5 results on '"Omarjee L"'
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2. État des connaissances sur l’indice de pression systolique de repos et post-effort chez les médecins vasculaires en formation dans quatre facultés de médecine en France
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Stivalet, O., Mahé, G., Omarjee, L., Chaudru, S., Hoffmann, C., and Bressollette, L.
- Published
- 2018
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3. Calcification coronarienne et périphérique dans le pseudoxanthome élastique : rôle dans l’artériopathie
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Leftheriotis, G., Omarjee, L., Lanoiselle, S., Willoteaux, S., Marechal, S., and Martin, L.
- Published
- 2014
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4. Interleukine IL26, un nouveau marqueur d’activité clinique dans le lupus systémique.
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Bach-Bunner, M., Blanchard, S., Omarjee, L., Beauvillain, C., Jeannin, P., Saulnier, P., and Belizna, C.
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Introduction L’IL–26 possède grâce à ses propriétés pharmaco-chimiques et à sa conformation en multimère, une activité bactéricide en formant des pores à la surface des cellules bactériennes. L’IL–26 peut se lier à l’ADN bactérien et former un complexe permettant de protéger l’ADN lié à des DNases présentes dans le milieu extracellulaire et lui confère une immunogénicité après contact avec les cellules dendritiques. Chez l’homme, la formation de complexe ADN humain avec l’IL–26 a également été confirmée après mise en contact in-vitro de cellules apoptotiques et d’IL–26, qui en présence de cellules dendritiques aboutit à la production de cytokines pro-inflammatoires. L’IL-26 apparaît comme une cytokine pouvant être impliquée dans la physiopathogénèse du LES, du fait de son mode d’action, notamment, sa liaison à l’ADN et de sa possible co-responsabilité dans la genèse des anticorps anti-DNA ; de son appartenance à la famille des IL–10, dont la concentration sérique semble augmentée et corrélée à l’activité du lupus ; de sa sécrétion principalement par les lymphocytes Th17. Ainsi, nous avons réalisé une étude multicentrique afin d’évaluer si le taux d’IL26 est surexprimé chez les patients avec un LES par rapport aux témoins. Les objectifs secondaires consistaient, dans la recherche, des corrélations entre le taux de IL26 et des différents paramètres clinico-biologiques des patients lupiques. Patients et méthodes Dans le cadre de l’étude, nous avons recueilli des sérums provenant de l’étude Plaquénil Lupus systémique (PLUS). Nous avons étudié 110 sérums, dont 55 des patients SAPL + et 55 patients SAPL. Quatre-vingt-huit sérums ont été recueillis auprès de l’EFS du CHU d’Angers sur des témoins sains appariés sur l’âge et sexe. L’âge, le sexe, l’année du diagnostic du lupus, les critères de SAPL, les critères ACR du lupus, la créatininémie, la protéinurie, la présence d’anticorps anti-nucléaires, le titre d’anticorps anti-nucléaires et le score d’activité SLEDAI à la visite, ont été recueillis pour les 110 patients de l’étude PLUS. Les patients inclus dans l’étude bénéficiaient du dosage de la concentration sérique en IL–26. La concentration d’IL-26 sérique a été mesurée au laboratoire d’immunologie du CHU d’Angers par méthode ELISA comme décrit précédemment. L’analyse statistique a été réalisée avec l’aide des logiciels Excel ® version 2010 de Microsoft ® et du logiciel IBM ® SPSS ® statistics version 23. Pour l’analyse comparative des groupes, le test t de Student a été utilisé pour les variables quantitatives après avoir préalablement vérifié l’égalité des variances pour les paramètres étudiés et le test du Chi 2 pour les variables qualitatives nominales. La recherche de corrélation utilisait le calcul du coefficient rho de Spearman du fait de l’effectif faible de patients, du caractère non paramétrique et de la distribution non normale des données. Il était admis un risque d’erreur alpha de 5 % avec une significativité pour p < 0,05. Résultats La concentration sérique en IL–26 était significativement plus élevée chez les patients lupiques versus les témoins sains. La concentration sérique d’IL–26 était corrélée de façon significative au SLEDAI avec un coefficient de corrélation rho de Spearman à 0,697 ; p < 0,0001. La concentration sérique d’IL–26 était statistiquement corrélée au taux d’anticorps anti-nucléaires évalués en immunofluorescence indirecte avec un coefficient de corrélation rho de Spearman à 0,219 avec p < 0,05. La concentration sérique en IL–26 était aussi corrélée à la durée d’évolution de la maladie avec un coefficient rho de Spearman à 0,198 avec p < 0,05. En dernier la concentration sérique en IL–26 était statistiquement corrélée à la protéinurie sur échantillon avec un coefficient de corrélation rho de Spearman à 0,371 avec p < 0,0001. De même la concentration d’IL–26 était corrélée au ratio protéinurie/créatinurie avec un coefficient rho de Spearman à 0,328 ; p = 0,01. Il n’y avait pas de différence significative en ce qui concernes les concentrations de l’IL–26 dans les deux sous-groupes de patients lupiques, avec ou sans un syndrome des anti-phospholipides associé. Conclusion Nous avons pu observer dans notre étude que les patients lupiques ont une concentration sérique en IL-26 plus importante que les témoins sains. IL26 était coorélé avec des paramètres d’activité du LES dont en principalleSLEDAI, le titre d’anticorps ANA, la protéinurie. L’étude met en évidence un possible nouveau biomarqueur dans le lupus et de nouvelles perspectives de recherche dans l’étude de la physiopathologie du lupus. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2017
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5. Caractéristiques de la fatigue au sein d’une population de syndromes de Sjögren.
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Urbanski, G., Mahieu, R., Lozac’h, P., Fontaine, C., Guérin, A.H., Omarjee, L., and Lavigne, C.
- Abstract
Introduction La fatigue ne fait pas partie des critères diagnostiques du syndrome de Sjögren mais elle constitue une des principales plaintes des patients souffrant du syndrome de Sjögren. Les explorations menées ont parfois incriminé la dépression et la fibromyalgie sans toutefois apparaître unicistes. Plus récemment, un lien entre cytokines pro-inflammatoires et fatigue a été mis en évidence. Nous avons donc décidé d’évaluer la sévérité et les différentes composantes de la fatigue dans notre population de syndromes de Sjögren, exprimant une fatigue. Patients et méthodes Nous avons inclus de façon prospective les patients souffrants d’un syndrome de Sjögren répondant aux critères diagnostiques américano-européens et exprimant une fatigue ( n = 32). Nous avons évalué les échelles visuelles analogiques (sur 100 mm) des symptômes suivants : sécheresses oculaire et buccale, arthralgies et fatigue. La sévérité de la fatigue a été appréciée à l’aide du score Fatigue Severity Scale (FSS) dont un score supérieur à 4 sur 7 témoigne d’une fatigue sévère, validée chez des patients lupiques. L’auto-questionnaire WHOQOL-Bref (World Health Organization Quality Of Life) a permis de comparer l’impact de la fatigue sur les dimensions physique, psychologique, sociale et environnemental du bien-être, chacune sur 100 (100 équivaut à une qualité de vie optimale). La dépression a été évaluée par l’auto-questionnaire Hospital Anxiety and Depression Scale-Depression (HADS-D) avec un seuil diagnostique à 11. Le diagnostic de fibromyalgie a été apprécié par le score Fibromyalgia ACR 2010 (FA2010) avec un seuil diagnostique des 2 items associés à 12. Les données quantitatives sont exprimées en moyenne ± écart à la moyenne (SEM). Résultats L’EVA fatigue (58,3 mm) n’est pas différente de l’EVA sécheresse buccale (57,6 mm) mais supérieure aux EVA sécheresse oculaire (46 mm, p = 0,038) et arthralgies (40,7 mm, p = 0,01). Le score FSS moyen est de 4,82 ± 0,24 avec 24 patients (75 %) présentant un score supérieur à 4. La dimension physique du WHOQOL (47,9 ± 2,9) est inférieure aux dimensions psychologiques (59 ± 2,8, p = 0,008), sociale (65,8 ± 3,1, p < 0,0001) et environnementale (69,7±2,6, p < 0,0001). Le score moyen HADS-D est de 6,3 ± 0,6 avec 2 patients (6,8 %) supérieur au seuil diagnostique. Le score moyen FA2010 est de 9,7 ± 0,9 avec 11 patients (34,3 %) supérieur au seuil diagnostique. Discussion Dans notre population de syndromes de Sjögren, la fatigue est un symptôme de premier plan et elle apparaît sévère chez 75 % d’entre eux. Le domaine physique est plus altéré que les autres dimensions de la qualité de vie. Chez ces patients, la dépression et la fibromyalgie seules ne peuvent expliquer la fatigue. Nous pensons que la fatigue dans le syndrome de Sjögren est physique, probablement liée à l’activité de la maladie comme l’efficacité des biothérapies anti-CD20 peut le laisser sous-entendre. Conclusion Cette étude démontre l’intérêt de poursuivre les investigations afin de comprendre l’origine de la fatigue dans le syndrome de Sjögren. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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