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"Shepherding on Argeș Valley – spatial coordinates This paper presents the essential elements that define the spatial coordinate characteristic of shepherding which is practised in the sub-Carpathian villages on the Argeș Valley, following the documentary attestations of the villages, the genesis and evolution of the village boundaries, the evolution of land ownership and the right to use lands (in condominium or individually). Also within the spatial coordinate, there are researched the traditional ways in which the potential of the rural land fund is highlighted, as a result of its geomorphological, pedological, climatic qualities, etc., the study taking into consideration all the areal types with pastoral potential, not only those on the administrative territory of the villages, but also those in the mountain area destined for summer grazing. If for the presentation of origins, attestations, borderline fixation of the villages from the studied areal, documents, monographic studies and other categories of specialized works have been used, for the understanding of the manner of pastoral, individual and especially collective exploitation of the land fund by the village communities, of valorizing the fodder qualities of the different types of surfaces, it was necessary to carry out field research in the three targeted villages: Albeștii de Argeș, Corbeni and Arefu, all in the Argeș County. The visit of sheepfolds from Lespezi, Lipitoarea, Ciocanu, Podeanu, Oticu, in the alpine hollow of the Făgăraș Mountains, were necessary both for studying some elements related to the spatial coordinate (sheepfold location, daily travel routes, travel routes from the village hearth to the mountains, etc.) as well as for conducting interviews, based on an elaborate questionnaire, interviews generating unique and extremely useful information also for researching the other coordinates of the pastoral system practiced in the area. Keywords: shepherding, Argeș Valley, spatial coordinate, pastoral system, field research "

Une mise en contexte s’impose avant de présenter les données de la culture matérielle et les analyses paléo-économiques relatives à la zone 2 du site de Taraschina. Pour comprendre la dynamique de l’habitat, il est nécessaire de décrire les contextes archéologiques, les structures et aménagements anthropiques et de proposer d’inscrire tous ces événements dans une trame chronologique. C’est pourquoi nous porterons une attention toute particulière à la présentation du diagramme stratigraphique, conçu non pas comme un document neutre, mais comme le support analysé et interprété de l’histoire des occupations qui se sont succédées dans une partie du tell de Taraschina.

L'objet de cette publication est de présenter les travaux relatifs à l’histoire du peuplement du delta du Danube. Ces recherches se cristallisent autour de la mission « Archéologie du delta du Danube » et poursuivent l’objectif d’étudier les relations qu’entretenaient les sociétés passées, notamment néolithiques et protohistoriques, avec leur environnement. Le but de ce programme collectif et interdisciplinaire est de caractériser les changements environnementaux qui se sont produits, à l’échelle du bas Danube et du littoral de la mer Noire, durant l’Holocène, et de mesurer l’impact de ces changements pour les sociétés. Notre projet est résolument interdisciplinaire et réunit aujourd’hui une équipe franco-roumaine forte de près de 40 chercheurs impliqués tant dans les approches géo-archéologiques, paléo-environnementales, archéologiques qu’archéométriques. Créée en 2010, la mission n’a eu de cesse de questionner les données archéologiques, géo-archéologiques et historiques, de manière à formuler de nouveaux paradigmes sur les relations sociétés- environnements.

Le delta du Danube est un symbole de la biodiversité, une terre en constante transformation qui a été soumise à travers les âges à l’influence conjuguée de facteurs naturels et anthropiques (Simion, 1971 ; Micu et al., 2009a ; Carozza, Bem, Micu, 2011). La Réserve de biosphère du delta du Danube abrite, au-delà d’une très riche biodiversité, un patrimoine archéologique et historique moins bien connu et étudié (Ca- rozza et al., 2011). Ce n’est que très tardivement, bien après la création de la Réserve Biosphère Delta du Danube, qu’ont été pris en compte le patrimoine historique et le rôle joué par les sociétés humaines dans la transformation des écosystèmes du delta. Dorénavant, les recherches archéologiques, dans leur dimension interdisciplinaire, contribuent à mieux documenter, dans la longue durée historique, l’évolution de la flore, de la faune, du climat, de l’hydrologie, des paysages et l’impact des sociétés humaines sur l’environnement (Carozza, Bem, Micu, 2011 ; Carozza et al., 2014a). Les données historiques et archéologiques permettent d’appréhender, au-delà des simples dynamiques de peuplement, la nature des relations qui unissaient les sociétés passées à leur environnement.

En Roumanie, la zone du bas Danube et son delta constituent, à partir du 5e millénaire avant notre ère, une zone au très fort peuplement. L’apogée de ce phénomène de densification de l’occupation de l’espace coïncide avec le développement des communautés chalcolithiques de la culture Gumelniţa (4600-4000 BC). Ce territoire, fortement structuré par le fleuve et les écosystèmes associés, a permis le développement d’une économie de production fondée sur l’agriculture, le pastoralisme et l’exploitation des ressources locales. Cependant, derrière une homogénéité de façade des composantes culturelles (productions matérielles et symboliques, formes de l’habitat et de l’occupation des sols), s’observe à une échelle locale une forte variabilité des organisations sociales et des modèles économiques. Les possibles raisons de cette variabilité sont multiples, mais les modalités de l’exploitation des ressources naturelles dans un environnement changeant semblent jouer un rôle majeur. Vers 4350 BC, des changements environnementaux – et plus particulièrement des changements hydro-géomorphologiques – affectent les zones humides dans le delta du Danube. Le forçage lié à l’évolution du niveau de la mer Noire est déterminant dans les modifications des écosystèmes des zones humides. L’objet de cette contribution est de déterminer les temporalités de ces changements socio-environnementaux et de caractériser les différentes stratégies d’adaptation que les communautés chalcolithiques ont pu développer face à un forçage global.

L’un des principaux objectifs de cette monographie est de présenter le résultat des recherches menées dans le delta du Danube depuis 2011, date de la publication des premiers travaux conduits sur le tell submergé de Taraschina (Carozza, Bem, Micu, 2011). Nous avions alors précisé l’attribution chrono-culturelle des occupations des niveaux supérieurs du tell, défini les contextes stratigraphiques et présenté les premières hypothèses paléo-économiques. Depuis, la poursuite des recherches de terrain, conduites à l’appui d’une grande diversité d’approches telles que les prospections géophysiques de surface, les carottages géo-archéologiques intra et hors site, les reconstructions paléo-environnementales (…) nous permet aujourd’hui d’apporter de nouvelles données susceptibles de faire évoluer les hypothèses initialement formulées.

Les premières investigations sur le site de Taraschina se sont déroulées au printemps 2009, sous la forme de prospections de surface (fig. 1). Parallèlement, deux sondages de 4 m2 ont été implantés dans des zones de fortes concentrations de mobilier. L’ensemble de ces données a été publié en 2011 (Carozza, Bem, Micu, 2011). En 2010, date de la création de la mission « Archéologie du delta du Danube », une première zone de fouille de 72 m2 a été ouverte. Parallèlement, une fouille plus extensive a été ouverte dans les carrés N-J/57-53 à l’automne 2011, dans l’objectif de caractériser les modalités d’abandon de l’habitat chalcolithique et d’appréhender l’organisation spatiale et stratigraphique de l’habitat (fig. 1 et 2). Cette seconde fenêtre de fouille (zone 2), de taille modeste, a été implantée dans un secteur où les prospections de surfaces avaient permis d’identifier une forte concentration de terre à bâtir rubéfiée. Après une campagne de fouille en 2012, la poursuite des investigations de la zone 2 a été interrompue en 2013 en raison de fortes crues du Danube et de la submersion totale de la surface du site (fig. 2)

Le tell de Taraschina se trouve au cœur de l’actuel delta du Danube, dans une zone de lacs naturels et de roselières, zébrée de canaux artificiels, témoins des aménagements réalisés durant la seconde moitié du 20e siècle, pendant la période communiste. La découverte du site archéologique remonte au début des années 1980, à l’appui de ramassages de surface. Parmi les cartes anciennes, seule celle établie par Grigore Antipa au début du 20e siècle figure l’emplacement exact du site chalcolithique (Antipa, 1914). Cet érudit n’a pas identifié le site, mais la cartographie qu’il a dressée des lieux montre une forme ovalaire se détachant nettement dans un paysage de marais, de lacs et de bras morts. Situé dans l’actuel delta du Danube, le tell de Taraschina n’apparaît pas intégralement dans le paysage, ce qui en fait une spécificité au regard des tells contemporains. Le site est noyé dans les sédiments du Danube et seul le tiers supérieur du site émerge des eaux du delta. La base du tell et la morphologie du paysage sont totalement soustraits à la vue. Cette particularité, qui nous empêche également de fouiller les horizons inférieurs du site de Taraschina, nous a contraint à mettre en œuvre des approches innovantes.

Le tell chalcolithique de Taraschina est un site unique dans son genre. Situé au cœur du delta du Danube, il incarne une problématique de recherche relative aux paysages préhistoriques submergés et nous renseigne sur la manière dont les communautés néolithiques ont été confrontées à de profonds changements environnementaux. Cet ouvrage ambitionne de dépasser le simple cadre de la monographie d’une fouille archéologique. Il témoigne d’une démarche intégrée, régressive, qui aspire à traiter la question complexe des relations existant entre les communautés humaines et leur environnement, au-delà des seuls déterminismes environnementaux. En développant des méthodes spécifiques aux milieux humides et en animant un collectif interdisciplinaire, nous livrons au lecteur le fruit d’un travail collectif, ancré sur le terrain. À l’issue de la rédaction de ce volume monographique centré sur les paysages submergés autour du tell de Taraschina, nous tenions à témoigner notre attachement à la voie tracée par Dragomir « Mirel » Popovici et Bernard Randoin. Les membres de l’équipe ont, directement ou indirectement, été inspirés ou influencés par les travaux pionniers de l’équipe franco-roumaine qui a fouillé depuis le début des années 1990 le célèbre tell de Hârşova. Ce site a constitué un véritable creuset de réflexions sur le Chalcolithique du bas Danube et a initié les premiers travaux interdisciplinaires dans le contexte des recherches sur le Néolithique de Roumanie. Ouvrant ainsi la porte à des coopérations et à la formation d’étudiants roumains à l’étranger, le chantier école de Hârşova a influencé toute une génération d’archéologues, aujourd’hui moteurs de la recherche sur le Néolithique et le Chalcolithique de Roumanie.

Ecrire une géohistoire des aménagements et des paysages du delta du Danube des 400 dernières années constitue sans nul doute une gageure. Ce travail, amorcé dès les années 1980 pour de nombreux deltas (Picon, 2008), n’avait pas été entrepris en Roumanie communiste qui demeurait dans une perspective d’aménagement et d’exploitation des ressources naturelles et des zones humides.

Le mobilier céramique représente l’essentiel des matériaux façonnés mis au jour sur le tell de Taraschina. L’objet de cette contribution est de présenter les principales tendances déduites de l’analyse des 51 ensembles céramiques mis au jour au sein de la zone 2 du site, dont la fouille s'est achevée au printemps 2015. Nous proposons ici, sous forme de planches, le corpus céramique complet de la zone 2. Celle-ci a livré, à l'issu de 4 campagnes de fouille, plus de 27 700 fragments

Comme nous l’avons évoqué dans l’introduction de cet ouvrage, l’un des objectifs de la mission « Archéologie du delta du Danube » est de réfléchir aux modalités de la néolithisation de la zone du bas Danube mais aussi à l’implication de ces communautés dans l’émergence des sociétés dites chalcolithiques, relevant de modes d’organisation complexe, à forte hiérarchisation sociale. Si, jusqu’à présent, nos recherches de terrain se sont focalisées sur la culture Gumelnița et ses développements dans la zone du delta du Danube, nous amorçons aujourd’hui un nouveau travail axé sur les modalités de l’émergence du Chalcolithique en Dobroudja, entre le littoral de la mer Noire et le Danube. Pour amorcer cette recherche, nous avons engagé une relecture des collections archéologiques issues des travaux de Dumitru Berciu dans la zone riveraine de l’actuel lac Goloviţa. Parallèlement, nous avons entrepris l’analyse des données bibliographiques et engagé un programme de datations radiocarbone. Cet article a pour objet de livrer les premiers résultats de ce programme et de préciser la problématique de nos futures recherches.

The villages on Argeș river upper valley, some of them having a population of Transylvanian origin, have developed a type of shepherding determined by specific spatial coordinates: the boundary of the settlements is relatively reduces, the arable lands occupies small areas and there are no crops alternating with the parcels left to rest, factors that make it impossible to feed flocks in the border, during the summer time. As a compensation, the villages are in the proximity of Făgăraș Mountains, which generously offer alpine pastures for drowning. These conditions together with the zonal climate gave rise to a specific time coordinate describing the mountain-pendulatory system for sheep breeding specific also to the pre-mountain villages of Albeștii de Argeș commune, to a pastoral calendar and to a schedule that mark the pastoral day in this area. This time coordinate presents the following features: 1. Low-scale agriculture does not significantly condition the time sequences specific to the pastoral process, temporal limitations imposed on grazing being generated by the need to preserve the meadows. 2. The period of exploitation of the sheep's lactating potential is relatively short, probably due to a weaker autumn feeding determined by the lack of large miriște (agricultural plot where inferior parts of the cereal stalks or from other cultivated plants) and porumbiști (plot that was previously cultivated with corn) at the border of the village. 3. The degree of agricultural involvement of the sheep is low, not very strictly regulated and it is reduced only to the autumn interval. 4. Neither the pastoral calendar nor the pastoral day hours are subordinated to the rigors imposed by măsuriș (spring custom to measure the sheep milk in order to decide the quantity of milk products that belongs to each sheeps’ owner) and by the daily distribution of the milk to the associates („the turn to milk”), the system of dividing the products towards the owner being simplu, „on sheep’s head”. 5. Programming of the litters depends mostly on the optimal date, from the economic point of view, for sacrificing of the lambs and on the needs to leave enough time for lamps from the lamb birth till climbing lambs on the mountain.

International audience; Entre 1952 et 1961, Dumitru Berciu réalise de nombreuses recherches de terrain dans la zone littorale du lac Golovița, sur la zone des communes actuelles de Baia et de Ceamurlia de Jos (département de Tulcea). Il publiera en 1966 une partie des fouilles conduites sur les habitats de Baia-Golovița et Ceamurlia de Jos. Dans le même intervalle de temps, Dumitru Berciu va réaliser des fouilles dans le village même de Baia, sur le tell de „Boruz”. En 2019, dans le cadre d’un projet de l’Académie Roumaine, un collectif Franco-Roumain a engagé la revisite des collections et des archives conservées à l’Institut d’archéologie „Vasile Pârvan“. Ce travail, encore en cours, permet de jeter un exposant nouveau regard sur le peuplement de la zone littorale de l’actuel lac Golovița entre le 6e millénaire et le 5e millénaires avant notre ère. L’analyse des archives et des prospections de terrain nous ont permis de localiser avec précisions les trois sites, et notamment le tell de „Boruz”, pour lequel nous ne disposons d’aucune archive écrite, mais seulement des ensembles mobiliers conservés à Bucarest. L’objet de cet article est de présenter un bilan d’étape, et, au vu des premières datations radiocarbone obtenues, d’évaluer les hypothèses émises par Dumitru Berciu quant à l’antériorité de l’établissement de Baia-Golovița sur celui de Ceamurlia de Jos. Un autre enjeu est de proposer une relecture, malgré l’absence d’archives, de la stratigraphie du tell Chalcolithique Gumelnița de „Boruz”.

International audience; Recent excavations at Taraschina, south-eastern Romania, have revealed an extensive Chalcolithic settlement in the heart of the Danube Delta. Based on ceramic data, Taraschina was attributed to the Gumelniţa Culture and dated to the mid 5th millenium BC by radiocarbon dating. Phytolith analysis was conducted at Taraschina in order to reconstruct some activities carried out by the Chalcolithic populations in the Danube Delta. The study was undertaken on the site sediments, as well as on additional deposits sampled around the site by coring. The results show that phytoliths characterizing cereal processing are attested in archaeological deposits, as well as in the surrounding sequence. Our study highlights an important signal of cereal processing in the heart of the Danube Delta, 6000 years ago.

The archaeological mission « Delta du Danube » is studying for more than six years the coevolution human-environment in the Danube Delta at the end of the Neolithic. This article offers a synthesis of the main results obtained from the analysis of the Gumelnița lithic industry in the Northern Dobrogea. The authors have taken into consideration both older collections as well as new ones discovered during the excavations deployed in the mentioned archaeological mission, most of all the tell settlement Taraschina (Maliuc commune). This variety of information allowed a good characterization of the Gumelnița lithic series discovered in the north of Dobrogea. The most important characteristic is represented by the import of raw material from the prebalkanic platform situated in the north-east of Bulgaria. These imports were oriented towards blade type products that were later transformed into a variety of finished objects. The typology is dominated by the end-scraper. A complete technological image will allow integrating the lithic information in the reflections regarding the socio-economic and environmental changes inside Gumelnița societies., Misiunea arheologică franco-română «Delta du Danube » studiază de mai mult de șase ani evoluția sincronă om- mediu în Delta Dunării la finalul Neoliticului. Acest articol își propune să prezinte o sinteză a principalelor rezultate obținute prin cercetarea industriei litice gumelnițene din Dobrogea de Nord. Autorii studiului au reluat atât unele serii litice descoperite pe parcursul unor săpături arheologice mai vechi cât și altele provenite de pe situri cercetate în cadrul acestei misiuni arheologice, în special așezarea- tell Taraschina (com. Maliuc). Această varietate informațională permite definirea caracteristicilor industriei litice cioplite de la sfârșitul Neoliticului în zona geografică menționată. Principala caracteristică este reprezentată de un import masiv de materie primă din platforma prebalcanică situată în spațiul de nord- est al teritoriului Bulgariei. Aceste importuri au vizat produse de tip laminar transformate ulterior în obiecte finite. Tabloul tipologic este dominat de gratoar. O imagine tehnologică completă va permite integrarea informațiilor cu privire la domeniul litic în cadrul teoriilor legate de schimbările socio- economice și de mediu din societatea gumelnițeană., Furestier Robin, Florea Mihai-Ştefan, Manolakakis Laurence, Philibert Sylvie, Carozza Laurent, Micu Cristian. Les industries lithiques énéolithiques de la Dobroudja du Nord. In: Materiale şi cercetãri arheologice (Serie nouã), N°13 2017. pp. 213-226.

Cet article traite d’un agencement pictural proustien – un arc-en-ciel turnerien entre deux Rembrandt. Sont examinees : l’ascendance rembranesque de Turner et l’evolution negative du jugement de Ruskin, fervent turnerien, sur Rembrandt. La tentative proustienne de reconcilier Ruskin avec Rembrandt reussit-elle ? Rembrandt reste-t-il trop moderne pour Ruskin ? Un debut de reponse se trouve dans la Bourgogne des Valois.

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