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Les auteurs formalisent le bilan économique qui doit s'effectuer à la suite de la mise en place d'un label de qualité ou d'une appellation d'origine en agriculture. Ils proposent un modèle général d'analyse permettant d'établir les conditions pour lesquelles un contrôle décentralisé de l'offre maximise simultanément le profit des producteurs et le surplus des consommateurs. Ils concluent l'article par une discussion sur le statut des groupements de producteurs et des interprofessions au sein de l'Organisation commune de marché du vin.

Une nouvelle réforme de la PAC est maintenant à l'ordre du jour. Parmi les propositions mises en avant, les aides à l'hectare de SFP peuvent constituer un mécanisme de découplage des aides à l'élevage bovin. Elles se situent dans le cadre d'une dynamique de libéralisation des échanges et d'une orientation accrue des productions par le marché. A partir de la situation des aides directes 1995 en France, quatre scénarios d'aide à l'hectare ont été simulés à partir du RICA pour étudier les effets revenu sur les exploitations d'élevage bovin françaises et des Pays-de-la-Loire. Ces mêmes scénarios ont été présentés à six éleveurs, appartenant à différents systèmes de production, pour analyser les perspectives d'adaptation de leurs exploitations. Au-delà des transferts d'aides directes entre systèmes de production et entre zones géographiques, qu'impliquerait l'instauration d'aides à l'hectare, c'est le raisonnement de gestion des exploitants qui est modifié. Cette nouvelle modalité de répartition des aides entraînerait, en effet, une plus grande intégration des indicateurs du marché dans les décisions des exploitants, les différences de performances économiques entre exploitations se révélant déterminantes dans les choix de mise en production.

La crise de la filière viande bovine en France et dans l'Union européenne, liée à l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) rend inévitable une réforme de l'Organisation commune de marché de la viande bovine. Dans ce cadre, cette étude présente les résultats de simulation de différents scénarios d'intervention publique sur l'offre de viande bovine. Les scénarios, testés à partir d'un modèle statique construit pour cet exercice, sont d'ordre conjoncturel (retrait de veaux laitiers, abattage de broutards) et structurel (abattage de vaches allaitantes, réduction des poids de carcasse des jeunes bovins et des veaux de boucherie). Ces simulations montrent que pour réduire de façon réglementaire l'offre de viande bovine en Europe, l'ensemble des leviers (conjoncturels et structurels) doivent être simultanément actionnées.

(Côte : AG 63) ; Contrat ; B04778 ; Evolution à moyen terme des OCM viande bovine, lait sucre et grandes cultures ; Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 4 Allée Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA); Le secteur européen du sucre fait aujourd'hui face à de nombreux défis qui rendent une réforme de l'Organisation commune des marchés (OCM) sucre plus que jamais crédible. L'auteur examine les effets d'une suppression des exportations européennes de sucre sur le secteur agricole européen et plus généralement sur l'économie européenne. L'évaluation est menée à partir d'une modélisation quantitative offrant une représentation très fine de ce secteur et de sa politique. La principale originalité de la modélisation développée réside dans une formalisation explicite d'une possible subvention croisée de la production de sucre hors quotas par celle sous quotas et, ce, tant à la production de betterave que celle de sucre. A partir de cet outil d'analyse économique, sont examinées les conséquences d'une suppression (i) des exportations de sucre hors quotas, (ii) des exportations de sucre correspondant aux importations préférentielles, (iii) des exportations de sucre sous quotas et (iv) de l'ensemble de ces exportations. Sans réelle surprise, les résultats de ces différentes simulations dépendent fortement de l'hypothèse concernant l'existence/absence de subventions croisées. Si ces subventions croisées ne devaient pas exister, alors la production hors quotas est compétitive et l'actuelle OCM sucre génère essentiellement des rentes. Les pays du reste du monde n'ont alors pas de véritables gains à attendre d'une réforme de l'OCM du sucre. Si, à l'inverse, ces subventions croisées existent effectivement aux deux niveaux de la filière, alors les pays du reste du monde ont davantage d'intérêts à une réforme de l'OCM sucre ainsi que les autres secteurs agricoles européens. Deux options s'offrent aux acteurs de la filière sucre : la baisse des volumes de production avec maintien de la protection et la baisse des prix. Clairement, une stratégie de baisse des volumes de production préserve mieux les intérêts des producteurs européens (baisse des revenus de 1,3 milliard d'euros) et des pays ACP mais maintient des rentes, une pression externe pour de nouvelles réformes et entraîne une baisse significative de la production. A l'inverse, une stratégie de baisse des prix entraîne des fortes baisses de revenus des betteraviers/sucreries européennes (près de 4 milliards d'euros) et une baisse de la production plus limitée. Le travail montre également que dans cette deuxième option, il redevient primordial de définir clairement les objectifs de l'OCM sucre, notamment savoir si cette politique a vocation à soutenir les revenus de l'industrie du sucre.

International audience; La production mondiale vinifiée de la campagne 2011-2012 est pratiquement stable et il en est de même pour la consommation. Pour la seconde fois consécutive depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays européens (UE à 27) et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des États-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne, au-delà des arrachages primés, tardent à se faire sentir.

International audience; La production mondiale vinifiée de la campagne 2011-2012 est pratiquement stable et il en est de même pour la consommation. Pour la seconde fois consécutive depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays européens (UE à 27) et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des États-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne, au-delà des arrachages primés, tardent à se faire sentir.

International audience; La production mondiale vinifiée de la campagne 2011-2012 est pratiquement stable et il en est de même pour la consommation. Pour la seconde fois consécutive depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays européens (UE à 27) et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des États-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne, au-delà des arrachages primés, tardent à se faire sentir.

La production mondiale vinifiée de la campagne 2011-2012 est pratiquement stable et il en est de même pour la consommation. Pour la seconde fois consécutive depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays européens (UE à 27) et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des États-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne, au-delà des arrachages primés, tardent à se faire sentir.

The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Également édité en anglais; La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

Contribution au rapport “Evaluation of CAP measures applied to the dairy sector”, Wageningen University. Rapport réalisé pour la DG Agriculture et Développement Rural de la Commission européenne; The objective of this retrospective evaluation is to analyze the economic and structural aspects of the EU dairy sector, and to assess the impacts of the CAP measures applied to this sector since the 2003 CAP reform. The evaluation period begins on 1 July 2004, when the first cuts to intervention prices were implemented and the phasing-in of the dairy premium began. Most of the indicators on which the evaluation is based are reported up to 2009 or 2010, depending on data availability. Those based on farm accounting data from the EU-FADN extend up to 2007. The report falls into two main parts. The first part, consisting of an extensive background chapter and eight chapters evaluating specific and concrete impacts of the policies is intended to establish a factual basis on which to base the evaluation of the effectiveness, efficiency and relevance of policy measures in relation to their objectives. The report is also required to identify possible unintended side-effects of the measures and their deadweight. The coherence of the new measures for dairy with the overall concept and principles of the 2003 CAP reform, and with rural development measures and state aids, is also assessed. The geographical scope of the study covers the 27 Member States of the European Union (EU-27).; L'objectif de cette évaluation rétrospective est d'analyser les aspects économiques et structurels du secteur laitier de l'UE, et d'évaluer les impacts des mesures appliquées à ce secteur depuis la réforme de la PAC de 2003. La période d'évaluation commence le 1er juillet 2004, lors de la mise en œuvre des premières baisses des prix d'intervention et au début de la mise en place progressive de la prime aux produits laitiers. La plupart des indicateurs sur lesquels l’évaluation est fondée sont calculés jusqu’en 2009 ou 2010, selon la disponibilité des données. Ceux qui sont basés sur les données comptables agricoles de la base de données UE-RICA vont jusqu’à 2007. Le rapport se divise en deux parties principales. La première partie, constituée d'un chapitre contextuel détaillé et de huit chapitres évaluant les impacts spécifiques et concrets des politiques, sert à établir une base factuelle sur laquelle se fonde l'évaluation de l'efficacité, l'efficience et la pertinence des mesures politiques par rapport à leurs objectifs. Le rapport doit également identifier des éventuels effets collatéraux imprévus des mesures et leur effet d'aubaine. A été également évaluée la cohérence des mesures nouvelles pour le secteur laitier par rapport au concept et aux principes généraux de la réforme de la PAC de 2003 et par rapport aux mesures de développement rural et des aides au niveau des États membres. Géographiquement, l’étude couvre les 27 Etats membres de l’Union européenne.

Egalement édité en français; The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Également édité en anglais; La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

Egalement édité en français; The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Egalement édité en français; The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Egalement édité en français; The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Egalement édité en français; The quantitative of wine produced worldwide in the 2010-2011 harvest was much less than in the previous one. Despite that, there was an upturn in volumes exported, and in global wine consumption. For the first time in fifteen years, the growth in exports has come from the 27-member European Union, not the southern hemisphere countries or the United States. This trend has ment lower stocks and upward presure on prices paid to producers. The global wine market remains unstable, and the benefits of the new European wine growing and wine making policy have yet to make themselves felt.

Également édité en anglais; La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

Également édité en anglais; La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

Également édité en anglais; La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

La production mondiale vinifiée de la campagne 2010-2011 est restée à des niveaux bien inférieurs à ceux de la campagne précédente. Malgré cela, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré une reprise. Pour la première fois depuis une quinzaine d’années, la progression des exportations est le fait des pays de l’UE à 27 et non plus celui des pays de l’hémisphère Sud et des Etats-Unis. Ces tendances induisent une baisse des stocks et une pression à la hausse des prix payés à la production. L’instabilité du marché mondial du vin se poursuit et les effets positifs de la nouvelle politique vitivinicole européenne tardent à se faire sentir.

National audience

International audience; The European Union introduced its new Common Market Organization (CMO) to reduce production, reduce government disposal, and increase market demand for low-priced wines. It is not clear if European wine exports will decrease as a result of the CMO.

La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

International audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

Partie I : Les Marchés. II Grains et agriculture tempérée. Également édité en anglais; National audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

Partie I : Les Marchés. II Grains et agriculture tempérée. Également édité en anglais; National audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

Partie I : Les Marchés. II Grains et agriculture tempérée. Également édité en anglais; National audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

International audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

International audience; La campagne 2008-2009 a été marquée par un déséquilibre entre l'offre et la demande en vins. La production mondiale vinifiée est restée à des niveaux proches de ceux de la campagne précédente. Toutefois, les exportations en volume et la consommation mondiale de vin ont enregistré un léger déclin. Ces phénomènes traduisent une accumulation des stocks et une forte pression à la baisse sur les prix payés à la production. L'instabilité du marché mondial du vin se confirme, prenant à contre-pied la logique et les effets attendus de la toute récente mise en oeuvre de la nouvelle politique vitivinicole européenne.

Egalement édité en français ; International audience; The 2008-2009 season was characterized by an imbalance between wine supply and demand. World wine production remained at levels similar to those of the previous season. However, export volumes and global consumption both registered a slight decline as a result of an accumulation of wine stocks and strong downward pressure on prices paid to producers. The instability of the world wine market is thus confirmed, wrong footing the principles and expected effects of the recent implementation of the new European wine-producing policy.

Egalement édité en français ; International audience; The 2008-2009 season was characterized by an imbalance between wine supply and demand. World wine production remained at levels similar to those of the previous season. However, export volumes and global consumption both registered a slight decline as a result of an accumulation of wine stocks and strong downward pressure on prices paid to producers. The instability of the world wine market is thus confirmed, wrong footing the principles and expected effects of the recent implementation of the new European wine-producing policy.

Contribution à la journée INRA-SAE2 sur le programme ANR (ANR-05-PNRA-012-01) : Politiques nutritionnelles, régulation des filières et consommation alimentaire.; National audience; La réforme de l’OCM sucre, décidée en 2005, a pour objectif d’adapter la capacité de production de sucre communautaire en privilégiant l’arrêt des producteurs les moins compétitifs. Parmi les dispositions adoptées, la suppression du prix d’intervention remplacé par un prix de référence devrait engendrer une baisse significative du prix du sucre (-36%) sur une période de 4 ans pour atteindre 404€/t environ en 2010. Ce document montre que la baisse du prix de cet ingrédient pourrait augmenter sa compétitivité par rapport aux autres édulcorants utilisés dans les IAA et modifier fortement la structure de la demande en matières sucrantes des IAA. Au total, même si la consommation d’édulcorants caloriques serait légèrement réduite, la consommation de sucres simples ajoutés augmenterait, ce qui va à l’encontre d’une des recommandations du PNNS.

Diaporama de 51 diapositives.; National audience; Depuis plusieurs décennies, le marché mondial du vin est caractérisé par une croissance de la consommation, mais chacun sait que ce mouvement a profité essentiellement aux vins du Nouveau Monde. Ces derniers ont accru leur volume, même si leur croissance est contrariée par une instabilité climatique forte, et les exportations en provenance de ces nouveaux vignobles ont explosé. Pendant le même temps, l’Europe perdait des parts de marché, ce qui entraîna certains vignobles vers la crise. La dernière réforme de l’OCM (Organisation Commune de Marché) - vin ne propose pas de véritable politique viti-vinicole européenne. Une fois de plus, elle prend l’allure d’un compromis, chacun essayant de sauver les meubles… et son budget. Elle poursuit sur la voie d’une PAC OMC compatible, et nécessitera une renationalisation des politiques viticoles. La viticulture française n’est pas épargnée par les turbulences du marché mondial. Son adaptation se poursuit. On resserre tous les boulons, dans les domaines de la productivité comme de la qualité. Cette viticulture se structure et se modernise ; elle met en place une nouvelle gouvernance, mais, concomitamment, elle élimine les plus faibles.

Séance du 03/12/2008; International audience; Depuis plusieurs décennies, le marché mondial du vin est caractérisé par une croissance de la consommation, mais chacun sait que ce mouvement a profité essentiellement aux vins du Nouveau Monde. Ces derniers ont accru leur volume, même si leur croissance est contrariée par une instabilité climatique forte, et les exportations en provenance de ces nouveaux vignobles ont explosé. Pendant le même temps, l’Europe perdait des parts de marché, ce qui entraîna certains vignobles vers la crise. La dernière réforme de l’OCM (Organisation Commune de Marché) - vin ne propose pas de véritable politique viti-vinicole européenne. Une fois de plus, elle prend l’allure d’un compromis, chacun essayant de sauver les meubles… et son budget. Elle poursuit sur la voie d’une PAC OMC compatible, et nécessitera une renationalisation des politiques viticoles. La viticulture française n’est pas épargnée par les turbulences du marché mondial. Son adaptation se poursuit. On resserre tous les boulons, dans les domaines de la productivité comme de la qualité. Cette viticulture se structure et se modernise ; elle met en place une nouvelle gouvernance, mais, concomitamment, elle élimine les plus faibles.

Mention d'édition : 22; National audience; La campagne 2006-2007 a été marquée par le ralentissement de la crise de surproduction mondiale. La baisse générale de la production aux vendanges 2007 et la sécheresse australienne qui, pour la deuxième année consécutive, fait prévoir une récolte déficitaire en 2008, se traduisent par une chute des disponibilités et une remontée significative des prix. Une nouvelle phase du cycle d’instabilité du marché mondial du vin se met en place, modifiant sensiblement la logique de la réforme de l’OCM-vin en Europe.

Mention d'édition : 22; National audience; La campagne 2006-2007 a été marquée par le ralentissement de la crise de surproduction mondiale. La baisse générale de la production aux vendanges 2007 et la sécheresse australienne qui, pour la deuxième année consécutive, fait prévoir une récolte déficitaire en 2008, se traduisent par une chute des disponibilités et une remontée significative des prix. Une nouvelle phase du cycle d’instabilité du marché mondial du vin se met en place, modifiant sensiblement la logique de la réforme de l’OCM-vin en Europe.

Mention d'édition : 22; National audience; La campagne 2006-2007 a été marquée par le ralentissement de la crise de surproduction mondiale. La baisse générale de la production aux vendanges 2007 et la sécheresse australienne qui, pour la deuxième année consécutive, fait prévoir une récolte déficitaire en 2008, se traduisent par une chute des disponibilités et une remontée significative des prix. Une nouvelle phase du cycle d’instabilité du marché mondial du vin se met en place, modifiant sensiblement la logique de la réforme de l’OCM-vin en Europe.

National audience; Ce chapitre entend apporter une contribution dans le cadre du débat au Parlement sur la réforme de l'organisation commune du marché du vin initiée par la Commission des Communautés Européennes. Il comprend une synthèse de la situation du marché du vin dans les 6 dernières années, une évaluation des mécanismes de l'actuelle OCM, une analyse critique des propositions de la Commission et des propositions concrètes pour la réforme de l'OCM.

In a context characterized by a reform of the Common Market Organization (COM) for milk and dairy products, this document presents, in a first section, how the milk price is determined on various geographical scales (World, EU, Savoy). Then, it highlights the milk price trend in Savoy since 1990. In a second section, it explores the principal explanatory factors of the milk price in Savoy (with precise analyses for the cheeses Reblochon and Beaufort). Lastly, it discusses the different key factors which will influence the future trend of the milk price in this French region.; Dans un contexte caractérisé par une réforme de l’Organisation Commune de Marchés (OCM) du lait et des produits laitiers, ce rapport présente, tout d’abord, le mode de fixation du prix du lait à différentes échelles géographiques (Monde, UE, Savoie) et met en évidence l’évolution du prix du lait en Savoie depuis 1990. Il explore ensuite les principaux facteurs explicatifs de l’évolution passée du prix du lait dans les zones AOC (Appellation d’Origine Contrôlée) des Savoie (avec des analyses précises pour le Reblochon et le Beaufort). Enfin, il discute des différents éléments clés qui influenceront l’évolution future du prix du lait dans cette région.

L'objectif des recherches entreprises répond à la nécessité pour les professionnels des filières d'appellations d'origine contrôlée (AOC), et plus généralement des signes collectifs de qualité (label rouge, agriculture biologique, etc.) confrontés à des difficultés récurrentes de coordination, de disposer d'outils de contrôle collectif et de régulation de l'offre. Ainsi, des travaux à la fois théoriques et empiriques ont été menés sur les signes de qualité de la filière vin par le Loria [Laboratoire sur les Organisations industrielles dans l'Agro-alimentaire]. Ces travaux se sont toujours accompagnés d'interventions concrètes auprès des organismes professionnels concernés et se sont développés aujourd'hui à un niveau européen grâce au réseau de recherche en signe de qualité que le Loria a développé depuis la création de l'unité. Ils se regroupent en trois thèmes principaux : fondements économiques des AOC, relations contractuelles et AOC, et régulation interprofessionnelle et aide à la décision.

Le document se propose d'estimer l'impact économique de la libéralisation des échanges commerciaux euro-méditerranéens sur les filières fruits et légumes frais de cinq pays méditerranéens de l'Union européenne. Pour cela, la démarche adoptée comporte deux volets : une présentation de l'état (1990-2003) des filières fruits et légumes frais et une modélisation des risques encourues par les régions européennes fortement productrices à travers la construction d'un indice de vulnérabilité régionale (IVR). Les fondements théoriques de la recherche sont empruntés essentiellement à l'organisation industrielle (Scherer, 1973) (1er volet) et à l'analyse stratégique (notamment Wernerfelt, 1983) (2ème volet). L'IVR, mobilisé à travers un benchmarking inter-régional (33 régions ont été sélectionnées), est calculé à partir d'une batterie d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs prenant en compte la concentration et la spécialisation de l'offre, les formes d'organisation et d'incitations publiques, les dynamiques de moyenne période, de performances économiques et managériales, et enfin, les facteurs d'environnement sectoriel et macro-économique. Une simulation d'impact, combinant IVR et pénétration du marché européen, suggère une exposition modérée au risque commercial. Cependant, compte tenu de l'extrême diversité des couples produits-marchés et de la faiblesse (ou de l'absence) de certains indicateurs, ces résultats doivent être reçus avec prudence et croisés par des travaux complémentaires.

Références; National audience; Publié dans un ouvrage généraliste portant sur l'évolution de la société française, le texte présente de manière synthétique les grandes étapes qui ont jalonné l'histoire de la politique agricole commune (PAC). Depuis la mise en oeuvre des Organisations communes de marchés (OCM) au milieu des années 60, la PAC repose sur trois grands principes : l'unicité des marchés, la préférence communautaire et la solidarité financière. Cette politique commune a permis de dynamiser la production agricole européenne en protégeant le marché intérieur à l'égard d'importations à bas prix en provenance du marché mondial. L'Union européenne est ainsi devenue progressivement excédentaire pour la plupart des produits agricoles de zone tempérée (céréales, lait, viande bovine, etc.). Du fait de pressions internes (croissance des excédents et des dépenses budgétaires, aggravation des problèmes environnementaux, etc.) et externes (négociations multilatérales de l'Organisation mondiale du commerce), la PAC a fait l'objet, au cours des deux dernières décennies, de plusieurs modifications successives de ses règles de fonctionnement. La réforme de la PAC décidée en juin 2003 est innovante pour au moins trois raisons : elle met en oeuvre un découplage des mesures de soutien des revenus agricoles ; elle opère un transfert de crédits au profit des mesures du développement rural ; elle conditionne le versement des soutiens directs au respect de normes en matière d'environnement, de sécurité sanitaire des produits et de bien-être animal.

Le rapport décrit dans un premier temps une nouvelle modélisation de l'agriculture européenne, centrée sur quatre grandes filières (grandes cultures, lait, viandes et sucre). Il fournit ensuite une description d'une évolution possible de l'agriculture communautaire avant réforme de la politique agricole commune (PAC) de 2003 et sans nouveaux engagements à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Sont alors testés différents scénarios de mise en oeuvre de la dernière réforme de la PAC ainsi que différents types d'accords à l'OMC.

Trois scénarios de réforme de l’OCM Sucre ont été réalisés sur un échantillon de 609 exploitations betteravières du RICA français 2000. Ces exploitations ont une SAU moyenne de 133 ha et un revenu agricole moyen de 337 €/ha. Un modèle d'offre fondé sur la programmation linéaire a été utilisé pour cette étude. La solution de référence est une optimisation en 2006 après application du compromis de Luxembourg. Le premier scénario maintient le régime des quotas et les prix actuels, mais diminue le volume de 30%. On observe une baisse moyenne des revenus agricole de -8%. Le scénario 2 propose une suppression du régime des quotas et un prix de la betterave à 25€/t. L'offre de betterave serait multipliée par 2,5 mais le nombre de producteur et leur revenu resteraient stables. Une limitation du volume aux quantités actuelles entraînerait des chutes de revenu agricole de -16%. Une aide de 5€/t pourrait limiter cette baisse à -6%. Le scénario 3 simule une suppression du régime des quotas et un prix de la betterave au cours mondial (15€/t). 20% des producteurs français resteraient compétitifs, la production de sucre chuterait de 70% et les revenus agricoles de 29%, soit une perte d’environ 100€ / ha de SAU. Pour compenser 50% de la perte, une aide de 7,5€/t de betterave A+B est nécessaire. Ces scénarios n'ont pas tout à fait les mêmes impacts selon les régions. Dans l'hypothèse d'une redistribution de la production nationale, on pourrait observer un accroissement de la concentration régionale de la production.

Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 4 Allée Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA); Depuis la mise en oeuvre de l'Organisation commune de marché (OCM) de la banane en 1993, cette dernière a fait l'objet de nombreuses plaintes au GATT, puis à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Le document propose tout d'abord un panorama du conflit qui s'est déroulé autour de l'OCM de la banane entre l'Union européenne (UE), d'une part, et les pays exportateurs plaignants (pays d'Amérique Latine, soutenus par les Etats-Unis), d'autre part. En suivant la chronologie des évènements, l'accent est mis sur les principales dispositions de l'OCM contestées dans les différentes plaintes et sur les réformes successives de l'OCM adoptées par l'UE en réponse à ces plaintes. Il apparaît alors que ces diverses réformes ont conduit à progressivement éroder l'accès préférentiel que l'UE avait initialement tenté de réserver aux bananes originaires des pays ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifique). Dans un second temps, l'analyse porte sur les conséquences de l'OCM finalement adoptée par l'UE en 2001. Une évaluation quantitative des effets de cette OCM pour les différents pays exportateurs de bananes vers l'UE est proposée. Les résultats montrent que certains pays ACP, en particulier les Etats des Caraïbes, pourraient pâtir de cette nouvelle réglementation.

Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 4 Allée Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA); Depuis la mise en oeuvre de l'Organisation commune de marché (OCM) de la banane en 1993, cette dernière a fait l'objet de nombreuses plaintes au GATT, puis à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Le document propose tout d'abord un panorama du conflit qui s'est déroulé autour de l'OCM de la banane entre l'Union européenne (UE), d'une part, et les pays exportateurs plaignants (pays d'Amérique Latine, soutenus par les Etats-Unis), d'autre part. En suivant la chronologie des évènements, l'accent est mis sur les principales dispositions de l'OCM contestées dans les différentes plaintes et sur les réformes successives de l'OCM adoptées par l'UE en réponse à ces plaintes. Il apparaît alors que ces diverses réformes ont conduit à progressivement éroder l'accès préférentiel que l'UE avait initialement tenté de réserver aux bananes originaires des pays ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifique). Dans un second temps, l'analyse porte sur les conséquences de l'OCM finalement adoptée par l'UE en 2001. Une évaluation quantitative des effets de cette OCM pour les différents pays exportateurs de bananes vers l'UE est proposée. Les résultats montrent que certains pays ACP, en particulier les Etats des Caraïbes, pourraient pâtir de cette nouvelle réglementation.

National audience; Les appellations d'origine protégée (AOP) européennes requièrent le plus souvent une régulation économique des quantités tout au long de la chaîne de production-commercialisation. En s'inspirant du secteur viticole, les auteurs exposent les arguments qui peuvent être avancés par rapport aux contraintes fixées par la politique de la concurrence. Ils proposent en outre un modèle économique formalisé qui explicite l'adéquation d'une telle régulation avec l'intérêt des consommateurs, en considérant, d'une part, le contrôle de l'offre par un monopole et, d'autre part, une décroissance de la qualité en fonction des quantités produites.

Dans les zones de montagne, notamment dans les Alpes du Nord, les exploitations laitières contribuent fortement à l'occupation du territoire et jouent un rôle économique déterminant. De taille plus modeste que les unités de plaine et souvent économiquement moins rentables, les exploitations laitières de montagne ont bénéficié de la politique nationale conduite en matière de gestion des quotas laitiers. Dans un contexte où l'on s'interroge sur le devenir de l'Organisation commune de marché lait, une analyse de la situation structurelle, économique et financière des exploitations laitières de trois grandes zones (montagne, zone défavorisée simple et plaine), puis de quatre massifs montagneux (Alpes du Nord, Jura, Massif central et Vosges) est envisagée. En se centrant sur les Alpes du Nord, une mise en perspective de la dynamique de la filière laitière est ensuite conduite sur trente ans. Elle permet de mieux saisir certaines spécificités propres à cette zone telles que : une stabilisation voire une augmentation des livraisons de lait depuis 1985 sous l'effet des redistributions de références de droits à produire ; une baisse moins rapide du cheptel de vaches laitières et des unités professionnelles depuis 1988 ; un fort développement de la filière fromagère sous signes de qualité ; un prix du lait payé au producteur largement supérieur à la moyenne nationale.