7 results on '"M.C. Gagnieu"'
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2. Particules lipidiques intramacrophagiques recueillies par lavage bronchoalvéolaire : fréquence et intérêt diagnostique
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C. Guillaume, Jean Motin, J.M. Vedrinne, M.C. Gagnieu, and P. Gratadour
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Anesthesiology and Pain Medicine ,General Medicine - Abstract
Resume La presence d'inclusions lipidiques dans les macrophages alveolaires est l'objet de resultats divergents dans la litterature quant a leur specificite diagnostique. Le but de ce travail a ete d'apprecier la frequence et l'interet diagnostique de leur presence lors de la realisation d'un lavage bronchoalveolaire (LBA) chez des patients de reanimation. L'etude a porte sur 128 patients, dont 66 polytraumatises, sous ventilation mecanique, ayant des infiltrats pulmonaires justifiant la realisation d'un LBA. La recherche de particules lipidiques etait realisee avec une coloration specifique des graisses, le rouge Soudan, sur un frottis de cellules obtenues par LBA. Le seuil de positivite etait de 5 % d'inclusions lipidiques dans les macrophages alveolaires. Quarante et un LBA chez 32 patients ont ete exclus. Quatorze des 47 patients sans polytraumatisme avaient un LBA positif. Cinq patients sur huit ayant un syndrome d'inhalation ont obtenu un LBA positif. Vingt-sept des 49 patients ayant au moins une fracture osseuse ont eu un LBA positif. Parmi les dix patients ayant un syndrome clinique evident d'embolie graisseuse posttraumatique, sept seulement avaient un LBA positif. Tous recevaient des perfusions de lipides. Sur l'ensemble des malades, la perfusion de lipides est significativement associee a un LBA positif. En conclusion, la presence de particules lipidiques intramacrophagiques n'est pas specifique de l'embolie graisseuse posttraumatique. Elle peut se rencontrer dans diverses situations pathologiques ; en particulier, elle est souvent associee a un episode d'inhalation ou a la perfusion d'emulsions lipidiques.
- Published
- 1993
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3. P.132 Tolérance d’un traitement immunosuppresseur de maintenance à base d’évérolimus (Certican®) après transplantation hépatique
- Author
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Mélanie Vallin, Mustapha Adham, Olivier Guillaud, Isabelle Morard, Gilles Mentha, Emiliano Giostra, Olivier Boillot, M.C. Gagnieu, Jérôme Dumortier, and E. Morelon
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Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Gastroenterology ,Medicine ,General Medicine ,business - Abstract
Introduction L’everolimus (ERL) est un inhibiteur du signal de proliferation des lymphocytes T (inhibiteur de mTOR), utilise comme immunosuppresseur apres transplantation d’organes. Le but de cette etude etait d’evaluer la tolerance de l’introduction de l’ERL en traitement de maintenance apres transplantation hepatique. Patients et Methodes De janvier 2005 a mars 2008, l’ERL etait introduit apres transplantation hepatique en remplacement des inhibiteurs de calcineurine (ICN), en traitement immunosuppresseur de maintenance dans 3 situations : (1) apparition post-greffe d’un cancer de novo ou d’une recidive d’un cancer present avant transplantation, traite ou en cours de traitement, (2) presence d’un cancer du foie sur l’explant hepatique presentant des criteres de mauvais pronostic, et/ou (3) presence d’effets secondaires des ICN. La posologie d’ICN etait progressivement reduite apres l’introduction de l’ERL jusqu’a arret complet, si possible. Resultats La population incluse dans l’etude comprenait 94 patients (68 hommes, 26 femmes), d’âge moyen 58 ± 10 ans. Le delai moyen d’introduction de l’ERL apres transplantation etait de 5 ± 5 ans (de 1 mois a 17,8 ans). Les indications de traitement par ERL etaient des effets secondaires des ICN chez 54 % des malades (n = 51), l’existence d’un cancer du foie de mauvais pronostic sur l’explant hepatique dans 11 % des cas (n = 10), et un cancer recidivant ou de novo pour 35 % des patients (n = 33). La dose moyenne d’ERL etait de 2 mg/j a l’initiation du traitement puis de 3 mg/j a la fin du suivi. Le taux residuel moyen d’ERL etait de 6 μg/l a la fin du suivi. Apres un suivi moyen de 12 ± 7 mois, 70 % des malades avaient presente au moins un effet secondaire, et l’interruption du traitement a ete necessaire chez 16 % des patients, dans un delai de 7 ± 8 mois. Les principaux effets secondaires rapportes etaient : hypercholesterolemie (38 %), eruption, prurit et/ou xerose (19 %), mucite et aphtes (15 %), proteinurie > 300 mg/j (13 %), œdeme (7 %), hematotoxicite (4 %), infection (3 %) et lymphorrhee (3 %). Sur le plan biologique, il existait une augmentation significative du taux de cholesterol apres l’introduction d’ERL (4 vs 5 mmol/l, p Conclusion Nos resultats montrent que la tolerance a l’introduction de l’ERL apres transplantation hepatique est acceptable, bien que 70 % des malades presentent des effets secondaires. Les plus frequents sont l’apparition d’une dyslipidemie, et des manifestations cutanees. Les effets indesirables ont frequemment disparu apres diminution de posologie et traitement symptomatique, mais ont impose l’arret du traitement chez 16 % des patients.
- Published
- 2009
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4. P.360 Hépatite C de génotype 1 : escalade de dose de ribavirine chez les malades non répondeurs et suivi pharmacologique et virologique
- Author
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P. Rojat, F. Parant, Jérôme Dumortier, M.C. Gagnieu, and O. Guillaud
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Gastroenterology ,Medicine ,General Medicine ,business - Abstract
Introduction Le traitement de l’hepatite C de genotype 1 reste decevant, permettant seulement une eradication du VHC chez moins de la moitie des malades. En attendant de nouvelles molecules, une optimisation de l’utilisation de l’interferon alpha et de la ribavirine pourrait permettre d’ameliorer les resultats du traitement standard actuel. De nombreux arguments suggerant l’existence d’un effet-dose de la ribavirine ont ete rapportes [1,2]. Le but de cette etude etait d’evaluer l’interet d’augmenter progressivement la dose de ribavirine au-dela de la posologie habituelle, chez des patients non repondeurs a un traitement par ribavirine et interferon pegyle alpha 2b. Patients et Methodes 10 malades ont ete inclus (4 femmes et 6 hommes, d’âge moyen 45 ans (32-60)). Les malades etaient non-repondeurs (diminution de la charge virale de moins de 2 Log) apres au moins 3 mois de traitement. La posologie de ribavirine etait augmentee tous les mois de 200 mg par jour. La surveillance biologique comportait une NFP et une mesure de la charge virale et du taux plasmatique de ribavirine par HPLC tous les mois. Resultats Apres un suivi median de 14 mois, la posologie moyenne maximale atteinte etait de 2 000 mg/jour (1 600-2 400). L’augmentation de la posologie de ribavirine entrainait chez tous les malades une augmentation du taux plasmatique de ribavirine (de 1,54 mg/l a 3,58 mg/l, p Conclusion Nos resultats suggerent que l’augmentation des doses de ribavirine, chez les patients non repondeurs a un traitement par ribavirine et interferon pegyle alpha 2b, est possible, entraine une elevation tres significative des taux plasmatiques de ribavirine, s’accompagne d’un effet-dose sur la charge virale VHC, mais permet rarement d’obtenir une reponse virologique.
- Published
- 2009
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5. P.362 Dosages sanguins de ribavirine au cours du traitement de l’hépatite C chronique : quel intérêt ?
- Author
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M.C. Gagnieu, O. Boillot, P. Rojat, F. Parant, O. Guillaud, E. Ducos, and Jérôme Dumortier
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Gastroenterology ,medicine ,General Medicine ,business - Abstract
Introduction Le traitement de l’hepatite C repose sur l’interferon alpha et la ribavirine. Ses resultats restent decevants malgre des progres recents, puisque l’infection ne peut etre eradiquee que chez seulement la moitie des malades. De plus, l’anemie induite par la ribavirine peut conduire a une reduction de dose, voire un arret du traitement, en particulier dans des populations a risque comme les malades transplantes ou en hemodialyse. Le but de cette etude etait d’evaluer l’interet du dosage sanguin de la ribavirine, chez des patients en cours de traitement par ribavirine et interferon pegyle alpha 2a ou 2b. Patients et Methodes De mars 2003 a mars 2006, 65 malades ont ete etudies (16 femmes et 49 hommes, d’âge moyen 48 ans (20-76), 18 transplantes hepatiques). Il s’agissait dans 77 % des cas (50/65) d’une infection par le VHC de genotype 1. Les dosages sanguins de ribavirine par HPLC ont ete realises apres 1 mois de traitement. La posologie initiale de ribavirine etait adaptee a la fonction renale et au taux d’hemoglobine. La posologie mediane etait de 5,49 mg/kg/j chez les malades transplantes et de 12,82 mg/kg/j chez les autres. La surveillance biologique comportait une NFP et une mesure de la charge virale et un dosage de ribavirine tous les 3 mois. Resultats Il existait une correlation significative entre posologie et concentration plasmatique de ribavirine (r = 0,586 et p 80 mL/min). Il n’existait pas de correlation entre posologie et concentration intra-erythrocytaire en ribavirine. Il existait une correlation entre la baisse de la concentration d’hemoglobine et la concentration plasmatique (r = -0,478, p = 0,01) ou intra-erythrocytaire de ribavirine (r = -0,393, p = 0,04). Pour ce qui concerne l’efficacite du traitement antiviral, les malades ont ete classes en repondeurs (= R) selon la reponse virologique precoce (avant 3 mois : si PCR negative ou baisse de la charge virale de plus de 2Log) ou non repondeurs (= NR). Il existait un taux plasmatique de ribavirine significativement plus eleve chez les R que chez les NR (2,64 mg/L νs 1,34 mg/L, p = 0,002, test de Mann et Whitney). Il existait egalement un taux intra-erythrocytaire de ribavirine significativement plus eleve chez les R que chez les NR (0,981 mg/L νs 0,501 mg/L, p = 0,001). Conclusion Nos resultats confirment l’interet des dosages sanguins de ribavirine pour l’evaluation de la toxicite et de l’efficacite du traitement de l’hepatite C. L’augmentation des doses de ribavirine, chez les patients non repondeurs a un traitement par ribavirine et interferon pegyle alpha, pourrait en ameliorer l’efficacite.
- Published
- 2009
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6. Diagnosis of Fat Emboli
- Author
-
Vedrinne Jm, M.C. Gagnieu, and Guillaume C
- Subjects
medicine.medical_specialty ,business.industry ,Fat embolism syndrome ,Internal Medicine ,medicine ,In patient ,General Medicine ,Radiology ,Fat embolism ,medicine.disease ,business - Abstract
To the Editors: We read with interest the recent article by Chastre and colleagues (1) on the rapid diagnosis of the fat embolism syndrome in patients with trauma. The fat embolism syndrome is diff...
- Published
- 1991
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7. Cerebrospinal fluid immunoreactive substance P and somatostatin in neurological patients with peripheral and spinal cord disease
- Author
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M.C. Gagnieu, K. Rissler, N. Rösler, B. Renaud, and H. Cramer
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Substance P ,behavioral disciplines and activities ,Spinal Cord Diseases ,Cellular and Molecular Neuroscience ,chemistry.chemical_compound ,Endocrinology ,Lumbar ,Cerebrospinal fluid ,Reference Values ,Dopamine ,Internal medicine ,medicine ,Humans ,Endocrine and Autonomic Systems ,business.industry ,Homovanillic acid ,Peripheral Nervous System Diseases ,Cerebrospinal Fluid Proteins ,Homovanillic Acid ,General Medicine ,Hydroxyindoleacetic Acid ,Middle Aged ,Spinal cord ,medicine.disease ,medicine.anatomical_structure ,Somatostatin ,Neurology ,chemistry ,Immunoglobulin G ,Female ,business ,Polyneuropathy ,medicine.drug - Abstract
We have measured substance P-like (SPLI) and somatostatin-like (SLI) immunoreactivities in cerebrospinal fluid of 49 patients with peripheral (polyneuropathy, lumboischialgia) and spinal cord disease and in 16 control patients. The patient groups showed significantly higher CSF SPLI levels than controls while the mean SLI levels were unchanged. Fractionated sampling of CSF (total volume 30 ml) in 20 patients with various neurological diseases showed no significant differences between early and late fractions for SLI. In contrast, lumbar-cisternal concentration gradients were negative for SPLI, total protein and IgG, and positive for the dopamine metabolite homovanillic acid and the serotonin metabolite 5-hydroxyindolacetic acid. This suggests that SPLI may be released into the lumbar CSF from lower levels of the neuraxis, presumably the spinal cord and spinal ganglia, whereas SLI stems from diffuse CSF secretion without spinal preponderance.
- Published
- 1988
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