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The objective of this book is to understand variation in political metaphor. Political metaphors are distinctive and important because they are used to achieve political goals: to persuade, to shape expectations, to realize specific objectives and actions. The analyses in the book go beyond the mere identification of conceptual metaphors in discourse to show how political metaphors function in the real world. It starts from the finding that the same conceptual domains are used to characterize politics, political entities and political issues. Yet, the specific metaphors used to describe these conceptual domains often change. This book explores some of the reasons for this variation, including features of political leaders (e.g., their age and gender), countries, and other sociopolitical circumstances. This perspective yields a better understanding of the role(s) of metaphors in political discourse.

Metaphors pervade discussions of critical issues, making up as much as 10-20% of natural discourse. Recent work has suggested that these conventional and systematic metaphors influence the way people reason about the issues they describe. For instance, Thibodeau & Boroditsky (2011, 2013) found that people were more likely to want to fight back against a crime beast by increasing the police force but more likely to want to diagnose and treat a crime virus through social reform. Here, we report two norming studies and two experiments that reveal a shift in the overall landscape of opinion on the topic of crime. Importantly, we find that the metaphors continue to have an influence on people’s reasoning about crime. Our results and analyses highlight the importance of up-to-date opinion norms and carefully controlled materials in metaphor research.

Certains métabolites des estrogènes sont impliqués dans la carcinogénèse et dans le développement d'une résistance au méthotrexate. Dans cette étude, nous avons déterminé la corrélation entre ces effets biologiques et l'efficacité relative des estrogènes à induire des cassures de brins de l'ADN. Les cassures de brins de l'ADN induits par les estrogènes étaient mesurés par la conversion de la forme surenroulée de l'ADN du bactériophage [Phi]X-174 en ses formes circulaire et linéaire. Les plus actifs étaient les dérivés 4-hydroxy, lesquels ont produit 2.5 fois plus de cassures doubles brins de l'ADN que les dérivés 2-hydroxy, alors que l'estradiol et le 16[alpha]-hydroxyestrone étaient inactifs. Nos résultats démontrent aussi que le 4-hydroxyestradiol (4-OHE[indice inférieur 2]) à des concentrations physiologiques était capable d'exhiber une activité de clivage. Il devient alors important de développer des stratégies afin de bloquer la production d'espèces réactives de l'oxygène par le cycle rédox des catécholestrogènes. De plus, notre étude a démontré que certains antioxydants pouvaient soit inhiber ou amplifier le niveau de cassures de brins de l'ADN induit par le catécholestrogène 4-OHE[indice inférieur 2] en présence de Cu(II). Le NADH et le N-acétylcystéine étaient capables d'amplifier le niveau de dommage produit par le système 4-OHE[indice inférieur 2]/Cu(II), alors que le GSH, DTT, et DHLA ont tous inhibé à différents degrés le niveau de dommage. D'autres antioxydants devront être évalués pour leurs habiletés à neutraliser les effets néfastes des catécholestrogènes. Nous proposons aussi, dans cette étude, un modèle mathématique afin de déterminer le nombre moyen de cassures de brins simples nécessaires à la conversion de la forme circulaire du plasmide en sa forme linéaire. En utilisant ce modèle, la quantification des trois formes de l'ADN du plasmide sur un gel d'agarose permet maintenant de déterminer le nombre moyen de cassures de brins requis pour chacune

Le phénotype d'instabilité du génome peut être amplifié chez les cellules tumorigènes par l'estradiol (E[indice inférieur 2]). Une série d'expériences a été mise au point permettant d'évaluer si le E[indice inférieur 2] et ses principaux métabolites 2-, 4- et 16 [alpha]-hydroxyestrone (-OHE [indice inférieur 1]) peuvent stimuler le développement d'une résistance au méthotrexate (MTX) chez la lignée cellulaire cancéreuse du sein MCF-7. Ces cellules ont été incubées avec les estrogènes pendant 12 générations cellulaires. Le 4-OHE[indice inférieur 1] et 16 [alpha]-OHE[indice inférieur 1] ont stimulé l'apparition de MCF-7 MTX-résistantes au niveau 88 fois augmenté par rapport au contrôle. Le 2-OHE[indice inférieur 1] démontrait un facteur d'amplification de 33 fois alors que le E[indice inférieur 2] n'a qu'un faible effet de 3.2 fois. Le développement d'une résistance au MTX peut impliquer le récepteur des estrogènes tel que détecté par la stimulation du gène pS2, un marqueur de l'activité ostrogénique, alors que les catécholestrogènes (2- et 4-OHE[indice inférieur 1) ne stimulent pas le pS2. Le niveau de l'antioxydant glutathion (GSH) a été mesuré chez le clone MTX-résistant induit par le 2-OHE[indice inférieur 1] et incubé de nouveau en présence du 2-OHE[indice inférieur 1]. Une induction du niveau du GSH de 2.07 fois a été obtenue. Une inhibition de la synthèse du GSH avec le buthionine sulfoximine conjugué à une exposition au 2-OHE[indice inférieur 1] a augmenté l'apparition d'une résistance au MTX de 427.8 fois, comparativement à 33 fois pour le 2-OHE[indice inférieur 1] seul. L'exposition aux estrogènes a aussi altéré le comportement d'un gène important pour la stabilité du génome, soit le gène suppresseur p53. En effet, le niveau basal du p53 était amplifié chez tous les clones MTX-résistants. Ce niveau était augmenté de 10 fois suivant l'addition du 2-OHE[indice inférieur 1], mais sans stimulation de p21."--Résumé abrégé par UMI.

Development of drug resistance is a major factor that limits the effectiveness of chemotherapy treatments. In this study, we determined whether estradiol or its metabolites 2-, 4- and 16[alpha]-hydroxyestrone could enhance the development of methotrexate resistance in the breast carcinoma cell line, MCF-7. Cells were incubated with the estrogens at a concentration of 10[superscript]–8 M for 12 cell doublings and enhancement of methotrexate resistance was measured with the Luria–Delbrück assay. The most efficient estrogens were the 4-hydroxyestrone and 16[alpha]-hydroxyestrone, which both stimulated methotrexate resistance by 88-fold as compared with the control without estrogen. 2-Hydroxyestrone had an enhancement factor of 33-fold, whereas estradiol showed a slight effect with an enhancement factor of 3.2- fold. To determine whether the estrogen receptor was involved in the development of resistance, expression of the pS2 gene, which contains an estrogen-responsive element, was measured. Both estradiol and 16[alpha]-hydroxyestrone stimulated expression of the pS2 gene. In contrast, 2- and 4-hydroxyestrone did not increase the level of pS2 mRNA. This suggests that tumors classified as estrogen receptor negative could also develop methotrexate resistance as the result of exposure to estrogens. The status of the tumor suppressor gene p53 was analyzed in methotrexate sensitive and resistant clones. In all the methotrexate resistant clones analyzed, the western blots indicated that the p53 protein was still present and transcriptionally competent, as measured by its capacity to stimulate transcription of the p21[superscript waf1/cip1] gene following UVB irradiation. However, the basal level of p53 was higher in resistant clones and addition of 2- or 4-hydroxyestrone increased p53 to levels equivalent to those observed following UVB irradiation. However, this induction of p53 accumulation by estrogens failed to stimulate the transcription of p21[superscript waf1/cip1], w