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This study aims to analyze what kind of political culture adopted the Castilian nobility of the fifteenth Century. First, will be analyzed the definitions of political culture that manage social scientists and historians. Second, are analyzed several historical studies on political culture and nobility in Castile, and the problems to understand the behaviors and values of the nobility in the Middle Ages. Thirdly, a different definition of political culture is proposed: the category of culture of politics, with ideas about governance and responsibility (idea of the common good). The Castilian nobility adopted this culture, and an analysis of discourse used by nobles on Seguro de Tordesillas (Conde de Haro, 1439) indicates the degree of politicization of the Castilian nobility.

En este artículo se analiza la carrera eclesiástica de dos clérigos, los hermanos Francisco Villalpando y Antonio García de Villalpando. Se estudia, asimismo, la influencia ejercida por sus familiares: su padre, Sancho García de Villalpando, contador mayor, oidor y consejero de la corte de Juan II; su tío, Ruy García de Villalpando, oidor de la audiencia real, y otros parientes que desempeñaron oficios de corte en la Casa de los reyes de la dinastía Trastámara, en Castilla y en Aragón. Se analizan, finalmente, los vínculos que dichos hermanos tuvieron con la alta nobleza (linaje de los Osorio y de los Velasco). Ambos clérigos —especialmente Antonio García de Villalpando, que era amigo del Cardenal Cisneros—, por su formación intelectual, su origen familiar y sus relaciones sociales, caracterizan un tipo de carrera eclesiástica.

Le panégyrique poétique et sa diffusion dans le cadre des célébrations et céremonies royales est un moyen privilégié pour divulguer la propagande des Rois Catholiques, Isabelle et Ferdinand, utilisés pour favoriser sa politique d'autoritarisme royale et d'expansion territorial. Dans cet article s'analise diverses compositions poétiques, de caractère panegyri­que et son rapport avec la propagande politique et son contexte de divulgation (propagande et «entrée royale», propagande et fête de cour, liturgie et propagande, propagande et noces royales, et, pour finir, la propagande de guerre).

Este trabajo tiene un doble objetivo. El primero, subrayar la conveniencia de adoptar la perspectiva conceptual de Reinhart Koselleck, y otras propuestas vinculadas a la semántica histórica, para estudiar las realidades políticas medievales. Tópicos historiográficos, como el de cultura política, pueden ser mejor entendidos guiándose por la perspectiva conceptual y sometiendo a crítica la propia noción de ‘política’, despojándola de los significados actuales. El segundo objetivo pretende la aproximación al concepto de ‘política’ en el siglo XII, a través de un recorrido por la adopción e impulso de la palabra ‘política’ en la cultura medieval y su uso por autores como Juan de Salisbury. Apoyaremos la tesis de la politización del poder en el siglo XII y de la formación de una cultura política paralela. Es el punto de partida para una mejor comprensión de los cambios institucionales en las relaciones de poder que se producirán durante los siglos XIII al XV.

El objetivo de esta investigación es fomentar y ensayar nuevos métodos de análisis de las fuentes medievales, mediante el empleo de los Corpus Textuales Informatizados. Hoy en día, la investigación lingüística en España puede considerarse pionera en el desarrollo de corpus textuales informatizados. Sólo el CORDE (Real Academia de la Lengua) permite la búsqueda simultánea de información sobre 12.865 obras y documentos de la época medieval. La historia medieval no puede ignorar el uso de estos recursos para conseguir un mayor apoyo empírico a la interpretación derivada de la formulación de hipótesis de la historia política o social. Nuestro objetivo es informar a la comunidad de medievalistas de los principales corpus textuales informatizados y sus aplicaciones básicas para la investigación histórica.

Parmi les paroles prononcées par les rois au cours de leur règne, il y a celles qui expriment l’engagement : serment, promesses, vœux et hommages… Ces engagements verbaux, en tant qu’actes de paroles, se chargent d’une importante signification politique lorsqu’un roi en est l’émetteur. En raison des conditions dans lesquelles elles sont prononcées, dans un contexte public et toujours politique, et de leur efficacité rituelle, ces paroles constituent un champ privilégié pour étudier les fonctions de la parole royale. Le présent article se veut être une première approche des « paroles d’engagement » prononcées par les rois castillans au cours du XVe siècle à partir de leur mention dans les chroniques, de leur rôle dans la construction d’une image royale, des contextes qui donnent lieu à l’expression de ce type de parole royale (serments institutionnels, promesses liées à la lutte politique…), du sens de la gamme linguistique sur laquelle joue un roi pour exprimer son engagement et de la place de cette dernière dans la construction de l’autorité royale.

Ce travail présente des réflexions générales sur le caractère de la cour trastamare, qui, n’a jamais perdu sa nature de cour itinérante. Cependant, il est nécessaire de se demander si à un moment, les rois trastamare élaborèrent le projet d’installer la cour dans une cité, qui fonctionnerait comme capitale. L’étude des itinéraires d’Henri III, Jean II et Henri IV montre une tendance à la limitation des déplacements. Certaines conditions (historiques, politiques, spatiales, économiques, administratives) qui poussaient la cour à se déplacer, ainsi que les circonstances (administratives, matérielles, spatiales, symboliques…) qui déterminaient la fixation de la cour dans un petit nombre de cités qui réunissaient toutes les conditions pour devenir une capitale. De ce point de vue, le cas le plus éminent, durant la période trastamare, peut être celui de la cité de Ségovie, notamment sous le règne d’Henri IV.

Cette communication s’articule autour de trois axes de réflexion. Le premier, lié au titre du colloque, Gouverner en Castille au Moyen Âge, tend à montrer que les cérémonies sont un moyen, un procédé, pour gouverner, et une manifestation (ou un effet) de ce gouvernement. Le deuxième axe de réflexion est fondé sur l’hypothèse que les chroniqueurs du XVe siècle ont conscience que les cérémonies sont de plus en plus employées par nombre de ceux qui les gouvernent comme un instrument politique. Le troisième présente une réflexion sur la perception particulière du comportement d’Isabelle la Catholique que semblent avoir les chroniqueurs dits de la « première génération », c’est-à-dire, les chroniqueurs du règne des Rois Catholiques. On se propose d’identifier cette perception particulière à partir de l’étude des cérémonies et des solennités de la monarchie, et de voir dans quelle mesure ces chroniqueurs ont pu conditionner la conception et la vision qu’ont les historiens modernes des pratiques cérémoniales de la royauté castillane et de l’image d’Isabelle la Catholique.

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Este estudio analiza el rumor como expresión de la comunicación política en la Castilla del siglo XV. En primer lugar, se perfilan ciertas precisiones conceptuales. El rumor es una forma de comunicación informal, extraoficial. En segundo lugar, se estudia la percepción del rumor en las mentalidades y en los discursos religiosos, morales, jurídicos, caballerescos, cortesanos... La percepción negativa en la época relaciona el rumor con formas conflictivas, desórdenes sociales, levantamientos, revueltas, tumultos. Se analiza la función del rumor, no su veracidad, las funciones políticas del rumor: su relación con los fenómenos de protesta, la influencia en la toma de decisiones políticas desde la autoridad. Se estudia también su papel en la formación de la memoria historiográfica, cronística. Finalmente, se investiga su relación con la propaganda y con la opinión pública.