Search

International audience; Situated on the occidental slopes of the massif of the Chartreuse, along the edge of an important lane of traffic which links the Isère valley to the comb of Savoie, the deposits of Saint-Thibaud-de-Couz offer a sequence of reference which has recorded the natural and cultural evolutions from the end of the Tardiglacial to the Holocene, with a rare accuracy. Studies of sedimentology, paleobotany (palynology and anthracology), paleozoology (hunted fauna, rodents, birds, fishes, malacofauna) work towards the reconstitution of the evolution of the paleoenvironment. The chronological control is assured by a whole range of radiometrical datations in good correlation with the pollinical biozonation. Eleven levels of human occupation are gradually introduced from the upper Magdalenian (beginning of the Bölling) to the ancient Mesolithic (end of the Preboreal). Various evolutive facies of the Epipaleolithic have been identified ; they indicate influences which come from different cultural spheres of environmental regions. The detailed study of the material culture will be published in Gallia Préhistoire, 37, 1995. The morpho-geological frame of Saint-Thibaud in linkage with the chronoclimatical and regional data gives the possibility to evoke the question of the cultural hiatus which separates the Wurmian déglaciation, fixed at about 20,000 BP, and the first human implantations dated at Saint-Thibaud and on the whole north-alpine territory, of about 13,000 BP. The classed fauna which lives essentially in the mountains is dominated by the Ibex whose period of hunting was staggered from spring to autumn. The question of the hunting of some little vertebrates (varied hare, marmot, birds) whose remains are abundant, is asked. The remains of a dog dated in the end of Dryas III have been discovered in a paleolithical level. Compared to the hunting, angling is testified by numerous remains of fishes. The tests performed on the vertebras show an angling activity at various periods of the year, from the end of winter to autumn. Through studies on hunting and angling, the site appears to be like a crossing point and a place of temporary stay. This mode of use of the site is confirmed by the obvious fact of great mobility of the groups testified by the silicious raw material traffic. The whole data of the paleoecologic and paleoclimatic of Saint-Thibaud allow us to distinguish five phases : The Bölling-Dryas III is characterized by an open area and a great instability of the slopes under a particulary contrasted and humid climate. The fauna is still profoundly marked by the presence of arctic elements supplemented by steppical, humid or mountains species indicating the juxtaposition of various biotopes. The Alleröd is distinguished by a major bioclimatical change particularly well recorded in the fauna : a rapid settling of a temperate fauna, a decrease in the open forms of space, a disappearance of the nordic species. Sedimentology records a progressive stabilisation of the slopes which corresponds to the development of the plant shelter. The Dryas III, the last glaciary recurrence, is well recorded by the pollens and sedimentology ; the animal world on the contrary is only very little marked by this oscillation. The Preboreal-Boreal period acknowledges an important development of the forest shelter with an extension of the broad-leaved trees then of the thermophyle species ; first temperate and humid, the climate gets dry from the Boreal onwards. The forest and mountain species are dominant in the fauna. The period from Atlantic to Nowadays meets with a slow-down of the detretics brought by cryoclasty, replaced by calcitical and argilous sediments. The pollens indicate an important development of the forest dominated by broad-leaved trees and thermophyles which testify to a warm and extremely humid climate. The top of the filling up has recorded the first clues of anthropical deforestation in the pollinical spectre, dated from the beginning of the Subboreal.; Situé sur le versant occidental du massif de la Chartreuse, en bordure d'une importante voie de circulation reliant la vallée de l'Isère et la combe de Savoie, les gisements de Saint-Thibaud-de-Couz offrent une séquence de référence qui a enregistré avec une rare précision les évolutions naturelles et culturelles de la fin du Tardiglaciaire à l'Holocène. Des études sédimentologiques, paléobotaniques (palynologie et anthracologie), paléozoologiques (faune chassée, rongeurs, oiseaux, poissons, malacofaune) concourent à la reconstitution de l'évolution du paléoenvironnement. Le contrôle chronologique est assuré par un ensemble de datations radiométriques en bonne corrélation avec la biozonation pollinique. Onze niveaux d'occupation humaine s'échelonnent du Magdalénien supérieur (début du Bölling) au Mésolithique ancien (fin du Préboréal). Différents faciès évolutifs de l'Épipaléolithique ont pu être identifiés ; ils traduisent des influences issues des différents domaines culturels de régions environnantes. L'étude détaillée de la culture matérielle sera publiée dans Gallia Préhistoire, 37, 1995. Le cadre morphogéologique de Saint-Thibaud, mis en relation avec les données chronoclimatiques régionales, permet d'évoquer la question du hiatus culturel séparant la déglaciation würmienne, fixée aux environs de 20 000 BP, et les premières implantations humaines datées à Saint-Thibaud et sur l'ensemble du territoire nord-alpin, d'environ 13 000 BP. La faune chassée, essentiellement montagnarde, est dominée par le Bouquetin dont la période de chasse s'étalait du printemps à l'automne. La question de la chasse de certains petits vertébrés (Lièvre variable, Marmotte, oiseaux), dont les restes sont abondants, est posée. Les restes d'un chien, daté de la fin du Dryas III, ont été découverts dans un niveau épipaléolithique. A côté de la chasse, la pêche est attestée par de nombreux restes de poissons. Les tests faits sur les vertèbres montrent une activité de pêche à diverses périodes de l'année, de la fin de l'hiver à l'automne. A travers les études sur la chasse et la pêche, le site apparaît comme un lieu de passage et de séjour temporaire. Ce mode d'utilisation du site est confirmé par la mise en évidence d'une grande mobilité des groupes attestée par la circulation de la matière première siliceuse. L'ensemble des données paléoécologiques et paléoclimatiques de Saint-Thibaud permettent de distinguer cinq phases : Le Bölling-Dryas II est caractérisé par un milieu ouvert et une forte instabilité des versants sous climat particulièrement contrasté et humide. La faune reste profondément marquée par la présence d'éléments arctiques complétés par des espèces steppiques, humides ou montagnardes traduisant la juxtaposition de biotopes variés. L'Alleröd se distingue par un changement bioclimatique majeur particulièrement bien enregistré dans la faune : mise en place rapide d'une faune tempérée, diminution des formes d'espaces découverts, disparition des espèces nordiques. La sédimentologie enregistre une stabilisation progressive des versants correspondant au développement du couvert végétal. Le Dryas III, dernière récurrence glaciaire, est bien enregistré par les pollens et la sédimentologie ; le monde animal par contre n'est que faiblement marqué par cette oscillation. La période Préboréal-Boréal voit un développement important du couvert forestier avec extension des feuillus puis des espèces thermophyles ; d'abord tempéré et humide le climat s'assèche à partir du Boréal. Les espèces forestières et montagnardes sont dominantes dans la faune. La période de l'Atlantique à l'Actuel connaît un ralentissement des apports détritiques issus de la cryoclastie, remplacés par des dépôts calcitiques et argileux. Les pollens indiquent un développement important de la forêt dominée par des feuillus et des thermophyles qui témoignent d'un climat chaud et très humide. Le sommet du remplissage a enregistré dans le spectre pollinique les premiers indices de déboisements anthropiques datés du début du Subboréal.

Ce travail repose sur l'étude hydrodynamique et hydrochimique des hauts plateaux du massif calcaire de la Chartreuse (massifs subalpins). Les phénomènes d'infiltration et d'évapotranspiration ainsi que les phénomènes karstiques sont aussi étudiés; Pas de résumé

L'historique montre que les terrains, tertiaires "molassiques " des synclinaux de Novalaise et de Chambéry n 'avaient jamais été l'objet d'une étude stratigraphique approfondie et qu'il était difficile de connaître leurs rapports stratigraphiques avec les séries miocènes du Bas Dauphiné et de Provence décrites par G. DEMARCQ. C'est pourquoi ce travail comporte: - Une étude stratigraphique fine étayée par la sédimentologie et précisée par la cartographie ; -Une étude sédimentologique complète qui permet de proposer une paléogéographie des temps miocènes et finimiocènes. en précisant notamment les zones d 'apports, les styles de transport et de dépôts, les climats . - Une étude tectonique complémentaire basée sur les nouvelles données stratigraphiques et cartographiques. Cette étude permet de comprendre certaines données sédimentologiques impossibles à expliquer sans elle .; Pas de résumé

Le travail présenté ici est le résultat d'une recherche sur les modalités de la karstification, menée sur des systèmes aquifères soumis à un environnement de moyenne montagne, et principalement alimentés par les précipitations. Cette caractéristique est essentielle à préciser, car la presque totalité de l'eau qui les alimente transite par la zone non saturée (ou zone d'infiltration). Il en résulte que la partie consacrée à l'étude du contexte climatique occupe une place importante dans ce travail. Elle aurait pu être réduite s'il s'était agit de systèmes alimentés exclusivement par des pertes de cours d'eau superficiel, la connaissance du régime hydrologique et des caractéristiques chimiques de ce dernier suffisant alors à maîtriser les entrées des systèmes. Il n'en va pas ainsi des systèmes étudiés, où la dynamique de l'infiltration est intégralement soumise aux variations des paramètres climatiques. Le reste de ce mémoire est consacré à l'étude semi-intensive d'un système choisi pour ses facilités d'accès et sa relative simplicité d'organisation permettant notamment un contrôle satisfaisant des apports hydriques (précipitations) et des sorties (débits écoulés) au prix d'un équipement minimum. Les enseignements tirés des observations accumulées à l'exutoire de ce système ont permis l'extension de l'étude à une douzaine d'autres systèmes dont la structure géologique et la situation géographique sont variées. L'étagement en altitude est une des variables les plus intéressantes présentées par ces systèmes puisqu'elle se corrèle parfaitement avec les paramètres climatiques essentiels que sont la température de l'air et la pluviosité, l'un contrôlant la production du CO2 biologique à la partie supérieure de la zone non saturée, l'autre son entraînement vers la zone saturée,à travers la précédente.; Pas de résumé

L'étude sédimentologique suivante a pour but de retracer et de préciser l'évolution paléogéographique du Tertiaire du massif des Bauges. Ce travail est le résultat d'une double étude sur le terrain et au laboratoire. L'étude sur le terrain consiste en une analyse séquentielle: stratonomie, figures et structures sédimentaires, litages. L'étude de laboratoire comporte des analyses granulométriques, des morphoscopies, morphométries et exoscopie des grains de quartz, l'étude de minéraux argileux, l'étude des minéraux lourds et la pétrographie. Les méthodes,de laboratoire (granulométrie, morphoscopie, morphométrie et exoscopie) sont exposées dans le chapître suivant. Pour chaque formation, nous étudierons successivement les résultats obtenus sur le terrain et au laboratoire ..; pas de résumé

Cette étude hydrogéologique concerne le bassin versant de l'Ugine en amont du pont de Trossy et au synclinal de Mémise. Nous n'avons pas voulu limiter notre étude géologique au seul bassin versant de l'Ugine afin de pouvoir le remplacer dans son contexte régional ; nous nous sommes donc intéressé à l'étude du substratum du Nord-Est du Chablais. D'autre part, étant donné l'importance des formations quaternaires dans cette région nous avons étudié la géologie du Quaternaire entre d'une part le Léman et d'autre part la vallée de l'Ugine et le synclinal de Mémise, l'étude du Quaternaire du plateau de Thollon étant particulièrement intéressante pour montrer les relations pouvant exister du point de vue hydrogéologique entre le substratum et les formations quaternaires. Sur le plateau de Vinzier certaines idées admises nous paraissaient peu crédibles en particulier la présence de Conglomérat des Dranses dans la vallée du ruisseau de Coppy ; nous avons aussi voulu savoir s'il était possible de définir des stades de retrait du glacier rhodanien pouvant être corrélés avec ceux définis par R. Vial (1976) plus à l'ouest. De nombreux travaux ont été réalises sur la région parmi lesquels on peut citer ceux de H. Badoux ainsi que les travaux de diplômes de géologues de l'Université de Lausanne sur les Préalpes Médianes, de E. Gagnebin et de M. Burri sur le Quaternaire. L'étude hydrogéologique et hydrochimique du bassin versant de l'Ugine et du plateau de Thollon complétant l'étude géologique nous permettra de connaître les possibilités aquifères des différents terrains.; pas de résumé

Cette étude couvre deux domaines sédimentaires l'un rattaché au massif cristallin de Belledonne l'autre à celui du Mont Blanc. Ce dernier est le prolongement méridonal des unités helvétiques et en particulier la nappe de Morcles . Cette dernière est la couverture du massif cristallin du mont Blanc., tout du moins en partie .; pas de résumé

Cette thèse présente après une introduction génèrale, trois parties principales: une étude sédimentologique, une étude géochimique et une partie consacrée à la reconstitution des milieux et des taux de sédimentation, de la subsidence, de la profondeur et de la morphologie du fond marin et donc de la paléogéographie du domaine briançonnais. les deux derniers chapitres traitent, l'un, de l'évolution du domaine briançonnais dans le cadre des évènements ayant affecté la téthys occidentale et l'Atlantique central, et l'autre, de deux modèles de sédimentation qui ont semblé s'imposer à l'issue de l'étude., pas de résumé

A review is presented of recent progress in knowledge of the Ordovician of the Armorican Massif. Attention is drawn to the confusion that has resulted from indiscriminate use of lithological units which have previously been considered as chronostratigraphical units. In order to avoid confusion, the use of formations is introduced with the intention of translating local successions into lithostratigraphical terms. The lithological successions and the faunas collected are outlined to provide a clear statement of the degree of correlation at present possible between successions in different areas of the Massif Armoricain, with comments on elements of ambiguity that still remain. The results are expressed in thirteen representative columns and a correlation chart. Following the regional studies, a comprehensive picture (excluding the southern area) is proposed, outlining the development of the Ordovician transgression; the main features of sediments which are of shallow-water type and comprise sandstones, siltstones, mudstones and shales, limestones being almost entirely absent; and the elements of uncertainty within the upper part of the sequence (in relation to the problem of the Ordovician-Silurian boundary) due to the fact that typical Ashgill faunas are not known and that no diagnostic basal Llandovery fossils have been found. Correlations with Ordovician successions outside the area are considered. Correlations with the British Isles involve considerable difficulties on account of the poorness of Ordovician graptolite faunas in the Massif Armoricain. Shelly faunal relationships between the Massif Armoricain and other areas in the 'Mediterranean Province' (Tethyan region), which have been demonstrated in previous studies, are more or less confirmed. Thus intra-Mediterranean Province correlations seem to involve fewer difficulties, but a progressive approach to these questions remains necessary, beginning with the Iberian Peninsula which presents the nearest relationships with the Armorican area., Les récents progrès concernant la connaissance de l'Ordovicien du Massif Armoricain sont présentés. L'attention est attirée sur les regrettables identifications qui furent souvent faites des unités lithologiques et des unités chronostratigraphiques. Une remise en ordre est effectuée dans cette nomenclature. Les résultats sont exprimés sur treize colonnes stratigraphiques et un tableau de corrélations. A l'issue des analyses régionales, une vue synthétique précise le développement de la transgression ordovicienne, souligne le caractère peu profond des dépôts, surtout détritiques, les calcaires étant presque entièrement absents et indique les éléments d'incertitude qui subsistent à la partie supérieure de la séquence (problème de la limite Ordovicien-Silurien), les faunes typiques de l'Ashgill étant inconnues et les fossiles caractéristiques du Llandovery basal n'ayant pas été trouvés. Les corrélations avec l'Ordovicien des autres régions sont examinées. La pauvreté des faunes de Graptolithes rend difficiles les comparaisons avec la Grande-Bretagne. Dans le cadre de la 'province méditerranéenne'; les corrélations sont moins malaisées mais elles nécessitent un effort d'approche progressive en commençant par la péninsule ibérique qui offre les affinités les plus étroites avec le domaine armoricain.

This thesis deals with stratigraphical, petrographical and structural problems in the region covered by Khorrambad geologicla quadrangle ( Zagros, western Iran) . This region includes two geologically distinct areas , separated by a zone of major tectonics accidents.; Cette thèse traite des problèmes stratigraphiques, pétrographiques et structuraux posés par la région couverte par la feuille géologique de Khorramabad (Zagros, Iran occidentale). Cette région est divisée en deux domaines qui différent par une grande partie de leur histoire géologique et qui sont séparés par une zone d'accidents tectoniques majeurs. Le domaine sédimentaire : Il constitue les montagnes du Zagros et couvre la moitié sud ouest de la feuille ; il appartient à la plaque arabe. On a pu y distinguer également deux zones : - Le Zagros externe (partie sud ouest) montre de puissantes séries de Sédiments à caractère peu profond, sans discordance depuis le Paléozoïque (atteint par forages)) jusqu'au pliocène. - la Crushed zone (partie nord est) a des séries continentales ou de plateforme sans discordance depuis le Cambrien jusqu'au Crétacé supérieur. Le domaine métamorphique : Il couvre toute la partie nord est de la feuille et appartient à la plaque iranienne.

Tectonic and stratigraphic study of the Vallone dell'Arma area first leads to refinement of both the definition and the structure of the several Briançonnais and Subbrlançonnais units. Coordination of the various units, notably through comparison of their stratigraphic successions, allows a consistent schema of paleogeographic set-up to be proposed. Analysis of the practically continous passage between Briançonnais and Subbriançonnais shows that the boundary between these two domains is clearly marked by a zone where Mesozoic erosions were especialy important not by a continous transition. This zone is further characterized by an abondance of paleotectonic indices.; L'étude tectonique et stratigraphique de la région du Vallone den'Arma, conduit d'abord à préciser la définition et la structure des diverses Unités briançonnaises et subbriançonnaiscs. La coordination des différentes unités, notamment sur la base de la comparaison de leurs successions stratigraphiques permet de proposer un schéma d'organisation paléogéographique cohérent. L'analyse du passage quasi continu, entre Briançonnais et Subbriançonnais révèle que la limite entre ces deux domaines est marquée, non par une transition progressive, mais par une zone où les érosions mésozoïques ont été particulièrement importantes. Cette zone se caractérise en outre par l'abondance des indices de paléotectonique.

Au cours de ce travail, nous avons étudié, dans les chaînes subalpines méridionales françaises, la structure de quelques diapirs de matériel triasique et de leur encaissant, afin d'interpréter l'histoire et le mécanisme de leur mise en place. Le phénomène diapirique n'a pas fait l'objet, jusqu'à présent,(1975) d'une étude systématique. Les quelques descriptions utilisables sont toujours celles de structures locales . Il est difficile d'en dégager d'autres principes généraux que ceux qui figurent dans les traités classiques de géologie . Sous le terme de diapir, nous désignons, ici, toute masse de Trias plus ou moins riche en évaporites qui s'élève vers la surface et peut venir à l'affleurement, soit dans le coeur d'un anticlinal plus ou moins disloqué, soit à la faveur d'un carrefour de failles, soit même dans un plan de faille travaillant à la distension. Dans le premier cas, on parlera de pli-diapir, dans les autres de diapir tout court. De toute façon, la disposition est très différente de celle des "dômes de sel" que l'on observe dans les grands bassins sédimentaires tranquilles contenant des couches de sel. Dans le cas présent, la mécanique de la mise en place de ces masses diapir pose un problème encore imparfaitement résolu, car elle peut se faire suivant deux façons qu'il n'est pas facile de distinguer. 1) La montée du diapir se fait au moment d'une phase de compression, un peu comme de la pâte dentifrice qui sortirait d'un tube quand on le presse. Il est probable que c'est le cas quand on a à faire à un véritable pli-diapir, c'est-à-dire lorsque la masse triasique affleure au coeur d'un anticlinal. 2) La montée de la masse triasique se fait au moment d'une phase de distension, quand les failles peuvent s'ouvrir, la montée étant due alors à la faible densité des évaporites et à la pression lithostatique des terrains encaissants. La difficulté de démontrer ce dernier mode de mise en place est que de telles masses ont été souvent comprimées dans des phases de resserrement tardives. Nous verrons, dans la conclusion de ce travail, si l'on peut conclure dans un sens ou dans l'autre à propos des divers exemples étudiés . Ont été étudiés ceux de Suzette (Vaucluse), de Propiac-Condorcet (Drôme), du Laus (Hautes-Alpes) et de Gévaudan (Alpes-de-Haute-Provence). Nous nous sommes limités aux cas où le contexte géologique permet grâce à la présence de terrains tertiaires, une certaine analyse du processus de mise en place. Certains diapirs, comme ceux de la région de Laragne, que nous avons cependant visités ne seront pas décrits faute des éléments nécessaires à leur étude chronologique. Les masses triasiques extravasées sont partout faites d'un mélange de gypse et de cargneules, d'argile, de dolomies et d'un matériau calcaire concrétionné que nous appelerons, au moins provisoirement, de la "croûte calcaire". La mise en place de cet ensemble s'est faite en général en plusieurs stades au cours du Tertiaire. Tous ces diapirs différent des dômes de sel classiques évoqués précédemment - Tout d'abord, par leurs dimensions qui sont beaucoup plus petites (par endroit guère plus d'une dizaine de mètres de largeur) ; par leur forme aussi, en général très irrégulière, parfois réduite à une simple lame. - D'autre part, par le fait que leur mise en place est liée à la tectonique alpine et se fait à la faveur de phases de compressions, ou, inversement, dans des plans de failles plus ou moins ouverts à certaines époques. A Suzette, à Propiac-Condorcet, à Gévaudan, ces failles d'extension appartiennent au cortège d'un décrochement ou représentent le plan de décrochement lui-même; et le Trias remonte de la base de la couverture sédimentaire subalpine . Au Laus, au contraire, le Trias évaporitique originel jalonne un grand plan de chevauchement qu'il lubrifie, le chevauchement de Remollon). Cest donc déjà un Trias extravasé. La remontée du diapir lui-même est due à un bombement anticlinal tardif, associé à un système de failles de distension lié au bombement du dôme de Remollon. Dans tous les cas, le matériel triasique est profondément disloqué et il est impossible, non seulement d'en établir la série stratigraphique, mais aussi d'y reconnaître une architecture cohérente. 1975; Pas de résumé

La région étudiée est un fragment du bassin molassique périalpin cénozoique. Dans le bas Dauphiné affleurent uniquement des terrains néogènes et quaternaires. Le Miocène et le Pliocène sont étudiés.; Pas de résumé

L'étude sédimentologique, stratigraphique et paléostructurale de la série liasique constituant la couverture des massifs cristallins externes(La Mure Beaumont) a permis de préciser les modalités d'évolution d'un secteur de la paléomarge de la Téthys jurassique. L'étude sédimentologique a entrainé la distinction de plusieurs ensembles de faciés caractérisant trois types de milieux de dépôt : faciés de bassin, bathyaux ou circalittoraux, faciés de talus et faciés de plate-forme. Du matériel issu de la plate-forme peut également se retrouver resédimenté dans des milieux plus profonds (turbidites et coulées boueuses). La sédimentologie des calcaires à entroques a été détaillée. Les déterminations génériques et les variations de taille des organismes ont conduit à la mise en évidence d'oscillations de la profondeur des milieux de dépôt au cours du Lias. L'analyse séquentielle montre l'existence de trois horizons de discontinuité majeurs: deux d'entre eux correspondent à de brusques approfondissements (Hettangien-Sinémurien ; Toarcien moyen-Toarcien supérieur) la signification du dernier, qui est souligné par le passage de séries à turbidites à des séries à coulées boueuses et se situe au Carixien supérieur-Domérien reste conjecturale. L'étude stratigraphique des séries liasiques réduites de La Mure et des séries épaisses du Beaumont a permis de préciser certaines datations,notamment celles de la formation des calcaires de Laffrey. Un découpage en grandes unités lithologiques a été effectué dans les deux types de séries. La confrontation de l'étude sédimentologique et de l'étude stratigraphique permet de proposer des corrélations sur des bases nouvelles entre les deux types de séries. L'étude paléostructurale a permis de mettre en évidence deux phases tectoniques majeures (la première à la limite Hettangien-Sinémurien, la seconde doméro-toarcienne), toujours suivies par un approfondissement brusque des milieux de dépôt, phénoméne d'origine tectonique et/ou eustatique. Des phases de moindre ampleur s'observent également et sont enregistrées dans les sédiments de diverses manières: basculement du substratum, sédiments bioclastiques remaniés gravitairement, présence de galets de matériel crntallophyllien. Paléogéographie et paléotectonique L'évolution de la Téthys jurassique, désormais classique dans les Alpes Occidentales, a donc pu être précisée pour ce secteur de la marge: Au Trias : dépôt de carbonates de plate-forme, à rares invasions marines A l'Hettangien inférieur : apparition de failles à faible rejet suivie d'un approfondissement modéré des milieux de dépôt. De l'Hettangien supérieur au Toarcien inférieur : existence de deux périodes de crise tectonique encadrant une période de calme relatif;qui conduisent à une accentuation du rejet de certaines failles et à l'individualisation de blocs basculés plurikilométriques, limitant des zones hautes à entroques et des milieux plus profonds à micrites et coulées turbides. Au Toarcien moyen : uniformisation des faciés argileux, qui scellent les structures antérieures.; pas de résumé

Les caractères géodynamiques essentiels de cette zone sont les suivants -mouvements antépermiens plus prononcés que dans la zone suivante -mouvements antépermiens plus prononcés que dans la zone de l'Iran Central. métamorphisme paléocimmérien intrusion de granitoldes au Jurassique supérieur et au Tertiaire métamorphisme laramien présence d'un flysch, crétacé, éocène et miocène, surtout développé dans la régiode Sanandaj et de Shiraz. Peu de volcanisme tertiaire et plio-pleistocène. Formations tertiaires généralement peu importantes On voit donc que ce qui caractérise essentiellement la zone de Sanandaj Sirjan est le contrôle des différents évènements géologiques (sédimentation, plissement, métamorphisme, volcanisme, magmatisme) par le jeu réciproque de blocs cratonisés et des rifts subsidents associés. Les structures sont parallèles à la dislocation majeure du Zagros devenue ultérieurement la "Main Thrust" et doivent donc relever du même mécanisme. Cette zone de Sanandaj - Sirjan est en somme la bordure SW de la plateforme de l'Iran Central fragilisée par l'approche de l'ancien domaine probablement océanique du Zagros Nord, c'est-à-dire une "marge continentale" caractérisée par son cortège de phénomènes distensifs, par une croûte probablement amincie et de ce fait plus perméable aux actions métamorphiques et volcaniques. En dehors du déchiffrage des séries statigraphiques jusqu'alors mal connues, j'ai pu mettre en évidence * - l'existence'd'un socle précambrien prolongeant celui de la chaîne de Soltanieh - l'existence d'une bande de terrains métamorphiques allant du Trias supérieur au Crétacé, située au Sud de l'agglomération d'Avaj (zone de Razan) - alors que la même série n'est pas transformée au Nord de cette ville, dans la zone d'Ab-e-Garm. - l'existence d'une cicatrice de roches volcaniques coïncidant plus ou moins avec la limite des deux zones précédentes. Importance paléogéographique d'un accident que j'ai appelé faille d'Avaj. Ce sont,là les différents points qui commandent la géologie de ce secteur Nous terminerons sur des conclusions plus générales faisant intervenir les unités structurales situées au SW de cette région et qui feront ressortir l'intérêt de cette "marge continentale" dont l'évolution peut maintenant être bien précisée depuis l'Infracambrien, ce qui est exceptionnel.-; pas de résumé

Vol. 1 : Stratigraphie. Vol. 2 : Sédimentologie et paléogéographie. Vol. 3 (écrit en commun avec Annie Arnaud-Vanneau) : Atlas des microfaciès et de la microfaune de la plate-forme urgonienne entre la Chartreuse et le Dévoluy Géologie alpine. Mémoire.- 1981, n° 12; Entre la plate-forme urgonienne et la bordure septentrionale du bassin vocontien, les assises barrémo-bédouliennes du Vercors, de la zone de Borne et du Dévoluy sont caractérisées par des variations constantes d'épaisseur et de faciès dues à une évolution paléogéographique complexe. L'étude stratigraphique est basée sur la répartition des Orbitolinidés et des Ammonites d'une part, sur l'analyse séquentielle d'autre part. Du point de vue paléontologique, les associations d 'Ammoni tes, plus riches en grandes espèces circalittorales que les successions pélagiques de la coupe stratotypique d'Angles, de même que les Orbitolinidés representés par 43 espèces, permettent de définir trois périodes de stabilité de faune (Barrémien inférieur, Barrémien supérieur, Bédoulien) séparées par trois périodes de renouvellement de durée apparemment plus courte (Bil, Bi6 sommital-Bs1, BsAi-Ai1 basal). Les périodes de stabilité du Barrémien inférieur et du Barrémien supérieur ont été elles-mêmes subdivisées en deux niveaux grâce à l'examen du degré d'évolution des Orbitolinidés et du contenu spécifique des associations tant d'Orbitolinidés que d'Ammonites. Du point de vue séquentiel, la succession Hauterivien terminal - Bédoulien inférieur a été découpée dans toute cette région en 38 séquences de deuxième ordre regroupées en 13 séquences de troisième ordre (= membres) et quatre mégaséquences. Ces dernières permettent la définition de trois formations carbonatées superposées : les calcaires bioclastiques de Borne,* les calcaires à débris de Glandasse et les calcaires urgoniens. L'étude sédimentologique aboutit à la mise en évidence de deux modèles de sédimentation carbonatée - haut-fond et plate-forme - ainsi qu'à la description des remaniements synsédimentaires sur la bordure du bassin vocontien. Les hauts-fonds, de surface restreinte, sont caractérisés par une sédimentation bioclastique et oolitique de milieux marins modérément à fortement agités, non confinés, appartenant au moins à l'étage infralittoral (hauts-fonds du Trièves et du Vercors méridional entre l'Hauterivien terminal et le Barrémien supérieur basal). La plate-forme, d'une superficie souvent très importante, se distingue du haut-fond par la présence d'un domaine interne généralement très développé, caractérisé par des milieux temporairement émergés (médio- à supralittoral) ou marins peu profonds (médio- à infralittoral), mais toujours parfaitement protégés et fréquemment confinés (plate-forme urgonienne au Barrémien supérieur et au Bédoulien inférieur). Dans les deux cas les faciès à Cnidaires peu développés ne constituent pas de barrière morphologique entre le domaine interne et le talus externe. Les remaniements gravitaires affectent principalement les faciès bioclastiques du talus externe des hauts-fonds ou de la plate-forme urgonienne. Resédimentés dans le bassin vocontien, ils correspondent principalement à des coulées sableuses dans lesquelles se distinguent des séquences proximales d'épaisseur plurimétrique et des séquences distales décilnétriques, semblables à des turbidites. Plus rarement s'observent des coulées boueuses dans lesquelles le mélange vase autochtone-sable allochtone est complet. L'importance croissante de ces remaniements synsédimentaires entre la base et le sommet de chaque membre et, surtout, de chaque mégaséquence paraît indépendante de la mobilité du socle et témoigne d'une instabilité croissante des dépôts bioclastiques sur le talus externe pendant les périodes de progradation des faciès de plate-forme. L'étude paléogéographique a permis de détailler les trois grandes étapes de l'évolution de ce secteur entre le sommet de l'Hauterivien et l'Aptien. De l'Hauterivien terminal au Barrémien basal (membres HsBi-Bi1, sommet de la mégaséquence 5) les coulées sableuses constitutives des calcaires bioclastiques de Borne proviennent d'un haut-fond, apparu et développé à cette époque dans le Trièves méridional le long de la faille de Menée (haut-fond du Trièves), mais dont on ne connaît pas les caractères sédimentologiques en raison de l'érosion des assises correspondantes. Du Barrémien basal au Barrémien supérieur basal (membres Bi2-Bs1, mégaséquence 6) le Vercors méridional est caractérisé, au voisinage de la faille de Menée et sur la bordure septentrionale du bassin vocontien, par l'apparition, puis le développement du haut-fond du Vercors méridional. Outre les faciès bioclastiques qui dominent, ce haut-fond est caractérisé par l'importance des faciès oolitiques et l'existence de nombreuses petites bioconstructions à Cnidaires. La progradation des faciès, faible vers le SE, est au contraire très importante vers le NW. Du Barrémien supérieur au Bédoulien (membres Bs2-Ai2, mégaséquences 7 et 8) la superficie couverte par la sédimentation carbonatée s'accroît considérablement tandis que les faciès se différencient. Les faciès à Rudistes qui étaient absents sur les hauts-fonds, caractérisent le domaine interne de la plateforme. Développée d'abord à partir du haut-fond du Vercors méridional,la plateforme urgonienne englobe rapidement d'autre hauts-fonds apparus à cette époque plus au Nord en bordure de la basse Isère et enfin s'anastomose aux platesformes voisines pour constituer une vaste plate-forme urgonienne péri-vocontienne. Cette évolution est perturbée au début du Bédoulien par des arrivées massives de matériel terrigène, responsables de l'individualisation d'une sédimentation localement détritique (marnes inférieures à Orbitolines). Une deuxième perturbation, beaucoup plus importante (transgression du Bédoulien terminal , interrompt définitivement cette évolution de la sédimentation carbonatée. D'un point de vue plus général, deux types de passages latéraux ou verticaux de faciès ont été reconnus entre le domaine interne de la plate-forme (ou le sommet des hauts-fonds) et le talus externe : - à l'Est et au SE le premier est caractérisé par la prépondérance des faciès bioclastiques grossiers et l'absence généralisée des bioconstructions à Cnidaires conservées (secteur "au vent" situé face à la houle mésogéenne) ; - au Sud, le second est caractérisé par l'importance des bioconstructions à Cnidaires, la prépondérance des faciès bioclastiques fins et la rareté des faciès bioclastiques grossiers (secteur relativement protégé, situé "sous le vent"). L'étude paléostructurale a montré que deux grands accidents NE-SW paraissent avoir fonctionné à cette époque: les failles de l'Isère au NW et de Menée au SE. Traduite par l'effondrement de leurs compartiments SE et la stabilité ou la surrection de leur compartiment NW, cette mobilité tectonique paraît responsable : - de la création des hauts-fonds du Trièves et du Vercors méridional à l'Hauterivien terminal et au Barrémien basal; - de l'inversion régionale des vitesses de subsidence au début du Barrémien supérieur (crise du Barrémien supérieur basal), phénomène ayant permis le développement de la plate-forme urgonienne ; - de l'effacement progressif de la sédimentation carbonatée dans le Vercors SE entre le Barrémien supérieur et l'Aptien terminal. La coïncidence des paroxysmes relatifs de la mobilité du socle, des limites des mégaséquences et des périodes de renouvellement des faunes d'Orbitolinidés et d'Ammonites n'est probablement. pas un effet du hasard. Il semble qu'elle soit due à l'influence d'événements géologiques majeurs agissant sur la sédimentation et les peuplements de la plate-forme urgonienne et de la bordure nord-vocontienne. Ces derniers pourraient appartenir à deux catégories : - des événements atectoniques, d'origine eustatique, tel que la transgression du Bédoulien terminal responsable des lacunes finibédouliennes du Vercors, du développement des faciès urgoniens dans les Pyrénées et surtout de la disparition des faciès à Rudistes sur les plates-formes urgoniennes du SE de la France ; - des événements tectoniques, locaux ou régionaux, échos possibles des vicissitudes de l'expansion océanique dans l'Atlantique (crises de la limite Hauterivien - Barrémien, du Barrémien supérieur basal, de la limite BS3-BsAi).; pas de résumé

Ce travail est consacré à l'étude des caractères sédimentologiques de la série du Crétacé inférieur de la zone subalpine méridionale, dans le domaine voconcien, en vue de la reconstitution paléogéographique du bassin à cette époque.; Pas de résumé

228 p.; no abstract; Ce travail, commencé en 1972, avait primitivement pourobjet l'étude des Foraminifères planctoniques néogènes provenantdes sédirnents meubles prélevés par carottages et dragages sur leplateau continental nord-espagnol (campaenes 11JOB-HA-ZELIAN11et "THALA3SA'', 1969 à 1972). Son but était de préciser la stratigraphiede cette région et la chronologie den événements qui s'ysont déroulés depuis le Miocène.

No abstract, Pas de résumé

Cette étude sur les différentes formations sédimentaires de la région a permis de montrer l'existence d'une opposition fondamentale entre le domaine des Aiguilles Rouges à série sédimentaire réduite (sur le massif de Pormenaz), et le domaine de Platé à sédimentation épaisse pratiquement continue depuis les schistes liasiques jusqu'au Crétacé supérieur inclus; ces deux domaines sont actuellement juxtaposés et leur contact est visible dans le ravin du Souay. Ces deux unités paléogéographiques seront traitées séparément : la série de Pormenaz (domaine des Aiguilles Rouges), et le domaine de Platé .; Pas de résumé

228 p.; no abstract; Ce travail, commencé en 1972, avait primitivement pourobjet l'étude des Foraminifères planctoniques néogènes provenantdes sédirnents meubles prélevés par carottages et dragages sur leplateau continental nord-espagnol (campaenes 11JOB-HA-ZELIAN11et "THALA3SA'', 1969 à 1972). Son but était de préciser la stratigraphiede cette région et la chronologie den événements qui s'ysont déroulés depuis le Miocène.

National audience

No abstract; Pas de résumé

National audience

National audience

Pas de résumé

Ce travail étudie les nappes de l'Embrunais entre Durance et Drac sous l'aspect stratigraphique et tectonique ., pas de résumé

Cette étude aborde la stratigraphie, la tectonique des zones du Briançonnais et du subbriançonnais autour du Monétier., pas de résumé

Cette thése concerne une partie de l'Unité de Moutiers et se place dans un contexte plus vaste de la zone des Brèches de Tarentaise. L'unite du Roignais-Versoyen et une partie de l'unité de Salins sont aussi étudiés.; pas de résumé

Etude stratigraphique et tectonique de la vallée intérieure du massif de la Chartreuse : Guiers Vif ., pas de résumé

Ce travail concerne le massif tertiaire de Chaillol dans la haute vallée du Drac au NE de Gap. Ce massif est constitué par la couverture secondaire et tertiaire du massif du Pelvoux et est surmonté par les écailles ultradauphinoises de Soleil Boeuf., pas de résumé

pas de résumé

Ce travail rassemble les données sur la géologie, la stratigraphie,la structure, la tectonique des formations entre les vallées de l'Arc et de l'Isère. Sont présents dans ce document : Carte structurale détaillée des zones ultradauphinoises et subbriançonnaise entre l'Arc et l'Isère, carte structurale schématique des zones ultradauphinoises et subbriançonnaise entre le Pelvoux et le Mont-Blanc, Schémas des corrélations entre les zones de faciès, Coupes en série des zones ultradauphinoise et subbriançonnaise entre l'Arc et l'Isère, Blocs-diagrammes très schématiques montrant les différentes phases de la mise en place des nappes (Tarentaise et klippes de Savoie), pas de résumé

Ce travail concerne les variations de faciés du Crétacé du Mont Ventoux, des Baronnies et du massif de Suzette. La stratigraphie, la tectonique , la paléogeographie et l'histoire géologique de cette région ( Mont Ventoux) sont étudiées, pas de résumé

Indices minéralisés de la rive gauche de l'Arve et de la vallée du Bon Nant; pas de résumé

Ce travail contribue à l'étude stratigraphique , tectonique et hydrogéologique de l'anticlinal de Bouvante ., pas de résumé

Ce travail hydrogeologique est consacré à une zone représentative d'un versant de montagne : chaine de Belledonne ., Pas de résumé

Ce travail concerne la couverture sédimentaire des massifs cristallins externes . Le Beaumont fait partie de la zone dauphinoise et est à proximité immédiate du point de courbure maximale de l' arc alpin. Il prolonge au sud-est l'alignement Mont Blanc/ Dôme de la Mure et est au sud ouest du Pelvoux et se trouve dans le prolongement de la bande liasique Col du Glandon/col d'Ornon et grandes Rousses., pas de résumé

pas de résumé

The surveyed region is located at the western branch of the Castellane arc, which is part of the southern subalpine chains. Located exactly between the Tertiary Barrême and Majastres synclines, it is characterized by a group of North-South, right-handed, transcurrent faults which more or less obliquely act upon a group of N-S to NW-SE. preexisting folds and scales. This strongly deformed zone coincides whith an area of lesser sedimentation during Jurassic times, which corresponds to the transition between the "provençal", and the "dauphinois" (sensu lato), paleogeographie areas. The part played by structural discontinuities in the localization of the transcurrent faults is brought out; the latter alignment closely fit an area characterized by (1) thinner series (for paleogeographie reasons) ; and (2) pre-existing closed anticlines, which have been eroded as far down as gypsum-bearing tri~ssic formations. As far as these former zones of probable weakness have predetermined the position of the transcurrent faults and guided their displacements, a clear picture of the stresses which gave birth to these transcurrent faults cannot be drawn from the latter's directions. As the analytical method employed does not solve the problem, its limitations should be emphasized.; La région étudiée est située dans la branche occidentale de l'arc de Castellane, qui fait partie des chaines subalpines méridionales. Située exactement entre les synclinaux de Tertiaire de Barrême et de Majastres, elle est caractérisée par un faisceau de décrochements dextres de direction N-5 traversant plus ou moins obliquement un ensemble de plis et d'écailles préexistants, de direction N-S ou NW-SE. Cette zone intensément déformée coïncide avec un domaine de sédimentation réduite au Jurassique qui correspond au passage entre les domaines paléogéographiques "provençal" (à l'Ouest) et dauphinois sensu lato (à l'Est). On met ainsi en évidence le rôle des discontinuités structurales dans la localisation des décrochements, leur emplacement coïncidant remarquablement avec un domaine où, d'une part, les séries sont réduites pour des raisons d'origine paléogéographique, et, d'autre part, où préexistent des anticlinaux serrés, érodés jusqu'au Trias gypseux. Dans la mesure où l'on peut considérer que ces anciennes zones de faiblesse probable ont prédéterminé l'emplacement des décrochements et guidé leurs déplacements, il n'est plus possible de déduire des directions de ces décrochements une idée précise des contraintes qui les ont engendrés; c'est dire que la méthode d'analyse employée laisse le problème entier; il est par conséquent essentiel de montrer ses limites d'application.

Cette étude concerne les régions des Monts de Judée, d'Artuf, vallée d'Ayalon; Gezer; plaine maritime. La stratigraphie, et tectonique sont abpordées., pas de résumé

pas de résumé

Au départ, notre étude ne devait porter que sur les formations sédimentaires, mais nous avons dû l'élargir à la tectonique des massifs cristallins qui commande en partie celle de la couverture . Celle-ci, d 'un point de vue géographique et structural, peut être subdivisée en deux parties : - le "synclinal liasique d ' Allemont " entre Belledonne et les Grandes Rousses ; - le placage sédimentaire d'Auris , conservé grâce à l'ensellement du substratum entre les Grandes Rousses et l ' extrémité NW du massif du Pelvoux . A l 'échelle des Alpes, l'ensemble est reconnu depuis longtemps conme faisant partie intégrale de la zone dauphinoise ., pas de résumé

pas de résumé

Cette étude concerne les structures géologiques entre l'Ubaye et l'Embrunais. Il trouve sa place dans les études importantes menéees alors sur les Alpes françaises au niveau : stratigraphique, tectonique, régionale et théorique., pas de résumé

Chambéry : Impr. génerale savoisienne, 1911-1913 : 2 vol. (VIII-626 p., 304 p.-[9] f. de pl.) : ill. ; 25 cm; Pas de résumé

Ce travail s'attache à la description de la stratigraphie et de la structure tectonique des zones subbriançonnaise et briançonnaise externe entre Briançon et Guillestre(Hautes Alpes). Dans la seconde partie, plusieurs unités sont individualisées dont l'une avec Lias, cas assez rare qui montre une paléogéographie plus complexe qu'on ne le pensait. Le problème de l'émersion jurassique du géanticlinal briançonnais est discuté. Sur le plan tectonique, outre le détail de la structure en nappes, découverte d'une grande faille déterminant le cours de la Durance entre l'Argentière et Réotier. Elle joue à la fois en décrochement sénestre et en faille normale lée au soulèvement récent du Pelvoux., pas de résumé