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Topographic mapping, e.g. the generation of Digital Elevation Models (DEM), is of general interest to the remote sensing community and scientific research. Commonly, photogrammetric methods, e.g. stereo image analysis methods (SIAM) or bundle adjustment methods (BAM), are applied to derive 3D information based on multiple images of an area. These methods require the detection of control points, i.e. common points within multiple images, which relies on a similarity measure and usually yields a sparse map of 3D points. The full spatial DEM is then obtained by interpolation techniques or imposed restrictions, e.g. smoothness constraints. Since BAM utilizes all images of the area, it is assumed to provide a more accurate DEM than SIAM which utilizes only pairs of images. Intensity-based shape recovery, e.g. shape from shading (SfS), utilizes the reflectance behavior of the object surface and thus provides a dense map of relative height changes, which provide the possibility to refine the photogrammetric DEMs. Based on Rosetta NavCam images of 67P/Churyumov-Gerasimenko we compare intensity-based DEM refinement methods which use DEMs obtained based on SIAM and BAM as a reference. We show that both the SIAM based DEM refinement and the BAM based DEM refinement are of similar quality. It is thus possible to derive DEMs of high lateral resolution by applying the intensity-based refinement to the less complex SIAM. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Abstract: Adverse systemic reactions such as cardiovascular effects may occur following topical ocular application of phenylephrine. We report the case of a 49-year-old woman who, following topical application of phenylephrine eyedrops, experienced hypertension with electrocardiographic modifications and a rise in cardiac troponin Ic. [Copyright &y& Elsevier]

Introduction L’analyse de la réactivité pupillaire est fondamentale dans l’évaluation des patients cérébrolésés. La disparition de ce réflexe du tronc cérébral est associée à des lésions cérébrales graves et à un mauvais pronostic. Cependant, cette donnée clinique reste subjective et délicate en raison des conditions d’examen et des facteurs physiopathologiques et médicamenteux interagissant avec la taille pupillaire et la qualité du réflexe. La vidéopupillométrie automatisée permet désormais une analyse précise et reproductible. Nous avons étudié la concordance de la réactivité pupillaire évaluée par pupillométrie et par l’examen clinique infirmier et médical. Patients et méthodes L’étude a été réalisée dans un service de réanimation polyvalente à orientation neurologique après accord du CPP et consentement des patients ou de leur représentant. La réactivité pupillaire de tous les patients a été évaluée chaque jour à l’aide d’un pupillomètre Neurolight Algiscan (IDMed) par des étudiants hospitaliers. Les données ont été comparées à l’examen clinique réalisé à la même heure et dans les mêmes conditions par l’infirmière en charge du patient et par un médecin réanimateur unique. L’analyse statistique a consisté en une étude de la concordance à l’aide du test Kappa. Résultats Trente-trois patients ont été évalués avec 324 mesures au total. L’âge moyen était 59 ± 20 ans, l’IGS2 moyen 47 ± 18. Soixante-sept pour cent étaient neurolésés (7 traumatisés craniens, 7 hématomes intraparenchymateux spontanés, 4 hémorragies méningées anévrysmales et 3 encéphalopathies postanoxiques). Cinquante-quatre pour cent n’étaient pas sédatés et 52 % sevrés des catécholamines. Cinq pour cent des examens retrouvaient une aréactivité avec le pupillomètre contre 12 % pour les IDE et 16 % pour le médecin. Dans 52 cas, la réactivité pupillométrique était présente mais très faible (< 15 %). La corrélation était faible, au mieux Kappa 0,71 entre pupillométrie et infirmiers. Les discordances d’évaluation étaient associées à une réactivité pupillométrique < 15 %, au phénotype « yeux marrons », aux patients neurolésés. Aucune discordance n’était retrouvée en cas d’aréactivité pupillométrique ( Fig. 1 ). Discussion Il existe des discordances d’évaluation du réflexe pupillaire selon la technique et les examinateurs. La pupillométrie automatisée semble plus sensible que l’analyse clinique médicale et paramédicale, mettant en évidence des faux négatifs. Compte tenu de l’importance de cette évaluation, notamment concernant la prise de décision chez ce type de patient, il pourrait être intéressant d’utiliser la pupillométrie automatisée afin de valider une aréactivité clinique en pratique courante. Cependant, le collectif de notre étude et la faible fréquence d’aréactivité dans notre population ne permettent pas d’analyser précisément les facteurs associés aux discordances. [ABSTRACT FROM AUTHOR]