi constante les troubles les plus fréquemment observés. La période du post-partum constitue une phase de sensibilité particulière aux infections (phase de perturbation hormonale et métabolique maximale) : 30 % des mammites et 46 % des métrites surviennent pendant le premier mois de lactation; 21 % des mammites apparaissant pendant la première semaine de lactation. Ce constat, associé à une fréquence élevée des troubles du vêlage et des mammites pour le premier rang de lactation, montre l'importance de l'hygiène du premier vêlage et de la traite dans les tous premiers jours de lactation. En élevage allaitant, les troubles de la reproduction constituent plus de la moitié des cas de pathologie rencontrés chez les mères. L'infertilité est fréquente : 48 % des intervalles vêlage-vêtage sont supérieurs à 365 jours. Chez les veaux, les atteintes digestives, les états de faiblesse (fièvre, amaigrissement anoxie) et la mortinatalité sont les principales dominantes. Les veaux sont les plus fréquemment touchés par le parasitisme digestif Chez les bovins à l'engrais, les troubles respiratoires sont les plus fréquents. lis apparaissent principalement dans le mois qui suit l'arrivée en atelier d'engraissement. Ils correspondent le plus souvent à l'expression clinique d'une infection par le virus respiratoire syncytial bovin contractée au centre d'allottement, qui s'extériorise à la suite du stress de la mise à l'engrais et qui est aggravée par l'infection simultanée par le virus de la maladie des muqueuses. La vaccination contre ces deux infection

Les projets de Développement ont souvent accordé une importance insuffisante aux soins et à l'alimentation des boeufs de trait, à leurs manipulation, dressage et conduite, aux harnachements, à la finition et à la commercialisation pour la boucherie. Des priorités d'intervention sont proposées

Les projets de Développement ont souvent accordé une importance insuffisante aux soins et à l'alimentation des boeufs de trait, à leurs manipulation, dressage et conduite, aux harnachements, à la finition et à la commercialisation pour la boucherie. Des priorités d'intervention sont proposées

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