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The importance of chestnut coppice stands in northwestern Spain, together with the almost total lack of growth and yield studies, makes the development of applicable tools to facilitate forest management necessary. In the present study two management tools were developed: variable-density yield tables and stand density management diagrams (SDMDs). For constructing the yield tables, a dominant height growth model and a stand density model were fitted. The dominant height growth model was necessary for estimating site index, i.e., for indirectly assessment of site quality. A stand density model was necessary because the silvicultural stages of the stands were very heterogeneous. Both yield tables and SDMDs require fitting models for predicting quadratic mean diameter and growing stock (total or merchantable stand volume and/or total or component stand biomass). Eight yield tables were constructed considering two stand density levels (high and low) and four site indices (8, 12, 16 and 20 m). Rotation lengths producing maximum sustainable yield ranged between 25 and 45 years depending on stand density class and site index. Average growth at these rotation lengths varied from 38.1 m³ ha-1 year-1 for the highest density and best quality, to 5.2 m³ ha-1 year-1 for the lowest density and poorest quality. Both the yield tables and the SDMDs developed allow estimation of total and merchantable stand volume, total and component stand biomass and also facilitate the design of silvicultural schedules. La importancia del monte bajo de castaño en el noroeste de España, junto con la falta de estudios de crecimiento y producción, hacen necesario el desarrollo de herramientas que faciliten su gestión. En este estudio se han desarrollado dos herramientas de gestión: tablas de producción de densidad variable y diagramas de manejo de densidad (DMDs). Para la construcción de las tablas de producción se ajustaron un modelo de altura dominante y uno de densidad de masa. El modelo de altura dominante proporciona el índice de sitio, es decir, estimar indirectamente la calidad de estación. Se necesitó un modelo de densidad porque los escenarios selvícolas eran muy heterogéneos. Tanto las tablas de producción como los DMDs requieren el ajuste de modelos de predicción de diámetro medio cuadrático y stock de crecimiento (volumen total y comercial de masa y/o biomasa total o por componentes). Se construyeron ocho tablas de producción considerando dos niveles de densidad de masa (alta y baja) y cuatro índices de sitio (8, 12, 16 y 20 m). El turno de máxima renta en especie varió entre 25 y 45 años según la clase de densidad y el índice de sitio. El crecimiento medio osciló desde 38,1 m³ ha-1 año-1 para las densidades más elevadas y mejores calidades, hasta 5,2 m³ ha-1 año-1 en las densidades más bajas y peores calidades. Las herramientas de gestión desarrolladas permiten la estimación del volumen total y comercial de masa, biomasa total y por componentes y también facilitan el diseño de esquemas selvícolas.

Phenotypes of Leiria and Tamrabta plantlets. Tammrabta in the left side and Leiria in the right side. Figure S2. Location of the provenances, Leiria and Tamrabta. Map was adapted from the European Forest Genetic Resources Programme (EUFORGEN, http://www.euforgen.org/ ). Figure S3. Multidimensional scaling (MDS) plot for microarray samples. Figure S4. KEGG metabolism overview map. Note S1. Limma R script. Note S2. EdgeR R script. Note S3. Gene dataset used in the KAAS software. (PDF 907 kb)

La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs politiques, gestionnaires et scientifiques auront entre leurs mains des outils adaptés à la gestion de nombreux risques menaçant la forêt dans leurs régions.

National audience; La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs politiques, gestionnaires et scientifiques auront entre leurs mains des outils adaptés à la gestion de nombreux risques menaçant la forêt dans leurs régions.

National audience; La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs politiques, gestionnaires et scientifiques auront entre leurs mains des outils adaptés à la gestion de nombreux risques menaçant la forêt dans leurs régions.

El estudio de la reproducción parece haber sido un tema tabú en muchos programas de mejora y conservación de especies arbóreas forestales. Sin embargo, los caracteres reproductivos están muy ligados a la eficacia biológica, por lo que el conocimiento de los efectos genéticos y ambientales en su variación es fundamental para dirigir el uso de los recursos genéticos para distintos objetivos. Concretamente las especies mediterráneas como Pinus pinaster y P. halepensis, debido a su precocidad, se prestan al estudio fiable de caracteres reproductivos en ensayos genéticos de campo. Mediante observaciones cuantitativas de tamaño y reproducción femenina y masculina, hemos constatado que, si bien el inicio de la reproducción está muy ligado a un tamaño umbral, esta relación está condicionada por el genotipo (procedencias o familias). Además, el efecto del sitio -plasticidad fenotípica- es muy marcado, con un menor tamaño de reproducción en ambientes desfavorables. Este efecto en P. pinaster tiende a ser bastante semejante entre genotipos (escasa interacción genotipo x ambiente). La dioecia de estas especies aporta un nuevo factor de complejidad e interés al existir variabilidad en cómo cada individuo comienza su etapa reproductiva en P. pinaster (no así en P. halepensis), y cómo configura su ratio de reproducción masculina/femenina. Otra cuestión relevante es el estudio de incompatibilidades entre crecimiento y reproducción tanto a nivel somático como genético. Los resultados muestran un antagonismo entre ambos caracteres, a falta de determinar con más claridad el papel del ambiente en este compromiso. Por último, los resultados demuestran que el tamaño de inicio de reproducción y la fertilidad posterior pueden modificarse significativamente por selección direccional. La elevada varianza genética aditiva lo sugiere en todos los ensayos, pero además contamos con los resultados para un caso de estudio en un ensayo de progenies de P. pinaster. Aquí, las progenies de madres seleccionadas por su fuste recto, poca ramosidad y altas tasas de crecimiento se diferencian de las madres testigo de la misma masa en una significativa disminución de la capacidad reproductiva: mayor tamaño necesario para iniciar la reproducción y menor producción de conos para el mismo tamaño.

Life histories in Mediterranean pines are well known to be closely related to different fire and disturbance regimes. Variation in these factors is also reflected in reproductive strategies at the specific and intraspecific level. Specifically, the onset of reproduction is a crucial stage for any organism because it has profound implications on fitness. In this paper we focused on the intraspecific variation and plasticity in the threshold size for reproduction and reproductive allocation in two Mediterranean pines, assessed at the onset of reproduction, when trade-offs between reproduction and growth are expected to be greater. Replicated common garden provenance and progeny trials of Aleppo pine and Maritime pine were used to estimate genetic parameters for reproduction and vegetative growth, as well as variation in plasticity in reproductive strategies at the intraspecific level. In both species, high variation among populations was found for both threshold size for reproduction and for reproductive allocation. Reproductive allocation was also highly variable within populations and showed moderate to high values of heritability and high coefficients of additive genetic variation. These results indicate a high genetic control of reproductive traits, while high additive genetic variation is maintained, allowing to face selective pressures. Moreover, reproductive strategies although plastic, showed low genotype x environment interaction, and intraspecific variation was highly consistent across trial sites both at the population and the family levels. The former data confirm the strong genetic control of reproductive traits in these species. Finally, the fact that Aleppo pine starts its reproductive phase as female while Maritime pine can start reproducing either as male or female deserves further attention., Las estrategias de historia vital en pinos mediterráneos están estrechamente ligadas a diversos regímenes de incendios y perturbaciones. A su vez, la variabilidad de esos factores también se ve reflejada en las estrategias reproductivas a niveles inter e intraespecíficos. Concretamente, el comienzo de la reproducción es una etapa crucial para cualquier organismo debido a su profunda influencia en la fitness. Este trabajo se enfoca en el estudio de la variabilidad intraespecífica y la plasticidad en el tamaño umbral de reproducción y la asignación reproductiva en dos pinos mediterráneos. El estudio se realizó durante el comienzo de la fase reproductiva, momento en que se estima que los trade-offs entre reproducción y crecimiento son de mayor importancia. Se utilizaron ensayos multi-sitio de procedencias y progenies de pino carrasco y pino negral para estimar los parámetros genéticos de caracteres reproductivos y de crecimiento vegetativo, así como para conocer la variabilidad en la plasticidad de las estrategias reproductivas a nivel intraespecífico. En ambas especies se halló una alta variabilidad entre poblaciones para el tamaño umbral de reproducción y para la asignación reproductiva. La asignación reproductiva también fue altamente variable dentro de poblaciones y mostró valores de heredabilidad de moderados a altos y altos coeficientes de varianza genética aditiva. Estos resultados indican un alto control genético de los rasgos reproductivos, mientras se mantiene una alta varianza genética, permitiendo afrontar futuras presiones selectivas. Además, a pesar de la existencia de plasticidad en las estrategias reproductivas, éstas mostraron una baja interacción genotipo x ambiente, y la variación intraespecífica fue acorde en los diferentes lugares de ensayo tanto a nivel poblacional como familiar. Los datos anteriores confirman el alto control genético de los rasgos reproductivos en estas especies. Finalmente, el hecho de que el pino carrasco comience su fase reproductora como hembra mientras que el pino negral pueda comenzar su reproducción bien como macho o bien como hembra, merece una atención más detallada.

International audience; Interpopulation variation in key functional traits of Pinus pinaster Ait. is well recognized. However, the relative importance of drought tolerance to explain this regional variation in the species remains elusive.* Here, we raise the question whether water availability constitutes a likely driver of regional variation in biomass allocation, growth and morphological traits of ten populations that cover the distribution range of P. pinaster. We carried out an experiment where seedlings of five families per population were submitted to two contrasting watering treatments. * The effects of water availability and population were significant for relative diameter and height growth rate, biomass allocation and number of lateral stems and dwarf shoots. Total dry mass significantly differed between watering treatments but it did not among populations. Populations could be clustered into four main groups. Root mass fraction explained most of the variation and significantly correlated to altitude but not to aridity.* The geographical pattern of genetic variation found in morphology and biomass allocation did not translate into population differences in drought tolerance or phenotypic plasticity to water availability, indicating that water availability is not a likely driver of the regional variation observed in the studied traits of P. pinaster at the seedling stage.; La variabilité de traits fonctionnels clés entre populations de Pinus pinaster Ait. est bien connue. Cependant, l'importance relative de la tolérance à la sécheresse pour expliquer cette variabilité régionale reste difficile à cerner.* Ici, nous testons l'hypothèse selon la quelle la disponibilité en eau constitue un moteur des variations régionales, de répartition de biomasse, de croissance et de traits morphologiques dans dix populations qui couvrent la zone de répartition de P. pinaster. Nous avons mené une expérience où les semis de cinq familles par population ont été soumis à deux régimes d'irrigation contrastés.* Les effets de la disponibilité en eau et de la population ont été importants sur le diamètre et le taux relatif de croissance en hauteur, la répartition de la biomasse et le nombre de tiges latérales et de pousses courtes. La masse sèche totale différait sensiblement entre les traitements d'arrosage, mais pas entre les populations. Les populations pourraient être regroupées en quatre groupes principaux. La fraction de masse racinaire expliquait la plupart des variations et est significativement corrélée à l'altitude mais pas à l'aridité.* La répartition géographique de la variation génétique de morphologie et de répartition de la biomasse, ne se traduit pas en différences de résistance à la sécheresse ou de plasticité phénotypique à la disponibilité en eau. Cela indique que la disponibilité en eau n'est pas un moteur des variations régionales observées dans les traits foinctionnels de P. pinaster au stade semis.

17 Pág., A decade of genetic association studies in multiple organisms suggests that most complex traits are polygenic; that is, they have a genetic architecture determined by numerous loci, each with small effect-size. Thus, determining the degree of polygenicity and its variation across traits, environments and time is crucial to understand the genetic basis of phenotypic variation. We applied multilocus approaches to estimate the degree of polygenicity of fitness-related traits in a long-lived plant (Pinus pinaster Ait., maritime pine) and to analyse this variation across environments and years. We evaluated five categories of fitness-related traits (survival, height, phenology, functional, and biotic-stress response) in a clonal common-garden network planted in contrasted environments (over 20,500 trees). Most of the analysed traits showed evidence of local adaptation based on Qst -Fst comparisons. We further observed a remarkably stable degree of polygenicity, averaging 6% (range of 0%-27%), across traits, environments and years. We detected evidence of negative selection, which could explain, at least partially, the high degree of polygenicity. Because polygenic adaptation can occur rapidly, our results suggest that current predictions on the capacity of natural forest tree populations to adapt to new environments should be revised, especially in the current context of climate change., This study was funded by the Spanish Ministry of Economy and Competitiveness through projects RTA2010-00120-C02- 02 (CLONAPIN), CGL2011-30182- C02- 01 (AdapCon) and AGL2012-40151- C03- 02 (FENOPIN). The study was also supported by the “Initiative d’Excellence (IdEx) de l’Université de Bordeaux - Chaires d'installation 2015” (EcoGenPin) and the European Union's Horizon 2020 research and innovation programme under grant agreement No 773383 (B4EST)