1. Factors affecting regeneration from root fragments in two Physalis species
- Author
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Adan E. Abdullahi and Paul B. Cavers
- Subjects
biology ,Physalis ,Forestry ,Plant Science ,biology.organism_classification - Abstract
Le coqueret glabre (Physalis virginiana var. subglabrata) et le coqueret hétérophylle (P. heterophylla) sont des mauvaises herbes indigènes, devenant plus répandues dans le sud de l'Ontario. Leur succès est dû en grande partie à la multiplication végétative, surtout lors de la dispersion des fragments racinaires pendant le travail du sol. Des fragments racinaires de longueurs différentes, échantillonnés à différents stades du cycle vital et provenant de parties différentes du système racinaire, furent plantés à différentes profondeurs et orientés en différentes positions, afin de déterminer le pourcentage de régénération sous des conditions naturelles et en serre. Aucun des fragments laissés à la surface du sol ne s'est régénéré. La régénération la plus rapide s'est produite à de faibles profondeurs (5 cm). La longueur minimum à laquelle la régénération fut observée était 2,5 cm. Le pourcentage maximum de régénération fut obtenu chez les fragments d'une longueur de 10 cm. Pour les deux espèces, l'orientation des fragments n'avait aucune influence sur la capacité de régérération, ni le temps requis pour se régénérer. Pour les deux espèces, les fragments échantillonnés lors de la dispersion des fruits ont montré une régénération réduite (durant la même saison) comparativement à ceux échantillonnés tôt pendant le stade végétatif. Les fragments racinaires prélevés près du collet ont démontré le pourcentage de régénération le plus faible. Les fragments présentant des bourgeons lors de la plantation se sont régénérés plus rapidement que ceux dépourvus de bourgeons. En serre et sous conditions naturelles, les plantules de coqueret glabre ont émergé avant celles du coqueret hétérophylle. Ces résultats suggèrent que la réduction des infestations de coqueret serait possible en rapportant les fragments en surface lors du travail du sol., Smooth ground-cherry (Physalis virginiana var. subglabrata) and clammy ground-cherry (P. heterophylla) are native weeds that are becoming more common in arable land in southern Ontario. Much of their success stems from vegetative propagation, especially after dispersal of root fragments during cultivation. Root fragments of different lengths, collected at different life cycle stages, from different parts of the root System and replanted at different depths and orientations in the soil, were tested for regeneration in the field and the greenhouse. No fragments left on the soil surface regenerated. Shallow (5 cm) burial led to the fastest regeneration. Fragments as short as 2.5 cm regenerated but the highest percentage regeneration was from fragments 10- cm long. Orientation had no effect on the capacity of root fragments to regenerate nor on the time taken to regenerate in either species. In both species, fewer root fragments sampled from plants at the fruit dispersal stage regenerated in the same season than fragments obtained at the early vegetative stage. Root fragments obtained from parts of the root System closest to the crown had the least regeneration. Root fragments with preformed visible buds at planting time regenerated faster than those with no preformed buds. In both the greenhouse and the field, smooth ground-cherry shoots emerged faster than those of clammy ground-cherry. These results suggest that reduction in ground-cherry infestations could be achieved by cultivating and dragging fragments to the surface.
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