Cendrine Mony, Achim Quaiser, Philippe Vandenkoornhuyse, Sabrina Pernet, Marine Biget, Olivier Jambon, Véronique Chable, Marc Aubry, Ecosystèmes, biodiversité, évolution [Rennes] (ECOBIO), Université de Rennes (UR)-Institut Ecologie et Environnement (INEE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes (OSUR), Université de Rennes (UR)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), UMS 3343 (OSU), Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes (OSUR), Université de Rennes (UR)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Université de Rennes (UR)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Biodiversité agroécologie et aménagement du paysage (UMR BAGAP), Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-INSTITUT AGRO Agrocampus Ouest, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), This work was supported by the \'Agence Nationale de la Recherche et de la Technologie' (ANRT) through an industrial CIFRE agreement between Château Palmer, Château Latour, Sovivins, Pépinière de Salettes and the University of Rennes 1 (Agreement N° 2017/1579)., Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes (OSUR)-Institut Ecologie et Environnement (INEE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES), AGROCAMPUS OUEST, and Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)
International audience; Microorganisms associated with plants are determinant for their fitness, but also in the case of vine grapes, for the quality and quantity of the wine. Plant microbiota is, however highly variable in space despite deterministic recruitment from the soil reservoir. Therefore, understanding the drivers that shape this microbiota is a key issue. Most studies that have analysed microorganisms associated with vines have been conducted at large scales (e.g., over 100 km) and have analysed the bulk soil and the rhizosphere. In this study, we focused on the root-microbiota endosphere, the most intimate fraction of microorganisms associated with plants. We sampled vine roots in 37 fields distributed throughout a vineyard to investigate drivers shaping the grapevine microbiota at the alpha-(i.e., within-field) and gamma-(i.e., between-field) diversity scales. We demonstrated that vine endospheric microbiota differed according to both the edaphic and plant-specific parameters including cultivar type and age. This work supports the idea of an existing microbial terroir occurring within a domain and offers a new perspective for winemakers to include the microbial terroir in their management practices.