Search

During 2020–2021, in the context of increasing SARS-CoV-2 transmission in the general population, French authorities made the decision to keep schools open and set up massive screening campaigns for students. Here, we describe the impact of this strategy on the circulation of SARS-COV-2 among children and adolescents during this period. We analyzed SARS-COV-2 surveillance data provided by the French National Public Health Agency for the 2020–2021 school year along with the results of school-based screening campaigns implemented by the Ministry of National Education. The proportion of 0–17-year-olds among confirmed cases and tested individuals increased throughout the school year, with children and adolescents reaching a maximum of 24 % of confirmed cases in 2021 week (W) 22. During the first semester of 2021 (W3–W22), >2.6 million tests were performed in schools, with a positivity rate of 0.32 % among students. Considering only symptomatic cases, higher incidence rates occurred among children and adolescents during the 2021 wave from W9 to W17 compared with that in 2020 from W40 to W48. The incidence rate did not significantly change following the school closure periods. The higher contribution of children and adolescents to viral circulation during the 2020–2021 school year seems more related to the emergence of the alpha variant than to France's decision to keep schools open. Considering the negative impact of school closures on children's mental health, these results support the decision to keep schools open when accompanied by appropriate control measures. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Le virus de l'hépatite A (VHA) est un petit virus non-enveloppé à ARN appartenant à la famille des Picornaviridae, genre Hepatovirus. La transmission se fait principalement par voie oro-fécale. Quelques rares cas transfusionnels ont été décrits dans la littérature. En France, le dépistage du génome viral (DGV) du VHA est un test non obligatoire demandé par le LFB Biomédicaments pour les plasmas destinés au fractionnement. Depuis 2015, le DGV VHA est réalisé en pool par l'EFS sur tous les dons de sang (Procleix HAV/B19 ; automate Tigris). Une surveillance épidémiologique des donneurs dépistés ARN VHA positifs a été réalisée et a permis d'estimer le risque de prélever un donneur asymptomatique infecté par le VHA avant et pendant une épidémie en France. À partir de mi-2016, le VHA a été responsable d'épidémies en Europe impliquant principalement des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH). En 2017, le DGV VHA a révélé une prévalence de l'ARN-VHA environ 5 fois supérieure à celle de la période 2015–2016 sans épidémie significative d'hépatite A (4,4/106 contre 0,85/106, p = 0,0005). Parmi les 18 donneurs positifs, 16 ont rapporté des signes cliniques au décours du don. Dés connaissance du résultat du DGV, les produits non transfusés ont été détruits. Les enquêtes d'hémovigilance portant sur 12 transfusions sanguines (avant résultat DGV) par des PSL infectés par le VHA ont permis d'identifier un cas de contamination avéré par comparaison des souches génomiques du donneur et du receveur. En 2017, lors de l'épidémie de VHA en France, le risque de prélever un donneur de sang infecté asymptomatique a été accru tout en restant un événement rare. Cette étude sera enrichie par les données observées en 2018 & 2019. [ABSTRACT FROM AUTHOR]