25 results on '"Royer B"'
Search Results
2. Diagnostic value of skin prick-tests, specific IgE assay and basophil histamine release to assess hymenoptera venom allergy in routine allergy practice.
- Author
-
Royer, B., Harraga, S., Meyer, J.-P., Lustgarten, V., Adessi, B., Kantelip, J.-P., and Vuitton, D.A.
- Subjects
- *
BASOPHILS , *HISTAMINE , *HYMENOPTERA , *ALLERGIES - Abstract
Objectives. –Studies performed to assess the diagnostic value of tests for hymenoptera allergy are usually designed to validate the test whereas very few have evaluated these tests in routine diagnostic situations. In fact, the diagnostic value of such tests, especially skin prick-tests and basophil histamine release, has rarely been studied systematically in patients referred by their physician to an allergist for confirmation of the diagnosis and recommendations for immunotherapy. The aim of the present study was to assess the diagnostic value of skin prick-tests, specific IgE assay and basophil histamine release in patients referred to an allergy unit for suspected hymenoptera venom allergy. Patients and methods. – Diagnostic tests were done prospectively in 25 consecutive patients with allergic reactions to hymenoptera venom defined by clinical history and positive intradermal skin tests, including patients with a localized or a more extensive skin reaction associated with malaise and/or respiratory symptoms, and in 21 control subjects. The hymenoptera studied included yellow jacket (YJ) and honeybee (HB). The sensitivity, specificity, concordance and predictive values of the tests were calculated.Results. – The observed sensitivity, specificity, and positive and negatives predictive values of skin prick-tests with 100 μg/mL HB venom (in percent) 33.3; 100; 100; and 85.7, respectively, and with 100 μg/mL YJ venom 30; 100; 100 and 85, respectively. For skin prick-tests with 300 μg/mL HB venom the values were 75; 100; 100 and 94, respectively and for skin prick-tests with 300 μg/mL YJ venom 57; 100; 100 and 90.3, respectively. For specific IgE assays, the values for HB were 100; 95.2; 84 and 100, respectively and for YJ 100; 76.2; 51.2, and 100, respectively. For basophil histamine release the values for HB were 89; 100; 100 and 97.3 for YJ they were 94; 89, 6 and 98.4, respectively. Conclusions. – Skin prick-tests with venom concentrations under 300 μg/mL are not sensitive enough for an accurate diagnosis of hymenoptera allergy. Basophil histamine release appears to be a good complementary test but it needs better standardization. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2004
- Full Text
- View/download PDF
3. Prognostic value of cardio-pulmonary exercise testing in cardiac amyloidosis.
- Author
-
Nicol, M., Deney, A., Lairez, O., Vergaro, G., Emdin, M., Inamo, J., Montfort, A., Damy, T., Harel, S., Royer, B., Baudet, M., Cohen Solal, A., Arnulf, B., and Logeart, D.
- Abstract
In amyloid patients, cardiac involvement worsens dramatically both functional capacity and prognosis. We sought to study how the cardio-pulmonary exercise test (CPET) could help in functional assessment and risk stratification of patients with cardiac amyloidosis (CA). We carried out a prospective multicenter study including both immunoglobulin light chain (AL) and transthyretin (TTR) cardiac amyloidosis patients. All patients underwent clinical examination, EKG, blood measurement of cardiac biomarkers, echocardiography, CPET and clinical follow-up. The primary prognostic endpoint was the occurrence of death or heart failure (HF) hospitalization. We included 150 patients: 91 AL and 59 TTR cardiac amyloidosis. Median age, systolic blood pressure, NT-proBNP and cardiac troponin T were 70 [64–78] years old, 121 [IQR 109–139] mmHg, 2809 [IQR 1218–4638] ng/L and 64 [IQR 33–120] ng/L respectively. NYHA classes were I–II in 64% and III in 36%. The mean peak VO 2 was low at 13.0 mL/kg/min [10.0–16.9] i.e. 56% of predicted value; mean circulatory power was also impaired (1729 mmHg.mL
−1 min_1 , IQR 1318–2614). The VE/VCO 2 slope i.e. respiratory response was increased to 37 [IQR 33–45]. Seventy-seven patients (51%) had also severe chronotropic insufficiency. After a median follow-up of 20months, there were 37 deaths and 44 HF-related hospitalizations. Multivariate Cox analysis shows that peak VO 2 (HR 2.7; CI 95% 1.6–4.8), circulatory power (HR 2.4; CI 95% 1.2–4.6) and NT-proBNP (HR 2.2, CI 95% 1.1–4.3) were independently associated with the primary outcome. There was no event in patients with both peak VO2 > 13 mL/kg/min and NTproBNP < 1800 ng/L, while the association of peak VO2 < 13 mL/kg/min and NTproBNP > 1800 ng/L identified the subset at highest risk (Fig. 1). In CA, CPET helps to assess functional capacity, circulatory and chronotropic responses and helps to assess the prognosis of patients along with cardiac biomarkers. [ABSTRACT FROM AUTHOR]- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
4. 451PPharmacokinetic drug-drug interaction between mitotane and etoposide in the treatment of adrenocortical carcinoma.
- Author
-
Jouinot, A, Royer, B, Moeung, S, Chatelut, E, Bellesoeur, A, Assié, G, Thomas-Schoemann, A, Bertherat, J, Goldwasser, F, and Blanchet, B
- Subjects
- *
ETOPOSIDE , *CARCINOMA , *MEDICAL societies , *CLINICAL pharmacology , *THERAPEUTICS , *ADRENAL tumors - Published
- 2018
- Full Text
- View/download PDF
5. Syndrome d’Evans de l’adulte : série rétrospective monocentrique de 15 cas.
- Author
-
Gourguechon, C., Royer, B., Salle, V., Schmidt, J., Duhaut, P., and Marolleau, J.P.
- Abstract
Introduction Le syndrome d’Evans est une association rare entre une thrombopénie auto-immune (TAI) et une anémie hémolytique auto-immune. La prise en charge thérapeutique est plus complexe que celle des 2 pathologies isolées, en raison de la nécessité de recours à différentes lignes thérapeutiques, de façon dissociée dans le temps. La prise en charge du syndrome d’Evans n’est pas consensuelle. Observation Nous avons identifié à partir du codage des diagnostics (PMSI) les patients pris en charge dans notre centre entre 2004 et 2012 avec le code D693 en diagnostic principal ou associé. Nous avons revu les données cliniques et biologiques de 387 patients. Le diagnostic de syndrome d’Evans a été retenu chez 15 patients dont 7 hommes et 8 femmes. L’âge moyen au moment du diagnostic de syndrome d’Evans était de 58,7 ± 20,3 ans. Le diagnostic des cytopénies était simultané pour 5 patients (33,3 %), la thrombopénie auto-immune précédait le début de l’ anémie hémolytique auto-immune chez 5 patients (33,3 %) tandis qu’elle était inaugurale chez 5 patients (33,3 %). Le délai moyen entre le diagnostic des cytopénies, lorsque la présentation était séquentielle, était de 2,4 ± 2,8 ans Des manifestations hémorragiques étaient présentes chez 54,5 % des patients au moment diagnostic ou au cours de l’évolution en rapport avec leur thrombopénie auto-immune, sans qu’aucune hémorragie engageant le pronostic vital n’ait été recensée. Une transfusion érythrocytaire a été nécessaire pour huit patients en raison d’une mauvaise tolérance de l’anémie hémolytique auto-immune, d’un terrain à risque de souffrance d’organes nobles (notamment antécédents d’accident vasculaire cérébral [AVC], de coronaropathie) ou en cas d’aggravation initiale malgré le traitement de première ligne. Une transfusion plaquettaire était réalisée chez 4 patients atteints d’un syndrome hémorragique cutanéomuqueux non sévère, dans un contexte de thrombopénie résistante aux traitements de première ligne. Le TCD était de spécificité de type IgG et C3d chez 2 tiers des patients, associée à la présence d’agglutinines froides à titre significatif (supérieur à 1/64) chez 2 patients, correspondant à une anémie hémolytique auto-immune « mixte ». L’hémoglobinémie au moment du diagnostic d’anémie hémolytique auto-immune était de 9,1 ± 2,5 g/dL et le nombre moyen de plaquettes de 33,9 ± 32,4 g/dL. Le syndrome d’Evans était primitif chez 4 patients. Onze patients étaient atteints d’une pathologie associée au syndrome d’Evans. Une leucémie lymphoïde chronique était retrouvée chez 4 patients, précédant le diagnostic de cytopénie auto-immune dans 3 cas et de syndrome d’Evans dans tous les cas. Un patient développait une thrombopénie auto-immune à la suite d’une intensification thérapeutique avec autogreffe de cellules pour le traitement de sa leucémie lymphoïde chronique. Aucun patient ne recevait de traitement par fludarabine lors du diagnostic d’anémie hémolytique auto-immune. Les autres étiologies associées étaient un cas de lupus érythémateux systémique, évoluant depuis 40 ans avant que le diagnostic de syndrome d’Evans soit évoqué, un cas de syndrome des antiphospholipides compliqué de thromboses veineuses profondes et d’un AVC ischémique embolique, un cas de maladie coeliaque séronégative, associée à des manifestations cutanées inflammatoires (psoriasis du cuir chevelu) et infectieuses (verrues récidivantes) et de LAI-T. Les 3 autres patients présentant une affection sous jacente n’avaient pas de diagnostic étiologique précis mais un tableau clinique et paraclinique évocateur d’une pathologie associée. Tous les patients ont eu une corticothérapie de première ligne pour leur anémie hémolytique auto-immune, avec une dose initiale de 0,5 à 2 mg/kg. Tous les patients étaient répondeurs. Une corticothérapie de première ligne pour la thrombopénie auto-immune était nécessaire chez 12 patients (80 %), avec 83 % de patients répondeurs dont 8 réponses complètes et 2 partielles. Un traitement de deuxième ligne s’est avéré nécessaire chez 8 patients (54,5 %). Une splénectomie a été réalisée chez 6 patients, dont 2 après l’échec du rituximab. Les autres traitements de seconde ligne incluaient le rituximab chez 7 patients, l’azathioprine chez 3 patients avec une réponse complète constante (arrêt pour intolérance chez une patiente), les alcaloïdes chez 3 patients en association au rituximab avec réponse complète chez 2 patients, l’hydroxychloroquine chez un patient avec syndrome des antiphospholipides primaire pour corticodépendance avec réponse complète. Conclusion Le syndrome d’Evans est une association rare de cytopénies autoimmunes. Son pronostic est lié à l’existence d’une affection associée, en particulier une hémopathie maligne. La prise en charge de la thrombopénie auto-immune nécessite en général plus de traitement que celle de l’anémie hémolytique auto-immune. Les traitements spécifiques de l’affection sous jacente peuvent être efficaces dans cette pathologie. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
6. Immunothérapie de substitution pour déficit immunitaire secondaire associé à une hémopathie maligne. Efficacité, tolérance et évolution du traitement au cours d’un suivi de 12 mois dans le cadre de l’étude Epicure
- Author
-
Choquet, S., Royer, B., Benbrahim, O., Crave, J.C., Delain, J.C., Clerson, P., Lévy, V., and Viallard, F.
- Abstract
Introduction Les hémopathies malignes sont fréquemment associées à un déficit immunitaire secondaire, facteur majeur d’infections. Chez les patients présentant un déficit immunitaire secondaire avec hypogammaglobulinémie, une immunothérapie substitutive par immunoglobulines polyvalentes humaines normales (IgG) diminue le risque d’infections graves. La mise en route et la poursuite de l’immunothérapie de substitution dépendent d’une analyse individuelle du risque infectieux. Le traitement vise à assurer un taux résiduel d’Ig d’au moins 5 g/L chez l’adulte. Matériels et méthodes Étude observationnelle multicentrique, prospective, longitudinale, en conditions de vie réelle, incluant des patients adultes atteints d’un déficit immunitaire secondaire dans le cadre d’une hémopathie maligne et débutant une immunothérapie de substitution quelles que soient la voie ou le lieu d’administration. L’objectif de l’étude Épicure était de décrire les indications et les modalités de l’immunothérapie de substitution à l’inclusion puis, pour les patients recevant l’Octagam ® ou le Gammanorm ® , au cours d’un suivi de 12 mois ou jusqu’à l’arrêt de l’immunothérapie de substitution. Résultats Trente centres ont recruté 238 patients entre mars 2012 et mars 2014. 7 patients ne respectaient pas les critères d’inclusion et l’analyse à l’inclusion a porté sur 231 patients. Parmi eux, 160 patients (67 ± 11 ans, 62 % d’hommes) ont reçu Octagam ® ou Gammanorm ® . Ces patients étaient atteints d’un myélome ( n = 54), d’une leucémie lymphoïde chronique ( n = 44), d’un lymphome B non hodgkinien agressif ( n = 19), d’un lymphome B non hodgkinien indolent ( n = 29, 51 % traités), ou une maladie de Hodgkin ( n = 4). Les patients ont été suivis pendant 8,7 ± 4,0 mois. 17 (10,6 %) sont décédés au cours du suivi et 5 décès ont été considérés par le médecin comme étant d’origine infectieuse. Chez les patients survivants, l’hémopathie maligne est restée stable dans 65 % des cas, s’est améliorée dans 31 % des cas et s’est aggravée dans 4 % des cas. 95 % des patients n’ont bénéficié d’aucune antibioprophylaxie en dehors du sulfaméthoxazole-triméthoprime et du valaciclovir. La fréquence et la sévérité des infections ont diminué sous immunothérapie de substitution ( Tableau 1 ), tandis que le taux d’Ig augmentait en moyenne de 2,1 ± 2,6 g/L par rapport au taux basal à l’entrée dans l’étude. 32 % des patients avaient au moins un dosage d’Ig inférieur à 5 g/L au cours du suivi, sans différence en fonction de la voie d’administration. Les changements de voie d’administration au cours du suivi ont été rares : 4 patients sont passés de la voie intraveineuse à la voie sous-cutanée et 4 patients de la voie sous-cutanée à la voie intraveineuse. L’immunothérapie de substitution a été abandonnée par 9 % des patients, arrêtée pour futilité par 31 % des patients, suspendue puis reprise par 8 % des patients, suspendue pendant l’été par 14 % des patients et poursuivie sans interruption par 38 % des patients. Les arrêts estivaux étaient inégalement répartis entre les centres, soulignant l’hétérogénéité des pratiques. La compliance s’est avérée excellente : seuls 7 patients (4 %) ont manqué une injection ou plus au cours du suivi. L’immunothérapie de substitution a été bien tolérée : 5 patients ont arrêté le traitement en raison d’effets indésirables. La clairance de la créatinine est restée stable quelle que soit la voie d’administration. Conclusion L’immunothérapie de substitution a permis de diminuer le risque infectieux chez les patients présentant un déficit immunitaire secondaire dans le cadre d’une hémopathie maligne et s’est avérée bien tolérée. L’étude a permis de mettre en évidence l’hétérogénéité des pratiques pour les conditions de poursuite de l’immunothérapie de substitution. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
7. Immunothérapie de substitution pour déficit immunitaire secondaire associé à une hémopathie maligne. Profil des patients et attente des médecins dans l’étude Épicure.
- Author
-
Choquet, S., Royer, B., Benbrahim, O., Delain, J.C., Crave, J.C., Clerson, P., Lévy, V., and Viallard, J.F.
- Abstract
Introduction Les hémopathies malignes sont fréquemment associées à un déficit immunitaire secondaire responsable d’infections aggravant leur pronostic. Le déficit immunitaire secondaire peut être causé par l’hémopathie maligne, ou être induit ou aggravé par ses traitements ou ses complications (immunosuppresseurs, anticorps monoclonaux anti-CD20, immunomodulateurs, corticothérapie). Les déficits immunitaires secondaires avec hypogammaglobulinémie peuvent nécessiter une immunothérapie de substitution par administration d’immunoglobulines polyvalentes humaines normales (IgG). Les données concernant cette utilisation sont anciennes et ne prennent pas compte des traitements actuels [1,2] . L’étude Épicure est une étude de « vrai vie » visant à étudier la pratique actuelle en France. Matériels et méthodes Étude observationnelle multicentrique, prospective incluant des patients adultes présentant un déficit immunitaire secondaire dans le cadre d’une hémopathie maligne et débutant une immunothérapie de substitution quels que soient la voie (intraveineuse ou sous-cutanée) ou le lieu d’administration (hôpital ou domicile). L’objectif de l’étude Épicure était de décrire les indications et les modalités de l’ immunothérapie de substitution ainsi que les attentes des médecins. Résultats Trente centres ont recruté 238 patients entre 2012 et 2014. 7 patients ne respectaient pas les critères d’inclusion et l’analyse a porté sur 231 patients (66 ± 12 ans, 65 % d’hommes). Les patients étaient atteints d’un myélome ( n = 64, immunothérapie ou chimiothérapie en cours pour 73 %), d’une leucémie lymphoïde chronique ( n = 84, 30 % traités), d’un lymphome B non hodgkinien agressif ( n = 32, 25 % traités), d’un lymphome B non hodgkinien indolent ( n = 39, 51 % traités), d’une leucémie aiguë ( n = 6, 33 % traités), une maladie de Hodgkin ( n = 6, 17 % traités). 41 % des hémopathies malignes étaient des rechutes ou réfractaires, 23 % des patients avaient reçu une autogreffe et 5 % une allogreffe. Les patients présentaient d’autres facteurs de risque infectieux : cytopénie auto-immune (8 %), autre maladie auto-immune (3 %), insuffisance rénale (16 %), diabète (12 %). Au cours des 12 derniers mois, les patients avaient été atteints pour 1,9 ± 1,5 d’épisodes infectieux ayant requis une antibiothérapie, pour 0,5 ± 0,9 d’épisodes avec antibiothérapie intraveineuse, pour 0,7 ± 1,0 d’épisodes avec hospitalisation. 42 % avaient été hospitalisés au moins une fois pour une infection durant cette période. 68 % des patients avaient un taux sérique de gammaglobulines inférieur à 5 g/L. Les IgG ont été prescrites par voie intraveineuse (50 %, 412 ± 233 mg/kg/mois) ou sous-cutanée (50 %, 95 ± 32 mg/kg/semaine) ; la première injection a eu lieu à l’hôpital dans 98 % des cas ; les futures administrations étaient prévues à l’hôpital pour 99 % des patients recevant le traitement par injection intraveineuse et à domicile pour 97 % des patients recevant le traitement par voie sous-cutanée. Le choix de la voie d’administration était indépendant de la fonction rénale. 7 % des patients ont également reçu une antibioprophylaxie (autre que sulfaméthoxazole-triméthoprime et valaciclovir). Les médecins attendaient de l’immunothérapie de substitution une prévention des infections modérées et sévères (attente importante ou très importante pour 82 % et 86 % des patients), une amélioration de la qualité de vie des patients (74 %), une diminution du nombre d’hospitalisations (73 %) et une diminution de la consommation d’antibiotiques (81 %). Les médecins espéraient également une amélioration de la survie chez 56 % des patients. Conclusion L’étude Épicure représente à ce jour la plus importante collecte de données de patients souffrant d’un déficit immunitaire secondaire associé à une hémopathie maligne et traités par IgG polyvalentes. Ces patients ont un risque infectieux avéré et une hypogammaglobulinémie marquée, alors que dans la moitié des cas, l’hémopathie maligne est en rémission ou fait l’objet d’une surveillance simple. Les IgG sont pour 50 % administrées par voie sous-cutanée. Dans ce contexte, les attentes des médecins portent sur la prévention du risque infectieux sévère mais également sur les infections modérées dans un objectif d’amélioration de la qualité de vie de ces patients de plus en plus substitués à domicile. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
8. Retrospective analysis of 3D set-up images for external beam radiation treatment.
- Author
-
Royer, B. and Chiavassa, S.
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
9. Pharmacological inhibition of interleukin-15 prevents colitis and associated bone loss in IL-10 knockout mice
- Author
-
Royer, B. Brounais-Le, Ferrari-Lacraz, S., Velin, D., Zheng, X.X., Ferrari, S.L., and Pierroz, D.
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
10. POSB404 Therapeutic Management of Multiple Myeloma and Healthcare Resource Assessment By Matching the Emmy Cohort to the Data of the National Health Data System (SNDS) in France.
- Author
-
Decaux, O, Frenzel, L, Royer, B, Belhadj, K, Perrot, A, Caillot, D, Leleu, X, Farge, A, Vekhoff, A, Schulmann, S, Ronan, G, Texier, N, Willaime, M, Nobili Escriva, C, Boccaccio, C, and Hulin, C
- Subjects
- *
MULTIPLE myeloma , *MEDICAL care - Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
11. Efficacité et sécurité de la dapsone dans le purpura thrombopénique immunologique. Résultats d'un essai multicentrique randomisé, contrôle par placebo et d'un essai émulé mono bras dans le registre Carmen.
- Author
-
Larue, M., Moulis, G., Rueter, M., Audia, S., Terriou, L., Viallard, J.F., Pan-Petesch, B., Royer, B., Bonnotte, B., Galicier, L., Lambotte, O., Lefrere, F., Cheze, S., Ebbo, M., Mahevas, M., Godeau, B., and Michel, M.
- Abstract
Les corticoïdes ± les immunoglobulines intraveineuses (IgIV) sont le traitement classique de première ligne pour les adultes atteints de purpura thrombopénique immunologique (PTI). La dapsone est parfois utilisée en 2e ligne à visée d'épargne cortisonique dans le PTI de l'adulte avec un niveau de preuve faible. Cette étude visait à évaluer l'efficacité et la sécurité de la dapsone comme traitement de deuxième ligne du PTI primaire. L'étude DAPS-ITP était un essai prospectif multicentrique, randomisé, contrôlé versus placebo, ouvert qui visait à évaluer l'efficacité et la sécurité de la dapsone en tant que traitement de deuxième intention chez des adultes atteints de PTI. Les patients inclus avaient un PTI primaire ; nouvellement diagnostiqué, persistant ou chronique ; un taux de plaquettes ≤ 30 G/L (ou < 50 G/L en cas de saignement) ; et une réponse antérieure aux corticoïdes ± IgIV avant la rechute. Les patients randomisés dans le groupe A recevaient de la dapsone 100 mg/jour en association à de la prednisone pendant 3 semaines et ceux du groupe B recevaient uniquement un traitement par prednisone pendant 3 semaines. Le critère de jugement principal était le taux de réponse globale (réponse complète ou réponse partielle) à la semaine 52, en l'absence de tout traitement de secours du PTI au-delà de la 6e semaine et de tout autre traitement pour le PTI pendant la période d'étude. La réponse à la semaine 24 et la sécurité ont aussi été évalués. En plus de l'essai DAPS-ITP, une étude émulée à un seul bras a été menée dans le registre prospectif et multicentrique CARMEN qui inclut des patients adultes récemment diagnostiqués avec un PTI en France. Les patients du registre inclus jusqu'au 31/12/2022 et qui répondaient aux critères d'inclusion de l'essai DAPS-ITP, ont été sélectionnés. Les mêmes critères de réponse que dans l'essai DAPS-ITP ont été utilisés. Au total, 93 patients ont été inclus et randomisés dans l'essai DAPS-ITP (âge médian : 51 ans ; 51 % de femmes ; numération plaquettaire médiane : 25 × 109/L ; durée médiane du PTI : 0,3 ans) : 42 dans le bras A et 45 dans le bras B. En intention de traiter, le taux de réponse globale (ORR) à la semaine 52 était de 8,7 % (IC95 % : 2,8–18,9) dans le bras A et de 4,3 % (0,8–12,8) dans le bras B. A la semaine 24, l'ORR était de 25 % (IC95 % : 11,1–41,8) dans le bras A et de 12,8 % (IC95 % : 5,2–23,9) dans le bras B. Un décès dû à une hémorragie intracrânienne est survenu dans le bras A. Dans le bras A, 78 % des patients ont arrêté prématurément la dapsone, principalement en raison de son inefficacité ou de problèmes de sécurité tels qu'une anémie, une méthémoglobinémie ou une toxidermie. Dans le registre CARMEN, sur les 1645 patients inclus, 127 ont été exposés à la dapsone. Parmi eux, 50 patients répondaient aux critères de l'essai DAPS-ITP et ont été suivis pendant 52 semaines. L'ORR était de 10,6 % (IC95 % : 3,5–23,1) à la semaine 52 et de 20,0 % (IC95 % : 9,6–34,6) à la semaine 24. Dix-sept patients (34,0 %) ont présenté 19 effets indésirables au total, dont 8 anémies hémolytiques, 4 méthémoglobinémies et 3 éruptions cutanées. Douze patients ont arrêté la dapsone en raison d'un effet indésirable. Parmi les adultes atteints de PTI primaire avec des plaquettes ≤ 30 G/L et traités avec la dapsone en 2e intention, seule une minorité a obtenu une réponse durable à la semaine 52. Ce faible taux de réponse peut être en partie attribué à un taux élevé et inattendu d'arrêts prématurés en raison principalement d'effets indésirables, dont certains auraient pu être gérés en dehors d'un essai clinique. Des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux définir quels sont les rares patients qui pourraient encore bénéficier de la dapsone, dans une perspective d'efficacité sur le pharmacoéconomique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2023
- Full Text
- View/download PDF
12. Thromboses sous agonistes du récepteur de la thrombopoïétine au cours du purpura thrombopénique immunologique. Étude rétrospective multicentrique en France.
- Author
-
Weber, E., Moulis, G., Mahévas, M., Guy, C., Lioger, B., Durieu, I., Hunault, M., Ramanantsoa, M., Royer, B., Default, A., Pérault-Pochat, M.-C., Moachon, L., Bernard, N., Bardy, G., Jonville-Bera, A.-P., Geniaux, H., Godeau, B., and Cathébras, P.
- Abstract
Résumé Introduction Le risque de thrombose sous agonistes du récepteur de la thrombopoïétine (romiplostim, eltrombopag) chez des patients traités pour un purpura thrombopénique immunologique est mal apprécié en vie réelle de même que les circonstances de survenue d’un événement thrombotique et sa prise en charge. Les objectifs de cette étude étaient de préciser les facteurs de risque, les circonstances de survenue et la prise en charge des thromboses survenant sous agonistes au cours du purpura thrombopénique immunologique. Méthode Étude multicentrique rétrospective nationale française, incluant les cas signalés aux centres régionaux de pharmacovigilance. Résultats Quarante et un cas de thromboses (13 artérielles) chez 36 patients (14 hommes et 22 femmes, âge médian : 59 ans) ont été inclus sur une période de janvier 2009 à octobre 2015. Vingt patients étaient traités par romiplostim, 15 par eltrombopag et 1 patient recevait les deux médicaments. Trente-trois patients (92 %) avaient un autre facteur de risque de thrombose. Dix (28 %) avaient un antécédent de thrombose et 13 (36 %) avaient reçu une perfusion d’immunoglobulines dans le mois précédent l’événement thrombotique. Le taux plaquettaire médian était de 172 G/L (1 à 1049 G/l) ; 3 patients avaient des anticorps anti-phospholipides et 4 thrombophilies constitutionnelles de faible impact (mutation hétérozygote du facteur V Leiden, élévation du facteur VIII, mutation hétérozygote du gène MTHFR ) étaient notées ; 18 patients (50 %) étaient splénectomisés. L’évolution de la thrombose était favorable dans 22 cas (56 %) après traitement par anticoagulants ou antiagrégants avec un suivi moyen de 13 mois. Des manifestations hémorragiques sous traitement antiagrégant ou anticoagulant ont été observées chez 14 % des patients, dont 5 % étaient sévères (1 décès d’hémorragie intracrânienne, 1 décès de choc hémorragique). Conclusion Une évaluation rigoureuse du risque thrombotique doit précéder l’instauration d’un traitement par agoniste du récepteur de la thrombopoïétine. Le rôle des anticorps antiphospholipides ou d’une thrombophilie constitutionnelle reste à définir. Cette prescription doit être évitée en cas d’antécédent thrombotique. L’évolution défavorable était principalement secondaire à des séquelles ischémiques. Introduction Thrombopoietin-receptor agonists (TPO-RA) are marketed for immune thrombocytopenia (ITP). They have been associated to thrombosis occurrence in randomized controlled trials. However, the characteristics of these thromboses in the real-life practice as well as their management are poorly known. The objectives of this study were to determine the risk factors, circumstances and management of thrombosis occurring during exposure to TPO-RA in ITP. Methods We carried out a multicentre retrospective study in France. Moreover, all cases reported to the French pharmacovigilance system were also analyzed. Results Overall, 41 thrombosis (13 arterial) in 36 ITP patients (14 males and 22 females, mean age: 59 years) were recorded between January 2009 and October 2015. Twenty patients were treated with romiplostim, 15 with eltrombopag and 1 was treated by both medications. Thirty-three (92%) of the patients had another risk factor for thrombosis. Ten (28%) had an history of thrombosis and 13 (36%) received immunoglobulin in the month preceding the thrombotic event. Three had antiphospholipid antibodies; congenital low-risk thrombophilia was found in 4 cases; 18 patients (50%) were splenectomized. Median platelet count at the time of thrombosis was 172 G/l (1–1049 G/l). In 22 patients (56%), a good prognosis was associated with the thrombosis and was not linked with TPO-RA withdrawal. Bleeding events occurred in 14% of the patients treated with antiplatelet or anticoagulant drug, including 5% serious events (1 death of intracranial haemorrhage, 1 death of haemorrhagic shock). Conclusions The thrombotic risk may be carefully assessed before starting TPO-RA in ITP patients. The impact of antiphospholipid antibodies and of congenital thrombophilia remains to be defined. Thrombosis evolution seems independent of TPO-RA management. Bleeding manifestations seem rare. Poor prognosis was mainly due to ischemic sequelae. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
- Full Text
- View/download PDF
13. Sclérœdèmes de Buschke liés à une gammapathie monoclonale : série de 15 cas et revue de la littérature.
- Author
-
Hulin, M., Jachiet, M., Chasset, F., Harel, S., Royer, B., Fain, O., Bégon, E., Carpentier, O., Bessis, D., Decaux, O., Deroux, A., Dupin, N., Poiraud, C., Mascaró, J.M., Fernandez, D.L.C., Osio, A., Battistella, M., Bouaziz, J.D., Arnulf, B., and Mahévas, T.
- Abstract
Le sclérœdème de Buschke (SB) est un syndrome sclérodermiforme (SS) rare appartenant au groupe des mucinoses cutanées parfois associé à une gammapathie monoclonale (GM). Les caractéristiques cliniques, le pronostic et la thérapeutique de ces formes sont très peu décrites. Étude multicentrique rétrospective des cas de SB avec GM définis par un SS en pèlerine, fibrose dermique et des dépôts de mucine observés en France et à Barcelone entre 1995 et 2021 et une revue systématique de la littérature. Quinze patients ont été inclus (âge médian 53 ans, sex-ratio H/F = 1,1). Outre le SS en pèlerine, une sclérose du visage (n = 8) et une limitation des amplitudes articulaires (n = 8) étaient notées. Les atteintes extra-cutanées étaient : pulmonaire (dyspnée [ n = 10], pneumopathie interstitielle diffuse [ n = 1] et cardiaque [ n = 5], cardiomyopathie hypertrophique [ n = 3], péricardite [ n = 2] dont 1 décès, ischémique [ n = 1]). La GM était principalement IgG (n = 9), IgM (n = 3), kappa (n = 8), lambda (n = 7) le plus souvent isolée (n = 12) ou associée à un myélome multiple (MM) (n = 2) ou une maladie de Waldenström (MW) (n = 1). Histologiquement, aucun patient n'avait de prolifération fibroblastique. Les traitements étaient : PUVA (2 réponses cutanées partielles [RCP]), prednisone per os (2 RCP) ± MTX (1 RCP). Six patients au total ont reçu un traitement ciblant : (1) un clone plasmocytaire (CP) (2 GM IgG isolées et 2 MM stade III) associant de manière variable inhibiteurs du protéasome, alkylants, imids (thalidomide, lenalidomide), corticoïdes (CTC) ± autogreffe et anticorps monoclonal (AM) anti-CD38 (daratumumab) ou (2) un clone lymphoplasmocytaire (CLP) (1GM IgM isolée et une MW) associant AM anti-CD20 (rituximab), alkylants et CTC. Ces traitements entraînaient une RCP significative (n = 5), parfois complète (RCC) (n = 1) corrélée à la réponse hématologique, soit complète ou quasi complète. L'analyse de nos cas combinée aux 42 autres de la littérature révélait une prédominance des GM isolées (n = 36), suivis des MM (n = 17) puis d'autres lymphoproliférations (n = 4). Les atteintes extra-cutanées les plus fréquentes étaient : pulmonaire (n = 13), cardiaque (n = 9). On notait une grande inefficacité des CTC (RCP < 25 % des cas) des UV, du MTX. Les IgIV entraînaient une RCP dans la moitié des cas. Les protocoles ciblant le clone plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire entraînaient 2 RCC, 8 RCP, et 2 échecs. Il s'agit de la plus vaste étude menée sur le sujet. Le manque d'efficacité des stratégies immunomodulatrices « classiques » ou des UV contrastait avec l'efficacité plus importante de molécules ciblant le CP dans des formes sévères de SB. L'association à des cardiomyopathies hypertrophiques et des atteintes pulmonaires certes rares, incitent à reconsidérer le SB comme une GM de signification clinique engageant potentiellement le pronostic vital et pouvant justifier dans certains cas le ciblage du CP ou CLP. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
14. Safe and prolonged survival with long-term exposure to pomalidomide in relapsed/refractory myeloma.
- Author
-
Fouquet, G., Pegourie, B., Macro, M., Petillon, M. O., Karlin, L., Caillot, D., Roussel, M., Arnulf, B., Mathiot, C., Marit, G., Kolb, B., Stoppa, A. M., Brechiniac, S., Richez, V., Rodon, P., Banos, A., Wetterwald, M., Garderet, L., Royer, B., and Hulin, C.
- Subjects
- *
MULTIPLE myeloma treatment , *THALIDOMIDE , *MEDICATION safety , *CANCER relapse , *DEXAMETHASONE , *CLINICAL trials , *THERAPEUTICS - Abstract
Background: The IFM2009-02 trial studied pomalidomide (4 mg daily, 21/28 versus 28/28) and dexamethasone in very advanced relapsed or refractory multiple myeloma (RRMM). We observed that 40% of patients had a prolonged progression- free survival (PFS) and subsequently overall survival (OS). We sought to analyze the characteristics of these patients and study the effect of long exposure to pomalidomide. Design: We separated the studied population into two groups: 3 months to 1 year (<1 year) and more than 1 year (=1 year) of treatment with pomalidomide and dexamethasone based on clinical judgment and historical control studies. We then analyzed the characteristics of patients according to duration of treatment. Results: The overall response rate (ORR) for the <1-year group was 43%, the median PFS 4.6 months [95% confidence interval (95% CI) 3.8-6.4] with only 6% at 12 months, and the median OS was 15 months (11.7-20.3) and 40% at 18 months. For the =1-year group, the response rate and survival were strikingly different, ORR at 83%, median PFS 20.7 months (14.7-35.4), median OS not reached, and 91% at 18 months. Conclusion: Pomalidomide and dexamethasone favored prolonged and safe exposure to treatment in 40% of heavily treated and end-stage RRMM, a paradigm shift in the natural history of RRMM characterized with a succession of shorter disease-free intervals and ultimately shorter survival. Although an optimization of pomalidomide-dexamethasone regimen is warranted in advanced RRMM, we claim that pomalidomide has proven once more to change the natural history of myeloma in this series, which should be confirmed in a larger study. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
15. Artificial increase of uracilemia during fluoropyrimidine treatment can lead to DPD deficiency misinterpretation.
- Author
-
Thomas, F., Maillard, M., Launay, M., Tron, C., Etienne-Grimaldi, M.-C., Gautier-Veyret, E., Haufroid, V., Pallet, N., Royer, B., Narjoz, C., and Schmitt, A.
- Subjects
- *
FLUOROPYRIMIDINES , *DIHYDROPYRIDINE - Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
16. Alterations in bone mineral density and bone turnover markers in newly diagnosed adults with lymphoma receiving chemotherapy: a 1-year prospective pilot study.
- Author
-
Paccou, J., Merlusca, L., Henry-Desailly, I., Parcelier, A., Gruson, B., Royer, B., Charbonnier, A., Ursu, D., Desailloud, R., Garidi, R., Kamel, S., Sevestre, H., Marolleau, J. P., Fardellone, P., and Damaj, G.
- Subjects
- *
LYMPHOMA diagnosis , *BONE density , *CANCER chemotherapy , *BONE fractures , *ADRENOCORTICAL hormones , *LONGITUDINAL method - Abstract
This prospective study shows for the first time that adult patients with newly diagnosed lymphoma receiving modern chemotherapy regimens experienced, early in the course of the disease significant BMD loss at the lumbar spine and hip.Background Bone mineral density (BMD) loss is poorly defined in lymphoma patients. The aim of this study was to measure the extent of BMD loss in newly diagnosed lymphoma patients receiving chemotherapy. Patients and methods This was a prospective, single-center study conducted in patients aged ≥18 years with previously confirmed lymphoma treated by chemotherapy. Patients with low baseline BMD defined as Z/T-score less than or equal to −2.5 and/or history of osteoporotic fractures were excluded. BMD was measured at baseline before initiating chemotherapy and 1 year later. Predictive factors of BMD loss were investigated. Results Forty-one lymphoma patients (31 males and 10 females) receiving chemotherapy were enrolled. The median age at diagnosis was 59 (range: 19–86) years. Histological subtypes were predominantly diffuse large B-cell lymphoma (58%), mostly stage III–IV (54%). All patients received chemotherapy and 22% of patients received second-line treatment due to relapse or progressive disease. Thirty-two patients were evaluable at 1 year. The mean BMD changes were: −2.7% ± 3.9% for lumbar spine (P < 0.001), −2.2% ± 7.6% for femoral neck (P < 0.01) and −2.6% ± 4.5% for total hip (P < 0.0001). In multivariate analysis, predictive factors of BMD loss at baseline were (i) at lumbar spine: female gender (P = 0.01), higher lactate dehydrogenase level (P = 0.04) and lower creatinine clearance (P = 0.01); (ii) at total hip: lower albumin (P = 0.01), higher corrected serum calcium (P < 0.01), lower alkaline phosphatase (AP) (P < 0.01) and autologous stem cell transplant (P = 0.03); and (iii) at femoral neck: higher corrected serum calcium (P = 0.02) and lower bone AP (P = 0.01). Conclusion Adult patients with known lymphoma receiving chemotherapy experienced significant BMD loss at 1 year. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
- Full Text
- View/download PDF
17. Intensification thérapeutique dans les maladies auto-immunes
- Author
-
Mahevas, M., Vaida, I., Le Page, L., Sid-Idris, S., Royer, B., Garedi, R., Damaj, G., Duhaut, P., Claisse, J.-F., Ducroix, J.-P., and Marolleau, J.-P.
- Subjects
- *
AUTOIMMUNE diseases , *HEMATOPOIETIC stem cells , *RHEUMATOID arthritis , *LUPUS erythematosus , *MULTIPLE sclerosis , *PATIENTS - Abstract
Abstract: Purpose: During the past ten years, more than 1000 patients suffering from severe autoimmune disease have received an autologous haematopoietic stem cell transplant. These new therapeutic have been used in systemic sclerosis (scleroderma), multiple sclerosis, rheumatoid arthritis, juvenile idiopathic arthritis and systemic lupus erythematosus. Current knowledge and key points: Autologous haematopoietic stem cell transplantation has become a curative option for condition with very poor prognosis as severe systemic sclerosis, lupus erythematosus or other systemic diseases. This review summarizes the current experience in the phase I and II clinical trials in Europe and North America. We describe the main results and the limits of stem cell transplantation in systemic diseases. Future prospects and projects: Autologous haematopoietic stem cell transplant in the treatment of autoimmune disease has evolved from a experimental concept to a clinically feasible and powerfull therapy for selected patients with severe disease. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
18. Impact of sunitinib pharmacokinetic monitoring in a patient with metastatic renal cell carcinoma undergoing hemodialysis.
- Author
-
Thiery-Vuillemin, A., Montange, D., Kalbacher, E., Maurina, T., Nguyen, T., Royer, B., Bouchet, S., Bazan, F., Curtit, E., and Pivot, X.
- Subjects
- *
CASE studies , *PHARMACOKINETICS , *RENAL cell carcinoma , *HEMODIALYSIS , *CLINICAL trials , *LIQUID chromatography , *MASS spectrometers , *PATIENTS - Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
19. 1721P Prolonged positive SARS-CoV-2 RT-PCR in cancer outpatients requires specific reorganization of cancer centres.
- Author
-
Aguinaga, L., Ursu, R., Legoff, J., Delauguerre, C., Nguyen, O., Harel, S., Royer, B., sebert, M., Jachiet, M., Lebbé, C., Bonnet, C., Brice, P., Fenaux, P., Plaud, B., and Aparicio, T.
- Subjects
- *
REVERSE transcriptase polymerase chain reaction , *SARS-CoV-2 , *OUTPATIENTS - Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
20. Hemodialysis does not affect everolimus pharmacokinetics: two cases of patients with metastatic renal cell cancer.
- Author
-
Thiery-Vuillemin, A., Curtit, E., Maurina, T., Montange, D., Succi, C, NGuyen, T., Kim, S., Montcuquet, P., Pivot, X., and Royer, B.
- Subjects
- *
HEMODIALYSIS , *PHARMACOKINETICS , *METASTASIS , *IMMUNOLOGICAL adjuvants , *PNEUMONIA , *PROTEIN-tyrosine kinase inhibitors , *NEOVASCULARIZATION - Published
- 2012
- Full Text
- View/download PDF
21. Résultats d’une étude cas-témoins évaluant les facteurs prédictifs d’évolution vers le PTI multiréfractaire et actualisation de la cohorte.
- Author
-
Mahévas, M., Moulis, G., Gerfaud-valentin, M., Terriou, L., Audia, S., Salles, G., Lambotte, O., Viallard, J.F., Royer, B., Le Gueno, G., Michel, M., and Godeau, B.
- Abstract
Introduction Nous avons précédemment rapporté l’extrême gravité clinique des patients ayant un PTI multiréfractaire, définis comme l’échec (ou la contre-indication) de la splénectomie, du rituximab et des deux agonistes du RTPO (romiplostim et eltrombopag) [1] . Nous présentons ici sur un effectif plus important les données de suivi de cette cohorte nationale, ainsi que les résultats d’une étude cas-témoins évaluant les facteurs prédictifs d’évolution vers un PTI multiréfractaire, au moment du diagnostic. Patients et méthodes Les équipes du réseau du centre national de référence des cytopénies auto-immunes de l’adulte ont été contactées pour colliger rétrospectivement les observations de patients atteints d’un PTI multiréfractaire. Les données cliniques, biologiques, et évolutives des patients ont été recueillies de façon standardisée à partir de l’étude des dossiers médicaux. La réponse aux traitements était définie par l’obtention de plaquettes > 30 G/L et l’absence de critères d’échec clinique (hémorragie), hospitalisation pour traitement urgent, décès. Pour identifier les variables associées à la survenue d’un PTI multiréfractaire, une étude cas-témoins été conduite en comparant chaque patient ayant un PTI multiréfractaire à 5 témoins atteints de PTI non multiréfractaire issus de la base de données du centre national de référence des cytopénies auto-immunes de l’adulte et appariés sur l’année de diagnostic de PTI. Résultats Les caractéristiques initiales de 37 patients (12 H/25 F) ayant un PTI multiréfractaire ont été comparées à celles de 183 patients PTI témoins. Les patients avec un PTI multiréfractaire avaient plus fréquemment au diagnostic du PTI des manifestations hémorragiques que les témoins (75,6 % vs 52,7 %, p = 0,01), des manifestations auto-immunes cliniques et biologiques (59,5 % vs 28,4 %, p = 0,0008), une gammapathie monoclonale de signification indéterminée (19,0 % vs 2,9 %, p < 0,001) et une moins bonne réponse à la corticothérapie (68,6 % vs 91,6 %). En analyse multivariée, 4 facteurs étaient associés à la survenue d’un PTI multiréfractaire : le caractère secondaire du PTI ( odds ratio [OR] : 4,81 ; intervalle de confiance à 95 % [IC95 %] : 1,31–17,86, p = 0,02), la présence d’une gammapathie monoclonale (OR : 5,93 ; IC95 % : 1,08–32,48, p < 0,04), de manifestations hémorragiques au diagnostic (OR : 3,54 ; IC95 % : 1,11–11,22, p = 0,03)et une absence de réponse à la corticothérapie (OR : 0,38 ; IC95 % : 0,20–0,72, p = 0,003). Après un suivi médian de 84 mois (12–455), les patients multiréfractaires avaient reçu en médiane 10,5 lignes de traitement (extrêmes : 6–15) en incluant la splénectomie, le rituximab et les agonistes du RTPO. Cinq patients sont décédés au cours du suivi (hémorragie intracrânienne, n = 2 ; sepsis, n = 1 ; cancer du sein, n = 1 ; cause inconnue, n = 1). Tous les patients avaient dû être hospitalisés, 22 (60 %) avaient reçu une transfusion de plaquettes, 6 (16 %) des concentrés érythrocytaires, 9 (24 %) ont été admis en réanimation, 15 (40 %) ont présenté au moins une infection bactérienne, et 9 ont présenté au moins une thrombose (veineuse, n = 6 ; artérielle, n = 3). À la fin du suivi, 9 patients étaient en réponse complète : 2 après une chimiothérapie pour une hémopathie maligne, un après une autogreffe de cellules souches périphériques, et 5 avec l’association d’un immunosuppresseur et d’un agoniste du RTPO. Conclusion Notre étude confirme nos résultats préliminaires et souligne la gravité clinique des patients multiréfractaires avec une morbi-mortalité élevée, en partie liée aux effets secondaires des traitements. Les facteurs initiaux associés à une évolution vers le statut multiréfractaire sont le PTI secondaire, un contexte d’auto-immunité clinique ou biologique, la présence d’une gammapathie et une mauvaise réponse aux corticoïdes. La plupart de ces patients ne sont pas répondeurs à la fin du suivi, mais des succès ont été obtenus avec la combinaison d’un immunosuppresseur et d’un agoniste du RTPO. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2015
- Full Text
- View/download PDF
22. Spectre étiologique des plasmocytoses sanguines : étude rétrospective au CHU d’Amiens.
- Author
-
Salle, V., Harrivel, V., Smail, A., Schmidt, J., Capiod, J.-C., Dahmani, R., Royer, B., Marolleau, J.-P., Ducroix, J.-P., and Duhaut, P.
- Published
- 2014
- Full Text
- View/download PDF
23. Utilisation des immunoglobulines polyvalentes humaines dans les déficits immunitaires secondaires liés aux hémopathies malignes : étude EPICURE.
- Author
-
Benbrahim, O., Grosbois, B., Viallard, J.-F., Choquet, S., Royer, B., Delain, J.-C., Crave, J.-C., Clerson, P., and Levy, V.
- Published
- 2014
- Full Text
- View/download PDF
24. 5059 POSTER Systemic High-dose Intravenous Methotrexate for Central Nervous System Metastases in Breast Cancer
- Author
-
Bazan, F., Chaigneau, L., Villanueva, C., Thiery-Vuillemin, A., Dobi, E., Kaibacher, E., Royer, B., Curtit, E., Almotlak, H., and Pivot, X.
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
25. 463 ACHIEVEMENT OF RIBAVIRIN CUT-OFF BY MONITORING PLASMA CONCENTRATIONS BUT NOT HAEMOGLOBIN DROP IS PREDICTIVE OF SUSTAINED VIROLOGICAL RESPONSE IN PATIENTS WITH CHRONIC HEPATITIS C
- Author
-
Piedoux, S., Monnet, E., Piroth, L., Montange, D., Royer, B., Thevenot, T., Kantelip, J.P., Di Martino, V., and Muret, P.
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.