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BackgroundNeoadjuvant chemotherapy for colorectal liver metastases (CRLM) reduces the accuracy of liver imaging which may understage patients pre-operatively. Retrospective review of a prospective database to determine whether liver-specific magnetic resonance imaging (MRI) prior to pre-operative chemotherapy affects intra-hepatic recurrence and long-term outcome after hepatectomy.Patients and methodsBetween 2003 and 2009, 242 patients with CRLM underwent a hepatectomy after ≥3 cycles of oxaliplatin or irinotecan-based chemotherapy. All had a liver-specific MRI immediately pre-operatively. The outcome of patients who had a liver-specific MRI prior to chemotherapy (PCI group, n= 92) was compared with those who did not (non-PCI group, n= 150).ResultsA liver-specific MRI pre-chemotherapy changed the staging in 56% of patients. At a median (range) follow-up of 55 (6–94) months, there was a higher incidence of intra-hepatic recurrence at a new site in the non-PCI group (65% vs. 48% in the PCI group, P= 0.041) and an increased rate of recurrence in patients with the same number of lesions pre- and post-chemotherapy [hazard ratio (HR) 2.02, 1:10–3.37, P= 0.024]. The non-PCI group underwent more repeat hepatectomies than the PCI group (24.7% vs. 13%, P= 0.034), achieving similar long-term survival.ConclusionsA liver-specific MRI prior to chemotherapy reduces intra-hepatic recurrence and avoids a repeat hepatectomy.

Resume La chimiotherapie preoperatoire des cancers bronchiques non a petites cellules avait le double but de detruire les micrometastases et d’augmenter la resecabilite des tumeurs. Les essais de Rosell et de Roth etaient positifs en faveur de l’association mais avaient de faible effectif. Dans l’essai francais, la survie globale n’etait pas differente pour l’ensemble des patients mais l’etait dans les stades precoces. Les resultats preliminaires de l’essai du SWOG objectivent une difference de 6 % a 2 ans non significative. L’essai EORTC 08941, dans les tumeurs IIIAN2 non resecables, ne montrait pas de difference dans la comparaison de la chirurgie a la radiotherapie apres chimiotherapie d’induction. L’essai INT-0139 etudiait l’apport de la chirurgie apres chimio-radiotherapie d’induction par rapport a l’association exclusive chimio-radiotherapie. Il n’y avait pas de difference entre les 2 strategies mais l’analyse par sous-groupes indique que certains groupes pourraient beneficier de la triple association. Deux essais sont en attente de publications. Le petit nombre de patients finalement inclus par essai conduira a une meta-analyse pour acquerir une opinion definitive. L’association chirurgie et chimiotherapie va devenir un standard, dans les stades II. Seul reste en discussion le meilleur moment, pre ou postoperatoire. Dans l’objectif initial, seule la destruction des micrometastases est actuellement confortee.