38 results on '"Chouaïd C"'
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2. Chez le patient hospitalisé pour pneumopathie aiguë communautaire à pneumocoques, une sensibilité diminuée à la pénicilline modifie-t-elle les coûts ?
3. L’année 2006 en pneumologie
4. Évaluation économique de l’immunothérapie sublinguale comparée aux traitements symptomatiques des allergies respiratoires dues au pollen chez les adultes
5. La stratégie SMART est coût-efficace (sous certaines conditions) dans le traitement de l’asthme
6. Dans les BPCO, la réhabilitation respiratoire diminue la consommation totale de ressources
7. L’hospitalisation à domicile réduit les coûts de prise en charge des exacerbations de BPCO
8. Les exacerbations de BPCO sont associées à une faible consommation de resources en médecine ambulatoire
9. Le propionate de fluticasone est coût-efficace dans le traitement de la BPCO
10. Le tiotropium est coût-efficace dans le traitement de base de la BPCO en Grèce
11. Le poids des BPCO dans les dépenses de santé américaines continue d’augmenter
12. Le coût du traitement de la BPCO au Danemark est de 256 millions d’euros
13. Les BPCO génèrent plus de consommation de soins que les cancers du poumon
14. Dans la prophylaxie des neutropénies fébriles secondaires à la chimiothérapie des cancers bronchopulmonaires à petites cellules, l’ajout de facteurs de croissance à une antibiothérapie ne permet pas de faire d’économies
15. L’utilisation des analyses coût-utilité amène des informations comparatives intéressantes pour évaluer les chimiothérapies des cancers bronchopulmonaires
16. Le choix des stratégies de chimiothérapie par les cliniciens a un impact économique sur la prise en charge
17. Une synthèse et mise au point sur les analyses pharmaco-économiques de la prise en charge des cancers bronchopulmonaires
18. L’évaluation de l’extension des carcinomas bronchopulmonaires par le TEP-scan n’entraîne pas de surcoût
19. Le mode de prise en charge a un impact majeur sur le coût du diagnostic des cancers bronchopulmonaires
20. Au cours des BPCO, la majorité (86 %) du coût des exacerbations sévères correspond aux hospitalisations
21. Aux Etats-Unis, dans les pneumonies communautaires, le respect des recommandations permet de réduire les coûts de prise en charge des patients hospitalisés
22. En Europe, dans les pneumonies communautaires, le coût d’une hospitalisation est 10 fois plus élevé que celui d’une prise en charge ambulatoire
23. Dans les rhinites allergiques, la lévocetirizine améliore la qualité de vie et diminue les coûts directs et indirects
24. Aux Etats-Unis, dans les rhinites allergiques, le coût estimé des effets secondaires des anti-histaminiques de première génération est supérieur à celui de leur bénéfice sociétal
25. Aux Etats-Unis, dans les asthmes modérés à sévères, pour « gagner » un jour sans crise avec un anti-IgE (l’omalizumab), il faut dépenser 523 dollars, soit 100 fois plus qu’avec un corticoïde inhalé
26. En France, comme dans beaucoup d’autres pays (Australie, Suisse, Canada, Angleterre, Chine, USA) l’utilisation précoce de budésonide, dans les asthmes modérés, réduit les coûts mais le rapport coût-efficacité, du point de vue de la société, n’est pas favorable, alors qu’il l’est dans certains pays (Australie, Canada, Suisse)
27. Dans l’asthme persistant, l’association fluticasone-salmétérol est plus « coût-efficace » que l’association fluticasone- montelukast
28. Au cours des BPCO, la prise de tiotropium diminue la fréquence des exacerbations et des hospitalisations, ainsi que les coûts
29. Dans les stades II et III des BPCO, les corticoïdes inhalés ont un rapport coût-efficacité correct
30. En France, 3,5 % de dépenses de santé sont consacrées à la BPCO
31. Aux Etats-Unis, les BPCO occupent la première place quant au nombre d’hospitalisations liées au tabagisme, devant les maladies coronariennes
32. Le poids économique des BPCO dans les sociétés industrialisées devient de plus en plus important
33. Au cours des BPCO, il est aussi efficace, économiquement parlant et sur le long terme (30 ans), de ralentir le déclin du VEMS que de réduire de 25 % les exacerbations
34. En Italie, la tomographie par emission de positrons est une stratégie « coûtefficace » pour le diagnostic des nodules pulmonaires isolés et pour l’évaluation de l’extension néoplasique chez des patients porteurs de cancers bronchiques non à petites cellules
35. Dans les cancers bronchiques non à petites cellules, le docétaxel en 2 ème ligne est « coût-efficace »
36. En France comme dans d’autres pays d’Europe, le coût du traitement d’un cancer bronchique non à petites cellules par cisplatine-gemzar est inférieur à celui des associations cisplatine-vinorebine, cisplatine-paclitaxel ou cisplatine-docétaxel
37. En France, le coût annuel moyen du traitement d’un cancer bronchique se situe entre 20 000 et 27 000 euros
38. Dans les cancers broncho-pulmonaires, les études pharmaco-économiques sont aujourd’hui presque aussi nombreuses que celles sur la qualité de vie
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