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Publisher Summary Most of the Triatominae are found in the New World, with a very few others in the Old World. They are Hematophagous bugs living in close association with their sylvatic hosts in such habitats as palm tree crowns, bird nests, rodent burrows, opossum lodges, and rock piles. For some genera, the classification of Triatominae reflects these associations, with for instance, the Rhodnius adapted to the palm trees, the Psammolestes living in bird nests, and the Panstrongylus and Paratriatoma associated with burrows. However, with a very few exceptions, these species are opportunistic and feed on other hosts too, including the human host. Since one of their commonly observed behaviors is to enter domestic and peridomestic structures, with some of them trying to colonize the human habitat, the sylvatic species of Triatominae represent a possible source of infection by T. cruzi, thus they deserve much more interest. Due to their generally nocturnal habits and hidden refuges, they may be hard to collect in the field. In this regard, the design of a new trapping device was a welcome initiative.

Palm Protect is an EU-funded program (2012-14) entitled: “Strategies for eradication and containment of invasive palm borers, Rhynchophorus ferrugineus and Paysandisia archon. The project aims at throwing light on aspects of the pest biology in Europe, which are unknown and preclude efficient control, validating new and reliable methods for detection and control, and implementing them into strategies for eradication of the palm borers both at the points of entry in the EU and in the infested areas. The project also aims at providing with an economic analysis to value palm services and management options and to disseminate the findings to the stakeholders. Palm Protect associates 12 research organisations, 1 SME, UK, France, Greece, Italy, Slovenia, Spain, Israel and Egypt. It is based on 6 actions: Management, Biology, Detection, Control, Economics and Dissemination. France contributes by INRA (Versailles et Sophia Antipolis) and CIRAD, which are particularly involved to provide new fundamentals about adult mobility, semiochemicals and parasitoids. The results will make it possible to improve European regulation and its efficacy from a consolidated scientific background in compliance with the standards in force for pest control; Palm Protect est un programme financé par l’UE (2012-14) intitulé ‘Stratégies pour l'éradication et le confinement des ravageurs invasifs des palmiers P. archon et R. ferrugineus’. Il a pour objectifs d’éclairer les éléments inconnus de la biologie en Europe de ces espèces qui limitent l’efficacité de la lutte, de valider des méthodes et des stratégies fiables et nouvelles pour leur détection, leur gestion et leur éradication tant aux points d’entrée que dans les zones contaminées. Palm Protect diffusera le fruit de ces travaux à tous les acteurs de la filière ‘palmiers’. Le programme associe 12 organismes de recherche, une PME, le Royaume-Uni, l’Espagne, la France, la Grèce, l’Italie, la Slovénie, Israël et L’Egypte. Il comprend 6 actions : Coordination, Biologie, Détection et surveillance, Lutte, Economie et Diffusion des acquis. La France contribue par l'INRA (Versailles et Sophia Antipolis) et le CIRAD, et s’implique fortement dans l’acquisition de connaissances nouvelles sur le déplacement des adultes, les médiateurs chimiques et les parasitoïdes. Les résultats serviront de base pour améliorer la réglementation européenne et son efficacité à partir de données scientifiques en application des règles générales en vigueur pour le contrôle des bio-agresseurs

Palm Protect est un programme financé par l’UE (2012-14) intitulé ‘Stratégies pour l'éradication et le confinement des ravageurs invasifs des palmiers P. archon et R. ferrugineus’. Il a pour objectifs d’éclairer les éléments inconnus de la biologie en Europe de ces espèces qui limitent l’efficacité de la lutte, de valider des méthodes et des stratégies fiables et nouvelles pour leur détection, leur gestion et leur éradication tant aux points d’entrée que dans les zones contaminées. Palm Protect diffusera le fruit de ces travaux à tous les acteurs de la filière ‘palmiers’. Le programme associe 12 organismes de recherche, une PME, le Royaume-Uni, l’Espagne, la France, la Grèce, l’Italie, la Slovénie, Israël et L’Egypte. Il comprend 6 actions : Coordination, Biologie, Détection et surveillance, Lutte, Economie et Diffusion des acquis. La France contribue par l'INRA (Versailles et Sophia Antipolis) et le CIRAD, et s’implique fortement dans l’acquisition de connaissances nouvelles sur le déplacement des adultes, les médiateurs chimiques et les parasitoïdes. Les résultats serviront de base pour améliorer la réglementation européenne et son efficacité à partir de données scientifiques en application des règles générales en vigueur pour le contrôle des bio-agresseurs, Palm Protect is an EU-funded program (2012-14) entitled: “Strategies for eradication and containment of invasive palm borers, Rhynchophorus ferrugineus and Paysandisia archon. The project aims at throwing light on aspects of the pest biology in Europe, which are unknown and preclude efficient control, validating new and reliable methods for detection and control, and implementing them into strategies for eradication of the palm borers both at the points of entry in the EU and in the infested areas. The project also aims at providing with an economic analysis to value palm services and management options and to disseminate the findings to the stakeholders. Palm Protect associates 12 research organisations, 1 SME, UK, France, Greece, Italy, Slovenia, Spain, Israel and Egypt. It is based on 6 actions: Management, Biology, Detection, Control, Economics and Dissemination. France contributes by INRA (Versailles et Sophia Antipolis) and CIRAD, which are particularly involved to provide new fundamentals about adult mobility, semiochemicals and parasitoids. The results will make it possible to improve European regulation and its efficacy from a consolidated scientific background in compliance with the standards in force for pest control

L'Ailante glanduleux (Ailanthus altissima (Miller) Swingle) est un arbre d'origine chinoise introduit en France durant la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Il fut au départ planté en ville dans les espaces verts, puis fut l'objet d'une phase de plantation courte mais intensive dans l'objectif de produire de la soie. Il est aujourd'hui très répandu dans le milieu naturel et manifeste localement un comportement envahissant, notamment dans des forêts claires ou des pelouses. L'herbicide naturel et le nombre très élevé de fruits qu'il produit, mais aussi sa croissance rapide et sa faculté de reproduction végétative sous forme de drageons ou de rejets sont des caractéristiques biologiques essentielles pour permettre d'expliquer son caractère envahissant. Cet arbre offre des atouts variés mais le risque d'érosion de la biodiversité qu'il occasionne est à l'origine de recherche de méthodes pour son contrôle. Il serait sage de ne plus le planter et de surveiller sa répartition. / The tree of heaven (Ailanthus altissima (Miller) Swingle) originates from China and was introduced into France during the second half of the 18th century. It was initially planted in city parks and was later briefly but intensively grown for the purpose of producing silk. It is now widely disseminated in the natural environment and is locally invasive, especially in open forests and on grasslands. Its invasiveness is due to essential biological characteristics, i.e. the large quantity of fruit and natural herbicide it produces, its rapid vegetative growth in the form of suckers and shoots. Although this tree has some benefits, it also presents a risk of biodiversity degradation, which is why methods for control are being investigated. It would be wise to stop planting this tree and monitor its distribution.

L'Europe abrite dans ses forêts, une famille d'insectes sociaux célèbres pour leurs dégâts dans les habitations : les Reticulitermes ou termites souterrains. Leur origine et leur morphologie ont été et restent l'objet de controverses, mais la description de leur biologie permet de mieux comprendre leur organisation complexe et néanmoins passionnante. Avec l'utilisation massive de leur habitat, le bois, l'accroissement des échanges et l'avènement du chauffage central, leur population, longtemps cantonnés au milieu naturel, est en constante progression sur le territoire français, notamment en milieu urbain. La mise en place d'une lutte intelligente, respectueuse de l'environnement accompagnée d'une réglementation précise peut nous permettre de mieux réguler leurs infestations tout en les maintenant dans leur habitat naturel où ils participent à l'équilibre d'un écosystème.

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chap. 12

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Cette monographie, destinée aux étudiants ainsi qu'aux praticiens généralistes et spécialistes, relate l'état actuel des connaissances sur les hépatites virales. Les auteurs y abordent d'une manière synthétique et parfaitement référencée, les différents aspects d'épidémiologie, de biologie, de transmission, de diagnostic, de manifestations cliniques et d'évolution propres aux divers types d'hépatites virales (A, B, C, D, E), ainsi que tous les moyens de lutte, la prévention et les traitements. Cet ouvrage vient combler une lacune importante de l'édition médicale en mettant à la disposition du plus grand nombre les données essentielles sur ces pathologies dont la perniciosité est notoire dans toutes les contrées du Nord comme du Sud.

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Numerous organizations participate and cooperate on parasitological research in France including the Institut national de la Sante et de la Recherche Medicale (INSERM), the Centre national de la Recherche Scientifique (CNRS), the Institut Pasteur, the Institut Francais de Recherche Scientifique pour le Developpement en Cooperation (ORSTOMM), the Institut national de la Recherche Agronomique (INRA), the Museum national d'Histoire naturelle (MNHN), the Universities, the College de France, the Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) as well as various commercial firms. Exchanges and collaborations with foreign workers are continuous and essential to the success of research on tropical diseases. Here, in their own words, Odile Bain, Daniel Camus and Jacques Prod'hon highlight some aspects of current parasitological research in France.

Les technologies avancées de biologie moléculaire, génétique, informatique, sont à l'origine de progrès importants en taxonomie, physiologie, bioécologie et épidémiologie. De nouveaux insecticides, des IGR et des bactéries entomopathogènes ont été développés. Les succès de la lutte antivectorielle se partagent entre moyens simples (pièges à tsé-tsé et moustiquaires imprégnées) et les programmes lourds (lutte contre l'onchocercose en Afrique de l'Ouest, démoustication dans l'hémisphère nord). La lutte contre la dracunculose se situe entre les deux. La lutte antipaludique a des difficultés à retrouver son second souffle. Les luttes biologique et génétique piétinent. Des structures adéquates, du personnel bien formé et motivé, un financement convenable, une volonté politique restent les facteurs incontournables de l'emploi des méthodes actuellement disponibles. (Résumé d'auteur)

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*Station de Zoologie - Centre de Recherches de Bordeaux; National audience

nø hors serie; National audience

Les taons Tabanus importunus, Cryptotylus unicolor et Tabanus occidentalis var. dorsovittatus et les tiques Boophilus microplus et Amblyomma cayennense sont les arthropodes les plus nuisibles au bétail en Guyane française. Les taons sont une grave nuisance. Les principales maladies transmissibles par les arthropodes sont l'anaplasmose à Anaplasma marginale (transmissible par les tiques et par les taons), la trypanosomose à Trypanosoma vivax viennei (par les taons) et les babésioses à Babesia bigemina et Babesia bovis (par les tiques). D'autres tiques et d'autres maladies peuvent être importées en Guyane. La biologie de ces arthropodes, les méthodes de lutte disponibles et les recherches nécessaires sont présentées.

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