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Le recours accru à l’imagerie abdominale a abouti à un accroissement de l’incidence des tumeurs pancréatiques considérées jusqu’alors comme rares. Ces tumeurs rares présentent des signes radiologiques spécifiques, dont la connaissance peut s’avérer utile pour lever les incertitudes diagnostiques et éviter des interventions chirurgicales inutiles en cas de tumeur bénigne. Dans la majorité des cas, les tumeurs pancréatiques rares sont découvertes de manière fortuite lors d’un examen par tomodensitométrie (TDM). Afin de permettre une caractérisation plus précise de la lésion, un examen par imagerie par résonance magnétique (IRM) est souvent pratiqué en seconde intention. Cette revue de la littérature fait état des dernières données concernant la caractérisation par TDM ou IRM des tumeurs rares du pancréas.

Une colite aiguë est souvent diagnostiquée au moyen d’un examen tomodensitométrique, car les patients souffrant de cette affection présentent des douleurs abdominales et divers symptômes non spécifiques. Les causes d’une colite aiguë sont multiples, et la sévérité de cette affection est variable. L’analyse de l’étendue de l’atteinte colique, la présence d’aspects spécifiques à la TDM et les signes associés devraient aider le radiologue à restreindre le champ des diagnostics possibles. L’intégration des résultats de l’examen clinique et des analyses biologiques est obligatoire et, en cas d’observations ambiguës ou non spécifiques à la TDM, une endoscopie et une biopsie colique doivent toujours être envisagées pour un diagnostic définitif. L’objectif de cet article est de discuter et d’illustrer des aspects TDM utiles pour la caractérisation d’une colite aiguë chez l’adulte.

Background & Aims: Relatives of patients with pancreatic cancer and persons with certain inherited syndromes are at increased risk for developing pancreatic cancer. We prospectively evaluated the feasibility of screening for pancreatic neoplasia in high-risk individuals. Methods: Individuals from familial pancreatic cancer kindreds and a patient with Peutz-Jeghers syndrome underwent screening endoscopic ultrasound (EUS). If the EUS was abnormal, EUS-guided fine-needle aspiration, endoscopic retrograde cholangiopancreatography (ERCP), and spiral computed tomography (CT) were performed. Patients with abnormalities suggesting neoplasia had surgery. Results: Thirty-eight patients were studied; 31 (mean age, 58 yr; 42% men) from kindreds with >=3 affected with pancreatic cancer; 6 from kindreds with 2 affected relatives, 1 was a patient with Peutz-Jeghers syndrome. None had symptoms referable to the pancreas or suggestive of malignancy. Six pancreatic masses were found by EUS: 1 invasive ductal adenocarcinoma, 1 benign intraductal papillary mucinous neoplasm, 2 serous cystadenomas, and 2 nonneoplastic masses. Hence, the diagnostic yield for detecting clinically significant pancreatic neoplasms was 5.3% (2 of 38). The 1 patient with pancreatic cancer was treated and still is alive and disease-free >5 years after surgery. EUS changes similar to those associated with chronic pancreatitis were found, which were more common in patients with a history of regular alcohol intake (P = 0.02), but also occurred in patients who did not consume alcohol. Screening also led to a new diagnosis and treatment of symptomatic upper-gastrointestinal conditions in 18.4% of patients. Conclusions: EUS-based screening of asymptomatic high-risk individuals can detect prevalent resectable pancreatic neoplasia but false-positive diagnoses also occur.

We determined the natural history and clarified the treatment of adrenal myelolipoma.