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L'assimilation photosynthétique des feuilles d'#Hevea brasiliensis$ se réduit en fonction de l'âge. Le taux de fixation de CO2 atteint sa valeur maximale 25-30 jours après débourrage des feuilles, se maintient à ce niveau 2-3 mois pour se réduire progressivement. Si durant cette période, un déficit hydrique de la plante se manifeste, son effet se répercute sur l'appareil photosynthétique de la feuille. Tout se passe comme si la feuille vieillissait prématurément. (Résumé d'auteur)

Les teneurs en bioéléments N, P, K, Ca, Mg, Na des différentes composantes de la biomasse épigée ainsi que les quantités de ces bioéléments rapportées à l'hectare ont été déterminées dans un champ de riz à la récolte et dans cinq recrûs forestiers de 14 mois, 26 mois, 4 ans, 6 ans 1/2, 15 ans. Les variations de teneurs au cours de la succession indiquent que la végétation concentre davantage les bioéléments au cours des tout premiers stades. Le calcium est, à tous les stades étudiés, l'élément prépondérant des tissus ligneux de #Macaranga hurifolia$ (espèce grégaire, dominante jusqu'au stade 6 ans 1/2). Le potassium, qui est à tous les stades l'élément le plus abondant des Marantacées et Zingibéracées, demeure jusqu'au stade 26 mois l'élément le plus important des tissus ligneux des espèces diverses. Le potassium avec 176 kg/ha est le bioélément le plus abondant de la biomasse jusqu'au stade 4 ans. Dès le stade 6 ans 1/2, le calcium avec 323 kg/ha dépasse les autres éléments. Au stade 15 ans, l'azote et le calcium avec des poids d'environ 460 kg/ha dominent les autres éléments, ils précèdent le potassium 274 kg/ha, le magnésium 84 kg/ha, le phosphore 21 kg/ha et le sodium 8,5 kg/ha. Les stocks de bioéléments des recrûs étudiés ont été comparés à ceux d'autres régions tropicales. La pauvreté des sols, une biomasse végétale relativement faible, expliquent le niveau peu élevé des stocks de bioéléments des recrûs de Taï. (Résumé d'auteur)

Age determination for #Diagramma pictum$, (n=102), were conducted using three methods. The two first methods are based on the counts of annuli on respectively whole otolith cross sections. The third method use the decrease of otolith daily growth increment (DGI) density with age. The growth curves found with the first two methods are comparable and similar to previous results. However, the analysis of life history traits such as size at first reproduction indicates that these methods are likely to underestimate growth. The use of DGI density yields a faster growth curve. To establish this curve the relationships liking fish size to otolith radius and DGI density to otolith radius are needed. The final growth curve is particularly sensitive to changes in these previous relationships. For this reason all sizes should be well represented in the sample. This method is not recommended for fish with large seasonal growth variations but could produce good DGI measurements for those species which have only a small zone of readible otolith. (Résumé d'auteur)

Ecological surveys were carried out to assess the population characteristics and epidemiological importance of Glossina palpalis palpalis (Rob-Desv.), 1830 in the human trypanosomiasis focus of Vavoua in the forest zone of Ivory Coast. G. p. palpalis was widespread in all components of the ecosystem: forest, interstitial savannahs, coffee plantations, tracks and villages. Most flies were caught at the forest edge. Sex ratio and age composition of populations varied in relation to trapping sites. Open areas were dispersal places. Plantations provided resting, feeding and breeding sites giving rise to close man–fly contact. Here, teneral flies could become infected and later on transmit trypanosomes to plantation workers and their families. The role of man and domestic pigs together with that of fly behaviour and genetic factors in the transmission of the disease are discussed. Methods of tsetse control are suggested in the light of the findings.