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Given the fact that the war-ravaged country of Afghanistan has committed itself to sustainable rural and agricultural development through the cooperative route, the present dissertation, seeing lackluster performance of agricultural cooperatives in the post-conflict era, decided to attempt to reverse this trend at least in terms of intellectual discourse. The main objective of this thesis is to analyze, both theoretically and empirically, the condition of governance structure in Afghan agricultural cooperatives, to understand the cooperatives from the viewpoint of their stakeholders and also to study the role of foreign aid into the cooperatives in the current context of Afghan agriculture. Accordingly, attempts are made to achieve a better governance of the Afghan agricultural cooperatives, which will make them robust thus avoiding large-scale failure of such organizations. The core issues addressed are: ascertain suitability of cooperatives, requirements in terms of governance structure, stakeholder cooperation and effective utilization of foreign aid so as to achieve cooperative success, and factors that constrain smooth functioning of agricultural cooperatives and evolving appropriate strategy to strengthen agriculture cooperative in Afghanistan.The conceptual framework of this dissertation hinges on building a bridge between stakeholder cooperation and cooperative governance through a collective action route, so as to make cooperatives operational and effective in reality. So, the essential contribution of this dissertation is to provide this linkage between stakeholder and collective action theories to evolve an appropriate governance structure. The recommendations for strengthening and activating the cooperative governance structure are provided within a framework of demand for and supply of required institutional changes for comprehensive cooperative sector reforms.While elaborating on the relevance of cooperative governance, this dissertation highlights the importance of combining several perspectives: collective action theory, stakeholder theory, institutional economics - all are now-a-days parts of the modern organizational economics. From the analysis of agricultural sector, basic weaknesses in the availability of physical as well as institutional infrastructure comes to the fore, thus necessitating building up of grass root cooperatives becomes the mainstay of the Afghan development strategy in the eyes of the national government as well as its international supporters. A few important observations emanated from analysis of primary and secondary data and case studies can be summarized under 5 broad areas. First, cooperatives being a special type of business organization demanding perfect synchronization between attributes of a democratic association and those of a business enterprise, both these attributes need to be promoted carefully while maintaining the necessary balance. Second, involvement of too many Ministries and even too many Departments within the same Ministry seems to be implicitly pauperizing the Afghan agricultural cooperatives. Third, the Cooperative Institute Department of Directorate of Agriculture Cooperative Development (DACD) being under pressure with no support other than grant of mere salaries to its faculty and staff, who are again recruited often without the necessary qualification, experience and skills, has further weakened the system. Fourth, while foreign aid became absolutely necessary at the beginning of the new Republic after the prolonged Civil War and conflict, in the absence of a well thought out plan and coordination for its use, its full potential is hardly being realized. Fifth, the idea of establishment of single commodity cooperatives favored under the Draft Law of 2013 has a serious limitation in the absence of suitable scale and scope economies.; Le pays étant ravagé par la guerre l’Afghanistan s’est donné pour objectif de développer son secteur agricole de manière pérenne en s’appuyant sur les structures coopératives. Au terme de cette période de post-conflit le constat est que cet objectif est très partiellement atteint et l’objet de cet écrit et d’envisager intellectuellement les moyens d’inverser cette tendance. L’objectif principal de cette thèse est d’analyser de manière empirique et théorique le mode de gouvernance des coopératives agricoles afghanes, de comprendre comment est appréhendée la notion de coopérative par les différents acteurs et d’étudier l’impact qu’a pu avoir l’aide étrangère dans ce secteur et dans le contexte de l’agriculture Afghane. Ainsi, des solutions envisageables pour améliorer le mode de gouvernance de ces coopératives pourront être trouvées pour les conforter et éviter la faillite de ces structures. Les principaux axes abordés seront : la détermination de la capacité des coopératives, les exigences nécessaires au niveau de leur gouvernance, les rapports de coopération à développer entre les différents acteurs de la filière et la bonne utilisation des aides étrangères. Sera également abordé l’étude des facteurs susceptibles d’entraver le développement et la pérennité des coopératives mais proposer une stratégie pour renforcer leurs actions en Afghanistan.Le cadre conceptuel de cette thèse est de créer un lien entre les différents acteurs du secteur coopératif afin de définir une démarche collective dans la mise en place d’un mode de gouvernance des coopératives pour les rendre opérationnelles et plus efficaces. Les propositions relatives au renforcement et à la mise en œuvre d’une gouvernance des coopératives s’inscrit dans le cadre d’une nécessité qui demande une reforme institutionnelle et complète du secteur coopératif tout en développant la pertinence de la gouvernance coopérative, cette thèse souligne l’importance de combiner plusieurs facteurs : la théorie de l’action collective, la théorie des parties prenantes, l’économie institutionnelle - tout cela fait partie de l’économie organisationnelle moderne. Quelques observations importantes tirées de l’analyse de différentes données et d’études de cas peuvent être répertoriées dans cinq domaines : premièrement : les coopératives ont une organisation économique spécifique qui allie à la fois les caractéristiques d’une organisation démocratique et celles d’une entreprise commerciale, cette organisation doit être gérée en maintenant un équilibre entre ces caractéristiques. Deuxièmement : L’implication d’un trop grand nombre de ministères voire d’un nombre important de départements d’un même ministère font que les coopératives agricoles afghanes sont marginalisées. Troisièmement : L’institut de formation au sein de la DACD (Direction du Développement des Coopératives Agricoles) une direction du Ministère de l’Agriculture et qui ont la responsabilité des formations n’ont d’autres soutien de leur tutelle que les salaires des professeurs et du personnel et souvent recrutés sans les qualifications, l’expérience et les compétences nécessaires. Cet ensemble de choses affaibli d’autant plus le système. Quatrièmement : alors que l’aide internationale était disponible au début de la nouvelle république au terme des différents conflits et de la guerre civile, l’absence d’un plan bien défini et d’une coordination entre les parties pour son utilisation, cette opportunité a été perdue. Cinquièmement : l’idée de créer des coopératives avec un objet bien défini tel que précisé dans le projet de loi de 2013 ne peut être que difficilement mis en œuvre par une absence d’économies d’échelle et une faiblesse des gammes.

International audience; Qu'importe le flacon, pourvu qu'il y ait l'ivraie: les constituants d'origine organique de la céramique de Koumbi Saleh (Mauritanie, 5e-17esiécles), témoins de l'exploitation de sous-produits agricoles

International audience; Bâtiments agricoles et indices de betail en Gaule du Nord. Inventaire et perspectives

Cass. civ. 2ème, 25 avril 2007, X. /URSSAF n° 06-13743

Tunis

en collaboration

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