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Dans la sémiotique développée par A.J. Greimas et l'Ecole de Paris, on peut analyser un objet liturgique dans son exécution (in actu) ou considéré comme scénario. Pour l'analyse de l'objet in actu l'on fait discerner des éléments divers qui tous demandent d'être étudiés en soi-mêmes (comme de l'espace, de l'acoustique, des gestes, des mouvements, des vêtements). l'analyse de l'objet comme scénario n'est pas si compliquée et concerne un discours qui n'existe que des rubriques, des textes et des chants. A l'égard d'un rituel in actu on peut considérer le scénario comme le destinateur qui fournit la compétence concernant la performance de l'exécution concrète in actu. Cette contribution contient une analyse de l'Exsultet dans la forme brevior (quant à le texte surtout), comme édité dans la traduction néerlandaise de la MR 1970. L'Exsultet est compris ici comme scénario. Dans le prolongement d'une analyse des structures discursives déjà faite (voir note 5), ici sont étudiées les structures sémio-narratives. L'Exsultet se trouve entièrement sur un plan cognitif, duquel la manipulation est exprimée surtout. Dans les lignes 2-17 cette manipulation concerne une communication entre le diacre et l'assemblée, et celle est orientée vers le chanter de l'action de grâces formulée dans l. 18-40. Le caractère persuasif est augmenté encore dans la première partie de l'Exsultet par l'usage des éléments sanctionnels qui fonctionnent comme des co-destinateurs. Dans l. 32b-40 la manipulation concerne communication où le diacre et l'assemblée s'adressent collectivement à Dieu dans une supplication. Parce que l'Exsultet comme scénario se trouve complètement sur le plan cognitif, il n'y a pas des performances pragmatiques. Mais en fait dans l. 18-32a il en est question des performances cognitives. Dans la sanction qui est central dans cette séquence, les programmes agissant l'histoire du salut se sont actualisés (in deze nacht - dans cette nuit) et il a lieu une transformation d'un savoir, Dans la sémiotique développée par A.J. Greimas et l'Ecole de Paris, on peut analyser un objet liturgique dans son exécution (in actu) ou considéré comme scénario. Pour l'analyse de l'objet in actu l'on fait discerner des éléments divers qui tous demandent d'être étudiés en soi-mêmes (comme de l'espace, de l'acoustique, des gestes, des mouvements, des vêtements). l'analyse de l'objet comme scénario n'est pas si compliquée et concerne un discours qui n'existe que des rubriques, des textes et des chants. A l'égard d'un rituel in actu on peut considérer le scénario comme le destinateur qui fournit la compétence concernant la performance de l'exécution concrète in actu. Cette contribution contient une analyse de l'Exsultet dans la forme brevior (quant à le texte surtout), comme édité dans la traduction néerlandaise de la MR 1970. L'Exsultet est compris ici comme scénario. Dans le prolongement d'une analyse des structures discursives déjà faite (voir note 5), ici sont étudiées les structures sémio-narratives. L'Exsultet se trouve entièrement sur un plan cognitif, duquel la manipulation est exprimée surtout. Dans les lignes 2-17 cette manipulation concerne une communication entre le diacre et l'assemblée, et celle est orientée vers le chanter de l'action de grâces formulée dans l. 18-40. Le caractère persuasif est augmenté encore dans la première partie de l'Exsultet par l'usage des éléments sanctionnels qui fonctionnent comme des co-destinateurs. Dans l. 32b-40 la manipulation concerne communication où le diacre et l'assemblée s'adressent collectivement à Dieu dans une supplication. Parce que l'Exsultet comme scénario se trouve complètement sur le plan cognitif, il n'y a pas des performances pragmatiques. Mais en fait dans l. 18-32a il en est question des performances cognitives. Dans la sanction qui est central dans cette séquence, les programmes agissant l'histoire du salut se sont actualisés (in deze nacht - dans cette nuit) et il a lieu une transformation d'un savoir

Dans la sémiotique développée par A.J. Greimas et l'Ecole de Paris, on peut analyser un objet liturgique dans son exécution (in actu) ou considéré comme scénario. Pour l'analyse de l'objet in actu l'on fait discerner des éléments divers qui tous demandent d'être étudiés en soi-mêmes (comme de l'espace, de l'acoustique, des gestes, des mouvements, des vêtements). l'analyse de l'objet comme scénario n'est pas si compliquée et concerne un discours qui n'existe que des rubriques, des textes et des chants. A l'égard d'un rituel in actu on peut considérer le scénario comme le destinateur qui fournit la compétence concernant la performance de l'exécution concrète in actu. Cette contribution contient une analyse de l'Exsultet dans la forme brevior (quant à le texte surtout), comme édité dans la traduction néerlandaise de la MR 1970. L'Exsultet est compris ici comme scénario. Dans le prolongement d'une analyse des structures discursives déjà faite (voir note 5), ici sont étudiées les structures sémio-narratives. L'Exsultet se trouve entièrement sur un plan cognitif, duquel la manipulation est exprimée surtout. Dans les lignes 2-17 cette manipulation concerne une communication entre le diacre et l'assemblée, et celle est orientée vers le chanter de l'action de grâces formulée dans l. 18-40. Le caractère persuasif est augmenté encore dans la première partie de l'Exsultet par l'usage des éléments sanctionnels qui fonctionnent comme des co-destinateurs. Dans l. 32b-40 la manipulation concerne communication où le diacre et l'assemblée s'adressent collectivement à Dieu dans une supplication. Parce que l'Exsultet comme scénario se trouve complètement sur le plan cognitif, il n'y a pas des performances pragmatiques. Mais en fait dans l. 18-32a il en est question des performances cognitives. Dans la sanction qui est central dans cette séquence, les programmes agissant l'histoire du salut se sont actualisés (in deze nacht - dans cette nuit) et il a lieu une transformation d'un savoir, Dans la sémiotique développée par A.J. Greimas et l'Ecole de Paris, on peut analyser un objet liturgique dans son exécution (in actu) ou considéré comme scénario. Pour l'analyse de l'objet in actu l'on fait discerner des éléments divers qui tous demandent d'être étudiés en soi-mêmes (comme de l'espace, de l'acoustique, des gestes, des mouvements, des vêtements). l'analyse de l'objet comme scénario n'est pas si compliquée et concerne un discours qui n'existe que des rubriques, des textes et des chants. A l'égard d'un rituel in actu on peut considérer le scénario comme le destinateur qui fournit la compétence concernant la performance de l'exécution concrète in actu. Cette contribution contient une analyse de l'Exsultet dans la forme brevior (quant à le texte surtout), comme édité dans la traduction néerlandaise de la MR 1970. L'Exsultet est compris ici comme scénario. Dans le prolongement d'une analyse des structures discursives déjà faite (voir note 5), ici sont étudiées les structures sémio-narratives. L'Exsultet se trouve entièrement sur un plan cognitif, duquel la manipulation est exprimée surtout. Dans les lignes 2-17 cette manipulation concerne une communication entre le diacre et l'assemblée, et celle est orientée vers le chanter de l'action de grâces formulée dans l. 18-40. Le caractère persuasif est augmenté encore dans la première partie de l'Exsultet par l'usage des éléments sanctionnels qui fonctionnent comme des co-destinateurs. Dans l. 32b-40 la manipulation concerne communication où le diacre et l'assemblée s'adressent collectivement à Dieu dans une supplication. Parce que l'Exsultet comme scénario se trouve complètement sur le plan cognitif, il n'y a pas des performances pragmatiques. Mais en fait dans l. 18-32a il en est question des performances cognitives. Dans la sanction qui est central dans cette séquence, les programmes agissant l'histoire du salut se sont actualisés (in deze nacht - dans cette nuit) et il a lieu une transformation d'un savoir