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In a panel of European countries, we analyse paper products, sawnwood and wood panels consumption data. With this object, we use a classical demand model where national consumption depends on real GDP and real prices. In contrast to previous panel estimations in the literature, we highlight non-stationarity time series which can lead to spurious regressions. We explicitly take into account the issue by using recent panel cointegration techniques. Cointegration is present for printing paper and fibreboard, though less clear cut for other products.Then we estimate demand elasticities and find that GDP elasticities are significantly lower than estimates from the literature. Finally, we simulate the implications of modified demand elasticities by using a partial equilibrium model of the forest sector. For most products, changes in elasticities would lead to lower projected demand and lower prices over a 20-year time horizon. Lower demand for solid wood and wood fibre would lead to less tensions with fuel wood- and wood-based chemical markets. In a context of rising interest for renewable bio-based products, updated long-term demand models contribute to the analysis of the forest sector’s sustainability.

Forest ecosystem service (FES) provisioning and management in Vietnam is a priority in the Vietnamese environmental agenda. The main rationale of private forest management is to maximise profits from timber and non-timber forest product (NTFP) production. From a social point of view an under-supply of positive forest externalities (or non-marketed ecosystem services) exists. This paper therefore contributes to the ecosystem service (ES) literature by assessing the production cost structure, in other words, the cost of marketed production and provision of carbon and biodiversity, based on a survey of private forest owners in Hoa Binh Province in Vietnam. The econometric analysis was carried out using a dual cost function approach to analyse the trade-off between forestry costs and ecological performance. This is, to our knowledge, the first time such an approach has been used to estimate the production relationship between marketed outputs and non-marketed ES in the forest sector. This approach appears to be appropriate for handling the multiple joint outputs of forest production and allows us to estimate marginal costs and other cost measures such as cost complementarities in the production of multiple ES. Our results indicate that there is complementarity in the provision of timber and carbon sequestration and, consequently, policies that enhance carbon sequestration in private forests in Vietnam can be implemented without additional costs for the forest owner. We also found that keeping deadwood (to favour biodiversity) had no significant cost and was complementary with NTFP (also an indicator of biodiversity in our study), but could increase the marginal cost of producing timber. This means that biodiversity can be enhanced at no additional cost, provided that the quantity of deadwood does not significantly increase.

Guadua sarcocarpa and Guadua weberbaueri (Poaceae: Bambuseae) have a negative influence on tree regeneration and recruitment in bamboo-dominated forests of southwestern Amazonia. The lack of advanced regeneration and sparse canopy in this forest type present a considerable challenge for developing sustainable timber management plans. We conducted field studies in the Porto Dias Agroextractive Settlement Project in Acre, Brazil to assess influences of logging in bamboo-dominated forest sites. Taxonomic composition, stand structure, aboveground biomass, commercial timber volume, and commercial tree seedling and bamboo culm density were compared between five logged vs. unlogged sites in different landholdings, using modified 0.5 ha Gentry plots. No differences in taxonomic composition, aboveground biomass, adult and juvenile stem density, or woody seedling and bamboo culm density were detected between paired logged and unlogged sites. Commercial timber volume, however, was reduced by almost two-thirds in logged plots, suggesting that long-term timber management goals in this forest type are compromised since so few future crop trees remained onsite. Our findings indicate that in order to maximize local management objectives, community forest managers must approach logging in bamboo-dominated forests with caution. We suggest an integration of non-timber forest product extraction with low harvest intensity and low-impact logging, tending of natural regeneration, and diversification of commercial species.

• In Quebec (Canada), predicting net merchantable volume of standing trees is essential to adjust stumpage fees. Furthermore, round-wood end use is important in the provincial forest management context because it is used to split the allowable annual cut among the different mill types. • A method relying on linear, binomial and cumulative logit regressions is proposed to predict both decay volume and round-wood end use volume. Tree age, height and quality, as well as ecological region, stand origin and presence of Phellinus tremulae (Bond.) Bond. & Boriss. and Ceratocystis fimbriata (Ellis & Halst.) fungi are the main factors that contribute to the presence and the proportion of decayed merchantable volume. Once the net merchantable volume is estimated, its division into round-wood end use is estimated through a series of steps involving the presence of Phellinus tremulae, saw log height, stem quality and size as explanatory variables. The first step is a multinomial regression which predicts the number of end uses (pulp wood, low-grade saw logs, saw logs, low-grade veneer, and veneer) that are present in the stem. A series of logistic regressions then determines the presence of each end use, with linear regressions predicting the round-wood volume of each end use.

International audience; Les conséquences directes des tempêtes de décembre 1999 s'achèvent. Après avoir retrouvé en 2002 son niveau annuel d'avant-tempête, le volume de bois commercialisé recule encore en 2003. Il s'élève à 32,8 millions de m3 (36 millions de m3 en 1999). Par comparaison avec 1999, le volume de bois d'oeuvre diminue (à 19,8 millions de m3, niveau inférieur de 11 % à celui de 1999). La récolte de bois d'industrie se réduit de 4 % (10,7 millions de m3 dont 10,2 de bois de trituration, niveau inférieur de 3 % à celui de 1999). Le bois de feu commercialisé diminue de 16 % (2,3 millions de m3). La valeur bord de route de la récolte totale de bois peut être estimée à 1,43 milliard d'euros HT. Par rapport à 1999, la production des scieries résineuses progresse légèrement, celle des scieries feuillues recule. Les résultats du commerce extérieur depuis 2000 montrent que notre pays a exporté sans valeur ajoutée une bonne partie de cette récolte forcée, tandis que notre déficit de valeur ajoutée se dégradait. Les tempêtes ont souligné, voire aggravé, les faiblesses de notre secteur forestier.

International audience; Une part importante de bois du Nord est importée en France pour une utilisation en structures et il est classique d'entendre dire que la raison en est la qualité mécanique de ces bois au regard de celle des bois français. L'article présente les résultats d'une comparaison opérée à partir de deux bases de données, conclusions de travaux de recherche du CTBA sur une dizaine d'années. Les résultats montrent que les propriétés mécaniques des bois des deux provenances présentent une très grande similitude.

International audience; En France, durant des siècles, le bois mort a été une source d'énergie domestique indispensable. Sa récolte en a été à la fois autorisée - en particulier par concession de droits d'usages - et très réglementée. Les restrictions apportées à son appropriation ont fait l'objet de textes allant de l'ordonnance royale de 1515 à un arrêté de 1853 toujours applicable : le bois, formellement délivré par son propriétaire, doit être sec et gisant à terre, cassé à la main, transporté à dos d'homme et ne pas provenir d'un acte ayant fait sécher une tige. Au cours du XIXe siècle, d'innombrables procès, allant jusqu'en cassation, montrent la très grande importance sociale du bois mort particulièrement convoité par les indigents face à une police forestière de plus en plus répressive. Ces procès donnent alors une excellente image de la société qui récoltait tout d'une coupe. De la fin du XVIIe au milieu du XXe siècle, tous les traités de sylviculture ont eu comme souci systématique de faire en sorte que les arbres morts soient enlevés en priorité. Pourchassé si longtemps et jusqu'à un passé très récent, le bois mort est depuis très peu considéré comme un compartiment important de la biodiversité ; son histoire montre qu'il ne faut pas s'étonner d'en trouver encore relativement peu dans nos forêts.

International audience; Parmi les matières premières les plus employées par l'homme au cours des sept derniers millénaires en Europe occidentale, l'arbre est certainement celui qui présente l'éventail le plus large de transformations et d'utilisations dans la vie quotidienne des sociétés humaines. Bien que l'analyse du bois constitutif de ces artefacts soit synonyme de datation, l'archéo-dendrométrie a prouvé depuis longtemps ses capacités variées à restituer des facettes du savoir-faire artisanal dans de nombreux domaines de l'archéologie, de l'histoire et de l'histoire de l'art.

International audience; Après une description de l'économie de la filière et de sa structuration, celle-ci est replacée dans son environnement et ses contraintes : un marché mondial sensible aux fluctuations économiques, une filière très dépendante de son approvisionnement en matière première, confrontée aux préoccupations environnementales et avec, aujourd'hui, une image à améliorer ; autant d'éléments vis-à-vis desquels doivent être mises en contrepoint les opportunités que présente ce matériau naturel, renouvelable, stockant le carbone dans un monde de plus en plus sensibilisé à la protection de l'environnement.

International audience; Quelques données chiffrées montrent l'importance de la forêt, de la récolte de bois dans les différents continents ou zones géographiques et donnent une idée de l'importance des populations vivant de la forêt et du bois. Après avoir souligné les évolutions marquantes de ces 30 à 40 dernières années, les besoins en bois pour le futur sont évalués ainsi que la façon dont il sera possible d'y répondre.

International audience; Essentiellement utilisé comme combustible, le "bois énergie" en France est aujourd'hui une source d'énergie renouvelable en développement. Les progrès technologiques ont permis d'améliorer fortement les rendements des appareils de chauffe dont les résultats soutiennent aujourd'hui la comparaison avec ceux utilisés pour le gaz ou le fuel. Le programme bois-énergie 2000-2006 est présenté et l'attention est particulièrement portée sur les possibilités que pourraient offrir les plaquettes forestières dans le développement futur de l'utilisation du bois comme source d'énergie.

International audience; Le matériau bois est-il considéré comme un matériau moderne par le grand public en France ? Il est clair que l'attitude des pays de l'Europe du Sud est différente de celle des pays de l'Europe du Nord et que, quelle que soit la perception existante, l'utilisation du matériau bois fait l'objet de beaucoup, et de réelles, innovations. Sont d'abord abordés les produits nouveaux qui découlent d'une intervention physique ou chimique, voire combinatoire, sur le bois massif, puis les produits nouveaux de par leur composition, comme majoritairement les composites, et enfin les nouveaux produits structuraux destinés à l'ingénierie de la construction.

International audience; Parmi les nombreux domaines de recherche porteurs d'espoir, ceux relatifs à la connaissance du matériau et de son comportement lors des premiers processus de transformation sont fondamentaux. Cet article, dans une première partie, fait le point sur le niveau des recherches permettant de connaître certaines caractéristiques de la ressource forestière sur pied actuelle et de la ressource future, et, dans une seconde partie, montre les progrès rendus possibles grâce à l'approche déterministe et les possibilités qu'elle offre pour connaître et prédire à la fois certaines caractéristiques du matériau et son comportement lors de certains processus de transformation.

International audience; Le bois, premier matériau de construction utilisé par l'homme, a été quelque peu oublié et est aujourd'hui un matériau "challenger" que les architectes, bureau d'études, maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre redécouvrent. Des réalisations de prestiges mais aussi des réalisations pour l'habitat de tous les jours deviennent de plus en plus nombreuses et sont appréciées par le grand public. Sont abordées les actions récentes participant au développement de l'utilisation du bois et les atouts de ce matériau dans la lutte contre l'effet de serre, ainsi que les améliorations tant techniques qu'organisationnelles attendues pour pleinement profiter des immenses possibilités du matériau bois.

International audience; Au début des années 1980, il n'y avait pas, en France, un classement unique des produits issus des scieries françaises mais des types de classements variables selon les régions. Une telle situation, face à l'évolution des flux économiques de plus en plus internationaux, ne mettait pas la France en meilleure position pour valoriser des produits issus d'une forêt importante et en pleine croissance pour ce qui concerne les produits résineux. L'article présente le programme bois français élaboré par le CTBA dès le début de ces années 1980, et qui aura permis à la France de jouer un rôle majeur dans la définition des classements au niveau européen, en faisant accepter une grande partie des méthodes élaborées au cours des travaux, tant sur le classement d'aspect des produits, que sur les classements dits mécaniques pour l'utilisation des bois en structures. Ces travaux se poursuivent, tant pour des classements par des méthodes visuelles, que par des méthodes par machines spécialisées.

International audience; La décoration intérieure d'aujourd'hui, véritable reflet de la personnalité et du style de vie des populations qui composent la société, s'est fortement modifiée au fil des ans pour atteindre une dimension économique considérable. Le bois est un matériau d'excellence pour la décoration intérieure. Après avoir évoqué les grandes évolutions du passé, les tendances lourdes ou les effets de mode de l'aménagement intérieur d'aujourd'hui sont abordés avant de s'interroger sur ce que pourra être la décoration dans le futur.

International audience; La situation économique de la forêt en Europe n'est pas excellente : l'offre de bois s'accroît, son prix baisse. D'autres matériaux, produits sans contrainte de gestion durable, gagnent des parts de marchés au détriment du bois dont la demande diminue donc. Face à ces perspectives économiques peu favorables, et dans un contexte de gestion forestière déjà peu rentable et de réduction des interventions et des dépenses publiques, les charges nouvelles induites par le développement des pratiques de gestion forestière durable créent un besoin de financement qui ne paraît pas pouvoir être entièrement satisfait par des ressources nouvelles. On peut craindre que certains propriétaires ou gestionnaires de forêt n'aient à supporter sur leur revenu, voire sur leur capital, la mise en oeuvre de la gestion durable. Le développement se trouverait fortement entravé : une gestion non rentable ne paraît pas pouvoir être durable.

International audience; La convention sur la diversité biologique souligne le rôle important qu'ont joué les pratiques des sociétés dites "traditionnelles" dans l'utilisation de leur environnement naturel et le maintien de sa biodiversité, et encourage leur application à plus grande échelle. Comment mettre en place des filières équitables autour des ressources forestières en impliquant les sociétés locales de manière à ce qu'elles valorisent elles-mêmes leurs savoirs et savoir-faire sur la nature ? En s'appuyant sur de nombreux exemples, l'article envisage les questions d'ordre éthique, social, environnemental, législatif, technologique et économique, que soulève cette démarche.

International audience; Le rapide développement des plantations d'Eucalyptus dans le monde est dû au succès combiné de l'amélioration génétique, du bouturage et des biotechnologies. Avec une croissance très rapide, une grande homogénéité, une excellente fibre et un bois de densité élevée, l'Eucalyptus est l'un des meilleurs arbres pour la ligniculture. Il a la faveur des investisseurs privés, spécialement des industriels de la pâte (auxquels commen cent à se joindre certains groupes financiers), lesquels poursuivent de façon continue leur effort de recherche-développement, pour une optimisation des gains et une réduction des risques, agronomiques, pathologiques, et écologiques de cette culture. De plus, les plantations d'Eucalyptus, développées hors forêts, contribuent à réduire la pression sur les forêts naturelles et la récente possibilité de production partielle de bois d'oeuvre ainsi que leur excellente aptitude à la création de puits de carbone, renforcent encore leur double intérêt, économique et écologique. Ainsi, l'Eucalyptus, nouvel "or vert" de l'industrie papetière, devient aujourd'hui un "arbre forestier stratégique".

International audience; Les bois tropicaux, et en particulier les bois de Guyane, témoignent de la biodiversité des forêts denses humides. Les atouts et contraintes liés à cette diversité sont présentés ainsi que la façon objective de classer les espèces ou essences par rapport à des critères de qualité. La variabilité de la qualité des bois est illustrée à travers quelques exemples : la qualité des arbres sur pied, la qualité non constante de l'Angélique (Dicorynia guianensis), les troncs cannelés du Wacapou (Vouacapoua americana), les différences entre deux espèces d'Eperua spp.. La conclusion porte sur la petite filière-bois guyanaise, ses difficultés et les enjeux à relever.

International audience; Le patrimoine forestier guyanais, exceptionnel et riche, est placé dans un contexte humain singulier qui l'a, jusqu'à présent, relativement épargné. Domaine privé de l'État, il est géré par l'Office national des Forêts qui y intervient en conservation et mise en valeur durable. Outre la zone littorale qui recèle encore des milieux naturels, on y distingue une zone sublittorale de forêts aménagées, un massif intérieur avec de nombreux espaces protégés, enfin des zones de droit d'usage au bénéfice des communautés tirant traditionnellement de la forêt leurs moyens de subsistance. Dans les forêts aménagées, on s'oriente de plus en plus vers une sylviculture extensive, avec un recours limité à la plantation, prévenant les conflits d'usage. Il s'agit maintenant d'adopter une loi et des orientations régionales forestières, de redéfinir les modalités d'élaboration des aménagements, d'écocertifier la forêt guyanaise, d'adapter les modes de commercialisation et d'exploitation des bois, de mieux valoriser la ressource forestière.

International audience; La faisabilité économique de la fabrication de parquet en Chêne vert, essence très abondante sur le pourtour méditerranéen, a été analysée par le CIRAD-Forêt à la demande du Conseil général de l'Hérault. Le prix de revient global de la transformation a été calculé en se référant à une opération expérimentale de production et fabrication avec mise en oeuvre en conditions réelles d'utilisation. La rentabilité de l'opération a été analysée en cohérence avec des marchés déjà existants. Une analyse de sensibilité des paramètres qui caractérisent la faisabilité économique de la fabrication a mis en évidence le rôle essentiel du prix de vente du produit fini, du rendement-matière au sciage, et du prix d'achat de la matière première. Une variation de i % de chacun de ces trois paramètres peut induire une variation de plus de 35 % de la marge d'exploitation. La profitabilité de la fabrication de parquet en Chêne vert dépend directement de la construction d'un réseau de fournisseurs réguliers pour sécuriser l'approvisionnement. En effet, la réussite de l'opération est directement sous-tendue par la structuration d'une filière organisée de mobilisation des bois afin de permettre aux transformateurs d'assurer la régularité de leur production, tant sur un plan qualitatif que quantitatif.

International audience; Le XIIe Congrès forestier mondial a eu lieu du 21 au 28 septembre 2003, à Québec, Canada, et a rassemblé 4 061 participants venant de plus de 140 pays. Les participants constituent un échantillon représentatif de la société intéressée aux forêts, y compris des personnes de communautés rurales, des propriétaires de forêts privées, des travailleurs forestiers, des peuples autochtones, des jeunes, de l'industrie, des ONG environnementales et autres, du milieu scientifique et de l'éducation, de divers niveaux de gouvernement et d'organisations internationales. On y a abordé une vaste gamme de questions sous le thème du Congrès : La forêt, source de vie, dans les trois domaines du programme: Des forêts pour les gens, Des forêts pour la planète, et Des gens et des forêts en harmonie. L'Énoncé final représente les points de vue du Congrès. Il identifie les secteurs prioritaires et est destiné à encourager la prise de décisions et l'action par ceux concernés par les divers aspects de la foresterie et des forêts, de même que dans des secteurs connexes.

Apres la vigoureuse reprise des marches du bois en 1994 et au premier semestre 1995, la fin de l’annee 1995 avait mis fin aux espoirs que cette reprise soit durable. L’annee 1996 a en effet ete morose : avec 33 millions de m3 de bois exploites et commercialises (– 7,7 %), la recolte flirte avec son faible volume de 1993 sans toutefois passer sous la barre des 33 millions de m3 franchie en 1987. Comme en 1993, la baisse n’epargne que les bois de feu. Sous les effets conjugues de ces baisses de volume et de prix, la valeur totale des bois exploites et commercialises est en diminution de 10 % a 9,9 milliards de francs.