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In questo saggio, destinato ad approfondire la storia del dopo codice civile nel Regno d’Italia, ci concentreremo sulla questione della conversione dei minori ebrei invitis parentibus. Si tratta di una questione antichissima che ha vulnerato e compromesso i rapporti tra ebraismo e cristianesimo, che solo formalmente ha seguito l’indicazione contraria dell’Aquinate. Nel contesto dell’Italia napoleonica il code civil napoleonico rappresenta una pietra d’inciampo. Il case study di Giuditta ed Ester Padovani (1811-1813) apparirà paradigmatico per cogliere continuità e discontinuità nell’atteggiamento del Governo, del mondo dei giuristi e della società ad ogni livello.

Con il presente saggio si intende evidenziare come la strategia napoleonica in criminalibus non si esaurisca nel pur severo codice penale del 1810. Accanto ad esso, secondo un disegno concepito da Napoleone fin dalle origini, si collocano altri due livelli di repressione, apparentemente più nascosti. Intendiamo alludere in primo luogo ai tribunali speciali istituiti nel 1801 per far fonte al dilagare del brigantaggio e che sarebbero stati successivamente incastonati nel tessuto stesso del codice di procedura penale. L’ulteriore livello di repressione sarebbe emerso ufficialmente solo nel 1810 con l’istituzionalizzazione della detenzione nelle prisons di Stato. Ci troviamo di fronte a strumenti concepiti per potenziare la già di per sé possente azione punitiva, livelli di repressione destinati pour cause a dissolvere il sistema di garanzie sigillate nel codice penale e in quello processuale. È opinione dell’autore che la cifra dell’ordinamento repressivo napoleonico vada còlta, appunto, nella sua unitarietà.

L'objectif de ce travail-ci est celui de proposer quelques considérations sur le traumatisme, la vérité de l'expérience vécue, leur symbolisation et la relation avec la douleur psychique provoquée par la recherche psychanalytique même. On étudiera un cas de névrose et autre de psychose qui nous serviront pour poser des diverses réflexions. Dans les deux cas il y a un traumatisme primaire sur lequel se base le cadre psychopathologique caractérisé par le problème de la vérité. Dans tous les deux il est possible une recherche du procès de symbolisation, leurs caractéristiques et les conséquences sur la structure psychique. Tous les deux aussi illustrent les difficultés du psychanalyste dans la recherche de l'Inconscient à la quête de la vérité, parce que les particularités de la symbolisation fixent les limites à l'interprétation du transfert, à cause de la douleur psychique qu'elle déclenche. La comparaison des cas permet la visualisation des différences. Dans la patiente névrosée la possibilité de symboliser le traumatisme l'incluant dans les vicissitudes de l'évolution psychosexuelle, a permis une élaboration partielle de ce traumatisme. Ce procès a préservé le sens de réalité sauf au point somatique, lequel s'avait constitué comme barrière infranchissable pour l'interprétation. Dans le patient psychotique, l'échec du procès de symbolisation a empêché l'élaboration du traumatisme et la répétition l'a posé dans la réalité, donc son traitement dans le transfert s'est transformé dans un acte sadique qu'impossibilité l'accès à la vérité. Dans cet exposé les auteurs relèvent les apports des psychanalystes qui ont fait un parcours pour ces problèmes. [ABSTRACT FROM AUTHOR]