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On trouve, enclavés dans les vieux terrains cristallophylliens du centre de la France, des blocs de serpentine. Ces blocs sont entourés, d'une manière constante, d'auréoles minéralogiquement différenciées qui traduisent une double diffusion des éléments chimiques entre enclaves et gneiss encaissants. Ces enclaves serpentineuses, toujours liées à des migmatites, peuvent être considérées comme provenant de la fragmentation et de la digestion partielle, lors de la migmatisation, de petits massifs de péridotites. Au Châtelet, les blocs de serpentine ont été transformés secondairement en quartzite à fuchsite par un métasomatose due à la circulation de solutions hydrothermales aurifères dans des filons voisins., Chenevoy Maurice. Les enclaves de serpentine dans les gneiss du Massif Central français. In: Bulletin de la Société française de Minéralogie et de Cristallographie, volume 73, 1-3, 1950. pp. 13-26.