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A simple and rapid analytical approach was developed that can be used to investigate the anionic surfactant-induced toxicity associated with the primary effluent from the Lions Gate wastewater treatment plant (North Vancouver, BC). Using this approach, the effluent was characterized on two occasions in terms of anionic surfactant concentration and anionic surfactant-induced toxicity. The results suggest that the concentration of anionic surfactants, measured as methylene blue active substances (MBAS), in the primary effluent increased throughout each day and was highest at night (11:30 p.m.). The toxicity, measured using Vibrio fischeri bioassays (i.e., MicroTox™), also increased throughout each day and was the highest at night. The high molecular weight fraction of anionic surfactants was identified as the most toxic fraction although it was present at the lowest concentration. The results of the present study suggest that the concentration of the high molecular weight fraction of anionic surfactants could be used as a good surrogate to easily and rapidly quanitfy the anionic surfactant-induced toxicity of the primary effluent. Une méthode analytique simple et rapide a été développée pour être utilisée dans l’étude de la toxicité causée par des agents de surface anioniques et associée à l’effluent primaire de l’usine de traitement des eaux usées Lions Gate (North Vancouver, C.-B.). À deux reprises et en utilisant cette approche, l’effluent a été caractérisé en termes de concentration en agent de surface anionique et en toxicité causée par les agents de surface anionique. Les résultats suggèrent que dans l'effluent primaire la concentration en agents de surface anioniques, mesurée sous forme de substances qui réagissent au bleu de méthylène, ait augmenté au cours de chaque jour et atteignait sa concentration maximale la nuit (23 h 30). La toxicité, mesurée en utilisant les essais biologiques Vibrio Fisheri (c.-à-d. MicroTox™), a également augmenté durant chaque jour et était la plus élevée la nuit. La fraction à masse moléculaire élevé des agents de surface ionique a été identifiée comme étant la fraction la plus toxique bien qu’elle ait été présente à la concentration la plus faible. Les résultats de la présente étude suggèrent que la concentration de la fraction à masse moléculaire élevée des agents de surface anioniques puissent être utilisés comme un bon substitut pour quantifier facilement et rapidement la toxicité causée par les agents de surface anionique dans l’effluent primaire. [ABSTRACT FROM AUTHOR]