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Purpose of Review: To review the literature regarding the role of psychological and social factors in neurogenic lower urinary tract dysfunction (NLUTD). Recent Findings: Neurogenic lower urinary tract dysfunction significantly affects psychological and psychosocial domains. There is a high level of comorbidity between psychological distress, anxiety, and depression in both patients with NLUTD and their caregivers. Psychological comorbidity can affect outcomes broadly. In addition, managing NLUTD and its effects can impact social, sexual, caregiver, and patient–provider relationships and quality of life. There is some evidence to suggest that the treatment of bolstering positive affect and self-efficacy may improve patient autonomy and social engagement, although the literature on psychosocial intervention for NLUTD specifically is scarce. Summary: While there is a growing body of evidence on psychological and psychosocial factors affecting patients with NLUTD, there is still much left to be discovered, especially with regards to psychosocial interventions with the goal of improved perception of urinary symptoms, improved function, and improvement of quality of life for these patients. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Les caractéristiques des patients français atteints d'ostéogenèse imparfaite (OI) – une maladie héréditaire rare du tissu conjonctif – ne sont pas entièrement connues. L'étude IMPACT visait à quantifier le recours au système de soins des patients adultes atteints d'ostéogenèse imparfaite. L'étude IMPACT a été développée par la OI Federation Europe, la OI Foundation et un comité d'experts internationaux afin d'explorer l'impact clinique et économique de l'OI. L'enquête a été réalisée en ligne, de juillet à septembre 2021, auprès de patients adultes (≥ 18 ans), adolescents (12 à 17 ans), aidants (atteints ou pas d'OI) et de leur entourage. Cette analyse descriptive présente les résultats chez les adultes français atteints d'OI ayant répondu eux-mêmes à l'enquête. Parmi les 104 participants français, 88 étaient des adultes atteints d'OI, dont 13 également aidants ; 75,0 % étaient des femmes (âge moyen : 43,7 ans). Le type d'OI était de type 1 (27,3 %), de type 3 (11,4 %) ou de type 4 (2,3 %) et non connu dans 38,6 % des cas. La gravité de l'OI était évaluée comme légère, modérée ou sévère, respectivement dans 35,2 %, 44,3 % et 19,3 % des cas. Sur une période de 12 mois, les patients adultes ont déclaré avoir consulté : un kinésithérapeute (25,6 visites/patient), un médecin généraliste (5,2) et une infirmière (3,0). Le nombre moyen (écart-type : ET) de visites à l'hôpital était de 3,8 (6,6), aux urgences de 0,4 (1,0), et le nombre de nuits passées à l'hôpital ou dans un service de réadaptation, respectivement de 1,8 (11,1) et 1,5 (11,0). Les examens les plus fréquemment rapportés étaient les analyses de sang (moyenne : 2,3 ; ET = 3,1) et les radiographies (moyenne : 1,5 ; ET = 2,2). Le nombre moyen de scanners, DEXA, IRM et échographie, et d'examens audiologiques et urinaires était compris entre 0,2 et 0,8. Les chirurgies les plus fréquentes concernaient les réductions de fractures (moyenne 6,8 ; ET = 10,7) et la pose de matériel orthopédique (moyenne 3,2 ; ET = 3,3). L'échantillon des patients OI ayant participé en France était globalement similaire à la cohorte mondiale d'adultes dans l'étude IMPACT (n = 1440) en termes de types d'OI et de caractéristiques. Les données françaises reflètent les résultats globaux quant au besoin de soins multidisciplinaires, en particulier la kinésithérapie. Le nombre et l'éventail des examens ainsi que les interventions chirurgicales témoignent de l'ampleur des ressources mises en jeu pour la prise en charge globale des patients adultes atteints d'ostéogenèse imparfaite. L'étude IMPACT apporte les premières données descriptives concernant la prise en charge globale de la population adulte française atteinte d'ostéogenèse imparfaite, mettant en évidence le besoin de soins multidisciplinaires dans cette pathologie rare et hétérogène. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Children and Young people were the last group in England be offered COVID-19 vaccination (from September 2021), thus were the largest susceptible group when SARS-CoV-2 Omicron variants emerged. We monitored vaccine and naturally-derived antibodies in schools between November 2021 and March 2022. We conducted three large surveys (November 2021, January and March 2022) in a nationally representative random sample of primary and secondary schools, stratified by regions. Oral fluid samples were tested for IgG antibodies against SARS-CoV-2 nucleocapsid (anti-NP) and spike (anti-S1) proteins using novel validated ELISAs; vaccines used in England elicit anti-S1 antibodies only. We calculated weighted prevalences for each survey, and used multilevel logistic regression to investigate associations with socio-demographic factors. Overall 11311 students contributed 22478 biological samples (respectively 4840, 7549 and 10089 in rounds 1, 2 and 3, with similar socio- demographic characteristics). In 4-11 year olds, not eligible for vaccination, anti- S1 and anti-NP antibody prevalences were 31.3% and 26.6%, 46.2% and 43.8%, and 53.4% and 58.7% respectively over the three rounds. The corresponding estimates in 12 to 18 year olds) were 70.7% and 34.6%, 85.6% and 45.9%, 89.0 and 53.9%. In November 2021 (before Omicron dominance), higher anti-S1 antibody positivity was associated with older age and Black ethnicity, and non- eligibility for free school meals in 4-11 year olds. In 12-18 years it was associated with non-eligibility for free school meals. In March 2022 when Omicron dominated, these associations remained, together with urban location in 4-11 years old. The steep increase in 4-11 year olds in both sets of antibodies reflected the emergence and spread of highly infectious Omicron variants whilst high and increasing anti-S1 prevalence in secondary students was consistent with greater vaccine uptake. Socioeconomically deprived 12-18 year olds had lower odds of anti-S1, suggesting lower vaccine uptake or access. [ABSTRACT FROM AUTHOR]