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La première querelle littéraire de la France a eu lieu entre 1399 et 1405. Elle a été évoquée par le roman le plus connu et le plus copié au Moyen Âge, Le Roman de la Rose (1230-1275), de Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Comme son dernier écrivain a réussi d’en faire une histoire assez profane et misogyne, elle est fortement critiquée par Christine de Pizan, la première femme en France à vivre de sa plume. La Querelle du Roman de la Rose est lancée quand le prévôt de Lille, Jean de Montreuil, envoie un traité à Christine dans lequel il loue Jean de Meung et son œuvre. Christine réagit en dénonçant le roman et la louange de De Meung par De Montreuil. Quelques mois plus tard, les frères Gontier Col et Pierre Col entrent dans le débat et Christine doit faire face aux hommes qui n’hésitent pas à l’attaquer personnellement. Elle demande au prévôt de Paris, Guillaume de Tignonville, et à la reine de France, Isabeau de Bavière, de vouloir entendre sa défense du sexe féminin contre ses adversaires. Pendant cette période, Christine publie les épîtres plusieurs fois dans de différentes compositions pour finir avec la version la plus récente connue du débat qui se trouve dans Le Manuscrit de la Reine (1410-1413). Dans ce mémoire, nous avons essayé de mieux comprendre le rôle de Christine en tant qu’écrivain dans la Querelle et le message qu’elle a voulu transmettre dans sa dernière version du débat. À partir de l’analyse du positionnement dans le contenu de ses propres épîtres, les épîtres de ses adversaires et les épîtres dédicatoires au prévôt et à la reine en combinaison avec une analyse plus approfondie du ton et style utilisés par Christine, nous avons découvert que Christine semble vouloir créer une image de la femme qui se bat toute seule pour la cause féminine. En outre, nous croyons avoir pu confirmer ce raisonnement en allant plus loin que l’analyse du contenu, du ton et du style par l’étude du processus de la publication du débat.

La première querelle littéraire de la France a eu lieu entre 1399 et 1405. Elle a été évoquée par le roman le plus connu et le plus copié au Moyen Âge, Le Roman de la Rose (1230-1275), de Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Comme son dernier écrivain a réussi d’en faire une histoire assez profane et misogyne, elle est fortement critiquée par Christine de Pizan, la première femme en France à vivre de sa plume. La Querelle du Roman de la Rose est lancée quand le prévôt de Lille, Jean de Montreuil, envoie un traité à Christine dans lequel il loue Jean de Meung et son œuvre. Christine réagit en dénonçant le roman et la louange de De Meung par De Montreuil. Quelques mois plus tard, les frères Gontier Col et Pierre Col entrent dans le débat et Christine doit faire face aux hommes qui n’hésitent pas à l’attaquer personnellement. Elle demande au prévôt de Paris, Guillaume de Tignonville, et à la reine de France, Isabeau de Bavière, de vouloir entendre sa défense du sexe féminin contre ses adversaires. Pendant cette période, Christine publie les épîtres plusieurs fois dans de différentes compositions pour finir avec la version la plus récente connue du débat qui se trouve dans Le Manuscrit de la Reine (1410-1413). Dans ce mémoire, nous avons essayé de mieux comprendre le rôle de Christine en tant qu’écrivain dans la Querelle et le message qu’elle a voulu transmettre dans sa dernière version du débat. À partir de l’analyse du positionnement dans le contenu de ses propres épîtres, les épîtres de ses adversaires et les épîtres dédicatoires au prévôt et à la reine en combinaison avec une analyse plus approfondie du ton et style utilisés par Christine, nous avons découvert que Christine semble vouloir créer une image de la femme qui se bat toute seule pour la cause féminine. En outre, nous croyons avoir pu confirmer ce raisonnement en allant plus loin que l’analyse du contenu, du ton et du style par l’étude du processus de la publication du débat.

La première querelle littéraire de la France a eu lieu entre 1399 et 1405. Elle a été évoquée par le roman le plus connu et le plus copié au Moyen Âge, Le Roman de la Rose (1230-1275), de Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Comme son dernier écrivain a réussi d’en faire une histoire assez profane et misogyne, elle est fortement critiquée par Christine de Pizan, la première femme en France à vivre de sa plume. La Querelle du Roman de la Rose est lancée quand le prévôt de Lille, Jean de Montreuil, envoie un traité à Christine dans lequel il loue Jean de Meung et son œuvre. Christine réagit en dénonçant le roman et la louange de De Meung par De Montreuil. Quelques mois plus tard, les frères Gontier Col et Pierre Col entrent dans le débat et Christine doit faire face aux hommes qui n’hésitent pas à l’attaquer personnellement. Elle demande au prévôt de Paris, Guillaume de Tignonville, et à la reine de France, Isabeau de Bavière, de vouloir entendre sa défense du sexe féminin contre ses adversaires. Pendant cette période, Christine publie les épîtres plusieurs fois dans de différentes compositions pour finir avec la version la plus récente connue du débat qui se trouve dans Le Manuscrit de la Reine (1410-1413). Dans ce mémoire, nous avons essayé de mieux comprendre le rôle de Christine en tant qu’écrivain dans la Querelle et le message qu’elle a voulu transmettre dans sa dernière version du débat. À partir de l’analyse du positionnement dans le contenu de ses propres épîtres, les épîtres de ses adversaires et les épîtres dédicatoires au prévôt et à la reine en combinaison avec une analyse plus approfondie du ton et style utilisés par Christine, nous avons découvert que Christine semble vouloir créer une image de la femme qui se bat toute seule pour la cause féminine. En outre, nous croyons avoir pu confirmer ce raisonnement en allant plus loin que l’analyse du contenu, du ton et du style par l’étude du processus de la publication du débat.

BackgroundQuantification of molecular cell processes is important for prognostication and treatment individualization of head and neck cancer (HNC). However, individual tumor comparison can show discord in upregulation similarities when analyzing multiple biological mechanisms. Elaborate tumor characterization, integrating multiple pathways reflecting intrinsic and microenvironmental properties, may be beneficial to group most uniform tumors for treatment modification schemes. The goal of this study was to systematically analyze if immunohistochemical (IHC) assessment of molecular markers, involved in treatment resistance, and 18F-FDG PET parameters could accurately distinguish separate HNC tumors.MethodsSeveral imaging parameters and texture features for 18F-FDG small-animal PET and immunohistochemical markers related to metabolism, hypoxia, proliferation and tumor blood perfusion were assessed within groups of BALB/c nu/nu mice xenografted with 14 human HNC models. Classification methods were used to predict tumor line based on sets of parameters.ResultsWe found that 18F-FDG PET could not differentiate between the tumor lines. On the contrary, combined IHC parameters could accurately allocate individual tumors to the correct model. From 9 analyzed IHC parameters, a cluster of 6 random parameters already classified 70.3% correctly. Combining all PET/IHC characteristics resulted in the highest tumor line classification accuracy (81.0%; cross validation 82.0%), which was just 2.2% higher (p = 5.2×10-32) than the performance of the IHC parameter/feature based model.ConclusionsWith a select set of IHC markers representing cellular processes of metabolism, proliferation, hypoxia and perfusion, one can reliably distinguish between HNC tumor lines. Addition of 18F-FDG PET improves classification accuracy of IHC to a significant yet minor degree. These results may form a basis for development of tumor characterization models for treatment allocation purposes.

BackgroundQuantification of molecular cell processes is important for prognostication and treatment individualization of head and neck cancer (HNC). However, individual tumor comparison can show discord in upregulation similarities when analyzing multiple biological mechanisms. Elaborate tumor characterization, integrating multiple pathways reflecting intrinsic and microenvironmental properties, may be beneficial to group most uniform tumors for treatment modification schemes. The goal of this study was to systematically analyze if immunohistochemical (IHC) assessment of molecular markers, involved in treatment resistance, and 18F-FDG PET parameters could accurately distinguish separate HNC tumors.MethodsSeveral imaging parameters and texture features for 18F-FDG small-animal PET and immunohistochemical markers related to metabolism, hypoxia, proliferation and tumor blood perfusion were assessed within groups of BALB/c nu/nu mice xenografted with 14 human HNC models. Classification methods were used to predict tumor line based on sets of parameters.ResultsWe found that 18F-FDG PET could not differentiate between the tumor lines. On the contrary, combined IHC parameters could accurately allocate individual tumors to the correct model. From 9 analyzed IHC parameters, a cluster of 6 random parameters already classified 70.3% correctly. Combining all PET/IHC characteristics resulted in the highest tumor line classification accuracy (81.0%; cross validation 82.0%), which was just 2.2% higher (p = 5.2×10-32) than the performance of the IHC parameter/feature based model.ConclusionsWith a select set of IHC markers representing cellular processes of metabolism, proliferation, hypoxia and perfusion, one can reliably distinguish between HNC tumor lines. Addition of 18F-FDG PET improves classification accuracy of IHC to a significant yet minor degree. These results may form a basis for development of tumor characterization models for treatment allocation purposes.

This master thesis is divided into three different parts. The first part discusses the contextual information about the author, the story and the Victorian era. The second part contains translation theories and the analysis of the text. Translation problems dealing with time, culture and style are discussed. The last part contains an annotated translation of "The Adventue of the Retired Colourman" a short story featuring Sherlock Holmes by Arthur Conan Doyle

This master thesis is divided into three different parts. The first part discusses the contextual information about the author, the story and the Victorian era. The second part contains translation theories and the analysis of the text. Translation problems dealing with time, culture and style are discussed. The last part contains an annotated translation of "The Adventue of the Retired Colourman" a short story featuring Sherlock Holmes by Arthur Conan Doyle

Background: Dyslexia is a language-based disorder. It probably stems from an underlying phonological deficit, which results in problems with phonological tasks. Besides that, research has shown that dyslexics also have subtle language impairments. The present study looked into the morpho-phonological process of past tense inflection and the impact of orthography. Aims: The main purpose was to compare the results of 9-year-old normal and poor readers on a past tense experiment in which the children had to inflect verbs and pseudo-verbs. An additional comparison was made with 6-year-old children and adults. The second research question was whether 9-year-old poor readers perform better on the past-tense experiment in the orthographic modality, where the stimuli were presented both auditorily and visually. Methods: The past tense experiment of Vreugdenhil (2010) was used to elicit the past tense of verbs and pseudo-verbs with stem-final obstruents. The participants were either exposed to an auditory or an orthographic version of the experiment. Results and outcomes: The results demonstrated that 9-year-old poor readers do not differ from normal readers on the number of correctly inflected past tense forms for either verbs or pseudo-verbs. They were equally good at producing the past tense overall. However, the 9-year-old normal readers performed better when orthography was provided, whereas the poor readers did not benefit from the orthography.

This thesis consists of a translation of Oscar Wilde's story The Happy Prince. Specific choices and a number of problems and solutions concerning the text are also discussed.

This thesis contains a translation of The Happy Prince by Oscar Wilde. Translation choices and a number of problems and solutions are also discussed.

Background: Dyslexia is a language-based disorder. It probably stems from an underlying phonological deficit, which results in problems with phonological tasks. Besides that, research has shown that dyslexics also have subtle language impairments. The present study looked into the morpho-phonological process of past tense inflection and the impact of orthography. Aims: The main purpose was to compare the results of 9-year-old normal and poor readers on a past tense experiment in which the children had to inflect verbs and pseudo-verbs. An additional comparison was made with 6-year-old children and adults. The second research question was whether 9-year-old poor readers perform better on the past-tense experiment in the orthographic modality, where the stimuli were presented both auditorily and visually. Methods: The past tense experiment of Vreugdenhil (2010) was used to elicit the past tense of verbs and pseudo-verbs with stem-final obstruents. The participants were either exposed to an auditory or an orthographic version of the experiment. Results and outcomes: The results demonstrated that 9-year-old poor readers do not differ from normal readers on the number of correctly inflected past tense forms for either verbs or pseudo-verbs. They were equally good at producing the past tense overall. However, the 9-year-old normal readers performed better when orthography was provided, whereas the poor readers did not benefit from the orthography.

This thesis consists of a translation of Oscar Wilde's story The Happy Prince. Specific choices and a number of problems and solutions concerning the text are also discussed.