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La nécessité du traitement orthodontique a été évaluée à partir d'une série d'examens orthodontiques sur un échantillon de 293 enfants danois, pris au hasard, âgés de 13 à 17 ans, effectués par un groupe d'étudiants postuniversitaires en orthopédie dento-faciale, et par trois orthodontistes. L'évaluation de la nécessité de traitement s'échelonne de 45 à 61 %. L'accord entre enquêteurs, par paires, est réalisé dans 77 à 92% des cas (la moyenne étant de 83 %). L'unanimité de quatre jugements émis individuellement est atteinte dans 69 % des cas : 38 % sont considérés comme ayant besoin de traitement ; 31 % comme n'en ayant pas besoin dans l'immédiat. A l'inverse, 31 % des cas marquent un désaccord. En conclusion, à l'heure actuelle, l'estimation subjective en ce qui concerne la nécessité du traitement est probablement l'approche la plus réaliste du problème de priorité, plus réaliste que celle fournie par les différents indices de malocclusion.

La nécessité du traitement orthodontique a été évaluée à partir d'une série d'examens orthodontiques sur un échantillon de 293 enfants danois, pris au hasard, âgés de 13 à 17 ans, effectués par un groupe d'étudiants postuniversitaires en orthopédie dento-faciale, et par trois orthodontistes. L'évaluation de la nécessité de traitement s'échelonne de 45 à 61 %. L'accord entre enquêteurs, par paires, est réalisé dans 77 à 92% des cas (la moyenne étant de 83 %). L'unanimité de quatre jugements émis individuellement est atteinte dans 69 % des cas : 38 % sont considérés comme ayant besoin de traitement ; 31 % comme n'en ayant pas besoin dans l'immédiat. A l'inverse, 31 % des cas marquent un désaccord. En conclusion, à l'heure actuelle, l'estimation subjective en ce qui concerne la nécessité du traitement est probablement l'approche la plus réaliste du problème de priorité, plus réaliste que celle fournie par les différents indices de malocclusion.

La prise en charge des cancers bronchiques a beaucoup évolué ces dernières années, avec l’avènement des thérapies ciblées orales (TCO). Néanmoins, leur utilisation a fait apparaître de nouvelles problématiques dans la prise en charge ambulatoire des patients de plus en plus âgés et polymédiqués, notamment de par leurs spécificités pharmacologiques (interactions avec médicaments/alimentation, risque de mauvaise adhérence, automédications). En réponse à ces complexités, des consultations pharmaceutiques ont été mises en place. Le but de ce travail est d’évaluer l’impact de ce type de consultations au sein d’un service de pneumologie.

Chez les patients présentant une fibrose pulmonaire idiopathique (FPI), une prévalence élevée de syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) a été observée. L’étude du sommeil est peu décrite chez les patients suivis pour une pneumopathie interstitielle non spécifique idiopathique (PINSi). Les objectifs de notre étude étaient d’évaluer la prévalence des troubles du sommeil respiratoires et non respiratoires chez des patients présentant une FPI ou PINSi, et la relation entre index d’apnées hypopnées (IAH) et paramètres cliniques et fonctionnels.