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Supplemental Material for Do lifestyle factors influence pain prognosis? A 1-year follow-up study by Marc-Henri Louis, Anne Berquin and Arnaud Steyaert in British Journal of Pain

Introduction Bien que la littérature décrive plusieurs vignettes cliniques (associées à des questions) destinées à évaluer les attitudes/comportements des professionnels de la santé face à un patient souffrant de lombalgie, ces vignettes sont généralement incomplètes et n’abordent que peu, voire pas, les facteurs psychosociaux. De plus, celles-ci n’examinent pas l’adéquation entre la prise en charge préconisée et les recommandations récentes de la HAS [1] et l’itinéraire de soins proposés par le KCE [2]. Dès lors, les objectifs de cette étude étaient : 1) de développer 3 vignettes originales (patient fictif souffrant d’une lombalgie non spécifique aiguë, subaiguë/récurrente ou chronique) et un questionnaire (pouvant être utilisé avec chaque vignette) répondant aux limites des outils existants afin d’apprécier les attitudes de (futurs) professionnels de la santé ; 2) de mesurer les qualités psychométriques de base (effet plancher/plafond, validité et reproductibilité) de ce nouvel outil. Matériels et méthodes Une fois les 3 vignettes et le questionnaire (18 affirmations combinées à une échelle de degré d’accord de Likert) développés, deux groupes expérimentaux (un groupe d’experts et un groupe expérimental composé de professionnels de la santé diplômés et d’étudiants de dernière année (en kinésithérapie ou en médecine) ont été invités à compléter un questionnaire en ligne. Ils devaient, après avoir pris connaissance de chacune des 3 nouvelles vignettes cliniques, répondre au questionnaire (permettant l’obtention d’un score pour chaque vignette et d’un score global). Ils étaient également soumis à une vignette (et les questions qui y sont associées) fréquemment utilisée dans la littérature (Rainville et al., 2000). La validité de ce nouvel outil d’évaluation a été examinée, d’une part, en comparant les scores des groupes « experts » et « expérimental » et, d’autre part, en comparant les résultats obtenus à la vignette de Rainville et al. à ceux obtenus pour ces nouvelles vignettes. La reproductibilité test-retest a été évaluée en resoumettant le groupe expérimental au nouvel outil une à deux semaines plus tard. Résultats Après l’analyse des réponses des 8 « experts » recrutés, une des questions (sur la médication) a été retirée en raison de désaccords entre les réponses des experts. Cent onze participants ont été recrutés dans le groupe « expérimental ». L’analyse des scores aux questionnaires liés aux vignettes suggère : 1) l’absence d’effet plancher et plafond ; 2) une validité (scores significativement différents entre les 2 groupes et concordants avec les résultats à la vignette de Rainville et al.) ; une bonne reproductibilité (coefficient de corrélation intraclasse supérieure à 0,9 pour le score global et compris entre 0,83 et 0,91 pour chaque vignette). Discussion Ce nouvel outil autorisera l’identification des recommandations les moins suivies, la comparaison de différentes disciplines médicales et l’évaluation des effets de formations destinées à présenter les recommandations de bonne pratique. Conclusion Cette étude a permis de développer 3 nouvelles vignettes permettant d’examiner de façon valide et reproductible si les croyances et attitudes des professionnels de la santé relatives à la prise en charge de la lombalgie sont en adéquation avec les dernières guidelines. La poursuite du développement de ce nouvel outil est nécessaire en examinant notamment ses autres qualités métrologiques telles que sa sensibilité au changement.

Additional file 1. Comparison of area under the receiver operating characteristic curves for various Örebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire versions for three outcomes (work absence, function and pain) in the secondary care cohort. Additional file 2. Comparison of area under the receiver operating characteristic curves between three outcomes (work absence, function and pain) for different Örebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire versions in the secondary care cohort.

Plusieurs outils ont été validés pour le dépistage du risque de développer une lombalgie chronique, dont le Örebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire (OMPSQ, versions longue et courte) et le Start Back Screening Tool (SBST). L’objectif de ce travail est d’aider le clinicien à choisir l’outil qui convient le mieux à ses besoins. Une validation préliminaire de la version courte en français de l’OMPSQ montre des propriétés psychométriques comparables à celles de la version longue. Une revue de littérature a analysé 101 articles. Dans l’ensemble, les trois questionnaires ont des propriétés prédictives modérées. L’OMPSQ a été conçu comme un outil pronostique alors que le but du SBST est d’orienter le choix thérapeutique. Les connaissances et attitudes de professionnels de la réadaptation de deux hôpitaux de taille moyenne ont été évalués. La plupart des répondants ne connaissaient pas ces questionnaires. Lorsque les questionnaires leur étaient présentés, l’attitude globale était positive, même si plusieurs objections ont été formulées. En conclusion, des outils valides existent pour la détection des patients à risque. Cependant, un effort important est nécessaire pour former les professionnels de santé.

Background : Prevention of chronicization of low back pain requires accurate detection of at-risk patients. Questionnaires have been validated, including the STarT Back Tool (SBST) and the Örebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire (OMPSQ). This review aims to compare these questionnaires in terms of predictive value and in terms of aims, to guide the choice in clinical practice. Methods : This study is a semi-systematic literature review. Studies evaluating at least one of the questionnaires and written between 1997 and October 10th 2017 were selected from Pubmed database. Inclusion criteria were pain duration

Reformer und Moderate um Präsident Hassan Ruhani sind die Gewinner der Parlamentswahl im Iran. In der Hauptstadt Teheran können die Reformer sogar alle Sitze holen.

Complex Regional Pain Syndrome (CRPS) is an affection characterized by chronic pain, motor and vegetative symptoms, but also by cognitive symptoms affecting body perception and representation. In addition, neglect-like deficits were clinically described. However, CRPS patients’ performances at standard neglect tests are inconsistent and so far, we cannot conclude that these cognitive changes extend to stimuli presented in the space outside the body (i.e. peripersonal). Therefore, we used a line bisection task in a virtual reality environment in order to test whether upper-limb patients, in comparison to a matched control group, present an impaired perception and exploration of the peripersonal space around the affected hand. We hypothesized that these impairments would also be mediated by the vision of the affected hand and the feeling of where this hand is located (proprioception). To test these hypotheses, CRPS participants were asked to move a robotic handle with their unaffected hand in order to bisect the middle of lines projected on different positions on a horizontal semi-reflective mirror screen. Throughout the different testing conditions, they were asked to perform the task either in the workspace corresponding to their affected or unaffected body side, to put their affected hand inside or outside the workspace and to perform the task either while seeing or not their hands. Results showed that CRPS patients had a general bisecting bias towards the left side of space that were significantly bigger than deviations in the control participants, who only showed a tendency to bisect lines to the left. Our results are in line with previous studies stating a visuospatial deficit in the upper-limb CRPS population. General leftward biases are known as pseudoneglect, even in healthy population. We hypothesize that such an initially common visuospatial deviation could be exaggerated in CRPS patients due to a global attentional deficit.

1 personne sur 4 fait face, au cours de sa vie, à une douleur persistante. Bien que la médecine soit quelque peu démunie pour diagnostiquer ce mal, de même que pour l’appréhender et le traiter, la douleur persistante est bien réelle, autant que ses conséquences. Avec la douleur chronique, c’est finalement le patient qui donne le ton car lui seul connaît la réalité du mal qui le ronge. Et cela, Jacques Grisart et Anne Berquin l’ont bien compris. Aussi ont-ils voulu inviter les lecteurs à repenser en profondeur leur façon d’aborder la douleur chronique pour tenter de la comprendre et de s’en détacher. Au travers d’un dialogue, qui incite à prendre une part active dans la gestion de la douleur, les auteurs ont décidé de s’appuyer sur leur vécu de professionnels et d’aborder différents aspects du problème : quelle est l’utilité de la douleur ? Qu’est-ce qu’une douleur chronique ? Comment trouver un nouvel équilibre quand on en est victime ? Quel rôle l’entourage peut-il jouer ? Comment accepter cette nouvelle réalité ? Vous trouverez dans cet ouvrage des pistes concrètes

Background and aimsu2029Chronic pain is a highly prevalent and complex medical condition, which seriously and often irreversibly affects patientu2019s quality of life. Several risk factors for pain chronification are known and stratified approaches to secondary prevention (i.e. avoid the transition from acute to chronic pain) have been developed. However, in order to determine the resources needed for their implementation, we need to evaluate the number of patients at low, moderate or high risk of developing chronic pain.u2029MethodsData were collected by 292 medical students, during their one-month general practice rotation. Each day, the third patient was asked to provide demographical data and fill in the short version of the u00d6rebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire (OMPSQ), a validated tool to assess pain chronification risk.u2029Resultsu20295815 patients were approached and 3882 agreed to participate (66.6% response rate). Of those, 1069 (27.5%) had no pain and 1929 (49.7%) had chronic pain. 884 patients (22.7%) reported pain lasting less than 3 months. After excluding cancer-related pain and incomplete OMSPQ, we analyzed data from 783 patients. 397 (51%) reported cervical or lumbar pain and 386 (49%) pain elsewhere. According to their OMPSQ score, 417 (55.6%) were at moderate and 212 (27.1%) at high risk for the development of chronic pain. u2029Conclusionu202917 % of patients in our total sample suffered from acute or subacute pain and were at moderate or high risk for pain chronification. As the OMSPQ has only been validated for patients suffering from cervical or lumbar pain, these results must be interpreted with caution. Still, given the high number of patients concerned, it is likely that setting up prevention programs will require significant resources and that they will have to be implemented at the primary care level.

Complex Regional Pain Syndrome (CRPS) is not only characterized by sensory, motor and vegetative symptoms, but also by cognitive changes in terms of body perception and representation (Legrain et al., 2012). However, CRPS patients’ performance at standard neglect tests is inconsistent (Kolb et al., 2012) and so far, we cannot conclude that these cognitive changes extend to stimuli presented in the space outside the body (i.e. peripersonal). Therefore, we used a line bisection task in a virtual reality environment in order to test whether upper-limb patients present an impaired perception and exploration of the peripersonal space around the affected hand. We hypothesized that these impairments would also be mediated by the vision of the affected hand and the feeling of where this hand is located (proprioception). To test these hypotheses, CRPS participants were asked to move a robotic handle with their unaffected hand in order to bisect the middle of lines projected on different positions on a horizontal semi-reflective mirror screen. Throughout the different testing conditions, they were asked to perform the task either in the workspace corresponding to their affected or unaffected body side, to put their affected hand inside or outside the workspace and to perform the task either while seeing or not their hands. Results showed that CRPS patients had a general bisecting bias towards the left side of space. This bias was more important when lines were projected further from the starting point in the unaffected body side.

Malgré ses limites, le modèle biopsychosocial est le modèle médical le plus abouti dont nous disposons à ce jour. Il reste pourtant mal compris et mal utilisé. Sur le plan théorique, cet ensemble d’hypothèses explicatives de la santé considère facteurs biologiques, psychologiques et sociaux sur un pied d’égalité, dans un système de causalités complexes, multiples et circulaires. Une pratique clinique inspirée du modèle biopsychosocial intègre en permanence les perspectives biologique, psychologique et sociale et nécessite une participation active du patient, dont le corollaire est une importance accrue des aspects éducationnels. La relation thérapeutique est donc profondément modifiée. Une meilleure diffusion du modèle biopsychosocial nécessite un ajustement de l’enseignement, de la recherche et du financement de l’acte intellectuel

Le syndrome douloureux régional complexe (anciennement appelé algodystrophie) reste difficile à diagnostiquer et à traiter. De nouveaux critères diagnostiques d’application aisée, basés sur l’interrogatoire du patient et l’examen clinique, ont été récemment proposés et méritent une large diffusion. Sur le plan thérapeutique, les données physiopathogéniques suggérant une perturbation de l’intégration sensori-motrice ont inspiré des approches prometteuses. En particulier, un programme de rééducation associant reconnaissance de latéralité, imagerie mentale et mobilisation devant un miroir a montré une amélioration significative de la douleur et des capacités fonctionnelles, dans une étude contrôlée randomisée en simple aveugle. Ce traitement est non invasif, peu coûteux, sans effet secondaire grave et favorise l’autonomisation des patients

Studying the mechanisms underlying the perception of a nociceptive stimulus allows to understand how individuals detect and react to potential threats present in their surroundings to protect the integrity of their organism. Notably, the perception of a nociceptive stimulus is affected by the presence of information from other sensory modalities. The aim of this thesis is to explore the impact of a visual stimulus on the activity of the nociceptive system, and more particularly, on the detection thresholds of thermo-nociceptive information transmitted through A-delta and C fibers. The results of the experiments highlight the important role of spatial and temporal relationships between the stimuli of different sensory modalities in improving their interactions. Étudier les mécanismes qui participent à la perception d’une stimulation nociceptive permet de comprendre comment les individus détectent de potentielles menaces présentes dans leur environnement extérieur et y réagissent, afin de protéger l’intégrité de leur organisme. La perception d’une stimulation nociceptive dépend notamment de la présence d’informations appartenant à d’autres modalités sensorielles. L’objectif de cette thèse est d’explorer l’impact d’une stimulation visuelle sur l’activité du système nociceptif, et plus particulièrement, sur les seuils de détection des informations transmises par les fibres A-delta et C. Les résultats des expériences réalisées mettent en évidence l’importance des relations spatiales et temporelles entre les stimuli des différentes modalités sensorielles comme facteurs favorisant leurs interactions. (PSYE - Sciences psychologiques et de l'éducation) -- UCL, 2021

La douleur, lorsqu’elle se chronicise, quitte son rôle de signal d’alarme et devient une partie d’un syndrome avec pour répercussion, notamment, une dégradation conséquente de la qualité de vie et de la capacité fonctionnelle. Les douleurs post-opératoires et post-traumatiques représentent 25 à 30% de l’ensemble des douleurs chroniques. Pouvoir prédire la sensibilité individuelle à la chronicisation de la douleur s’avère de ce fait crucial. Des questionnaires tels que l’échelle de catastrophisme ont régulièrement été utilisés ces dernières années. Nous l’avons comparé avec le questionnaire de sensibilité à la douleur, plus récent, afin d’étudier, d’une part, l’existence de valeurs prédictives et, d’autre part, le comportement à la douleur de populations spécifiques (sujets sains, patients avec des douleurs aiguës et chroniques) en présence ou non de symptômes de sensibilisation centrale.Ainsi, des valeurs-seuils furent obtenues, tant pour l’échelle de catastrophisme que pour le questionnaire de sensibilité à la douleur, associées avec un risque plus élevé de persistance d’une incapacité fonctionnelle à 12 mois.De plus, ce travail montre que des patients douloureux chroniques avec des symptômes de sensibilisation centrale se comportent différemment en regard de leur sensibilité à la douleur, en comparaison aux autres groupes étudiés.Ces nouvelles informations que nous apportons ici ouvrent la voie au développement d’outils pluridimensionnels, susceptibles de prédire cette propension à la chronicisation et à l’application de traitements caractérisés par des prises en charge multidisciplinaires adéquates., Doctorat en Sciences médicales (Médecine), info:eu-repo/semantics/nonPublished

53 p. ill., Mal au dos, que faire ? Face à la grande variété de solutions proposées à ceux et celles qui souffrent de ce « mal du siècle », le KCE avait déjà publié en mai dernier un Guide de pratique clinique basé sur les plus récentes connaissances scientifiques. En guise de prolongation, voici un itinéraire de soins qui définit, pour un patient donné et en fonction du type et de la durée de sa douleur, les examens à effectuer et les traitements à proposer pour progresser de la façon la plus cohérente possible. C’est la première fois qu’un itinéraire de soins est réalisé en commun avec des représentants de toutes les professions de soins concernées et avec les patients. Il englobe à la fois les douleurs lombaires (mal de dos simple) et radiculaires (de type sciatique). Pour en faciliter l’usage, le KCE en a également développé une version interactive en ligne (www.lombalgie.kce.be). PRÉFACE . 1 -- RÉSUMÉ 2 -- SYNTHÈSE . 3 -- 1. INTRODUCTION 9 -- 1.1. PORTÉE DE L’ITINÉRAIRE 9 -- 1.2. LIGNE DU TEMPS 10 -- 1.3. QU’ENTENDONS-NOUS PAR ITINÉRAIRE DE SOINS ? 10 -- 1.4. MÉTHODES . 11 -- 1.4.1. Équipe d’experts . 11 -- 1.4.2. Sources de données . 11 -- 1.4.3. Interprétation des résultats . 12 -- 2. UNE INCONFORTABLE ABSENCE DE DIAGNOSTIC 12 -- 2.1. SYSTÉMATISER LA RECHERCHE DE PATHOLOGIES SOUS-JACENTES SÉVÈRES 12 -- 2.2. DISTINGUER D’EMBLÉE LA DOULEUR RADICULAIRE DE LA LOMBALGIE 15 -- 2.3. NE PAS COMPTER SUR L’IMAGERIE . 15 -- 2.4. ASSURER UN SUIVI RÉGULIER DU PATIENT 15 -- 3. L’APPROCHE BIOPSYCHOSOCIALE, UNE CONCEPTION NOUVELLE QUI TARDE A SE -- GÉNÉRALISER 16 -- 3.1. RENONCER AUX CONCEPTIONS BIOMÉCANIQUES OBSOLÈTES 17 -- 3.2. DÉPISTER LES RISQUES DE PASSAGE À LA CHRONICITÉ 18 -- 3.3. ADAPTER LES SOINS AU PATIENT EN FONCTION DU PROFIL DE RISQUE DE PASSAGE À LA CHRONICITÉ 19 -- 3.4. METTRE LES MOYENS DÈS LA PHASE SUBAIGUË SI LE RISQUE EST ÉLEVÉ .20 -- 3.5. PRENDRE EN COMPTE LES FACTEURS PSYCHOSOCIAUX AUSSI DANS LA PHASE CHRONIQUE 20 -- 4. LES SOINS CENTRÉS SUR LE PATIENT, UN PRINCIPE DIFFICILE À RENCONTRER .21 -- 4.1. COMMENCER PAR RECONNAÎTRE QU’IL Y A UN HIATUS ENTRE LES ATTENTES DES PATIENTS ET LES POSSIBILITÉS D’ACTION DES PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ 21 -- 4.1.1. Les patients attendent un diagnostic précis avec des causes clairement définies 21 -- 4.1.2. Ils voudraient être davantage écoutés . 22 -- 4.1.3. Ils espèrent une guérison complète 22 -- 4.1.4. Ils demandent une approche globale 22 -- 4.1.5. Ils veulent un traitement plus personnalisé et une participation plus active aux décisions . 23 -- 4.2. RELEVER DE NOUVEAUX DÉFIS POUR LES SOIGNANTS : L’EMPOWERMENT DU PATIENT ET L’AUTOGESTION . 23 -- 4.2.1. L’interaction entre patients et cliniciens pourrait être améliorée .23 -- 4.2.2. Des outils d’aide à la communication peuvent s’avérer utiles .24 -- 5. LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ET SOCIALES, TROP PEU SOUTENUES PAR LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ 25 -- 5.1. ÉVALUER LE RISQUE D’ABSENCE DE LONGUE DURÉE 25 -- 5.2. SOUTENIR LE MAINTIEN AU TRAVAIL DU PATIENT . 26 -- 5.2.1. Il y a un fossé entre les cliniciens et l’environnement de travail .26 -- 5.2.2. Le milieu du travail n’est pas toujours coopératif 26 -- 5.3. FAIRE APPEL AUX PROGRAMMES D’ACCOMPAGNEMENT DE LA REPRISE DU TRAVAIL 27 -- 5.4. ENCOURAGER LA POURSUITE DES ACTIVITÉS SOCIALES, HORS TRAVAIL 27 -- 6. UNE COORDINATION A DÉFINIR ENTRE PRESTATAIRES DE SOINS 28 -- 6.1. RENFORCER LES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE . 28 -- 6.1.1. Rôle du médecin généraliste . 29 -- 6.1.2. Rôle du kinésithérapeute 29 -- 6.1.3. Rôle des praticiens non-conventionnels . 31 -- 6.1.4. Rôle d’autres professionnels de la santé pouvant intervenir en 1re ligne .32 -- 6.2. AMÉLIORER LES CONDITIONS DE RENVOI VERS LA 2E LIGNE .33 -- 6.2.1. Rôle du spécialiste en médecine physique et réadaptation 34 -- 6.2.2. Rôle de l’anesthésiste-algologue et du chirurgien de la colonne 34 -- 6.3. PROMOUVOIR L’INTERDISCIPLINARITÉ 34 -- 7. UN MONITORING ET UNE ÉVALUATION À PRÉVOIR D’EMBLÉE 36 -- 8. L’IMPLÉMENTATION DE L’ITINÉRAIRE DE SOINS, UN DÉFI A PART ENTIÈRE 37 -- 8.1. ASSURER UNE FORMATION DES PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ QUI TIENNENT -- COMPTE DES ÉLÉMENT-CLÉS DE L’ITINÉRAIRE 38 -- 8.2. AMÉLIORER LA COMMUNICATION ENTRE LES PROFESSIONNELS 38 -- 8.3. FAIRE ÉVOLUER LES MENTALITÉS 39 -- 8.4. FACILITER LA MISE EN PRATIQUE DES ITINÉRAIRES DE SOINS CHEZ LES PRESTATAIRES 39 -- 8.5. RESPECTER LES INITIATIVES LOCALES 40 -- 8.6. OSER ABORDER CERTAINES QUESTIONS DÉLICATES 40 -- 8.7. NE PAS OUBLIER LA PRÉVENTION (MÊME SI CET ASPECT EST HORS DU CHAMP DE CE -- PROJET) 41 -- 8.8. DIFFUSER L’ITINÉRAIRE DE SOINS PAR LE PLUS GRAND NOMBRE DE CANAUX -- POSSIBLES . 41 -- 8.9. ELABORER DES OUTILS ÉLECTRONIQUES POUR FACILITER L’EMPLOI DE -- L’ITINÉRAIRE 41 -- 9. CONCLUSION 42 -- ANNEXES . 43 -- RECOMMANDATIONS 50

32 p ill., Het Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg (KCE) publiceert vandaag een klinische richtlijn voor de aanpak van één van onze belangrijkste moderne kwalen: acute of chronische lage rugpijn. Om het probleem vanuit alle invalshoeken te bekijken, werden 31 experten van de belangrijkste beroepsgroepen bij het project betrokken. De nadruk ligt op ‘de-medicalisering’, want lage rugpijn verdwijnt meestal spontaan. In beweging blijven is belangrijk en medische beeldvorming is vaak niet nodig. Patiënten die een hoger risico lopen dat hun pijn chronisch wordt, moeten worden geïdentificeerd, zodat zij vanaf het begin een specifieke behandeling krijgen. VOORWOORD .. 1 -- ALGORITME .. 4 -- SAMENVATTING 5 -- 1. INLEIDING .. 7 -- 1.1. METHODES 7 -- 2. EVALUATIE VAN LAGE RUGPIJN EN RADICULAIRE PIJN. 8 -- 2.1. ANAMNESE EN KLINISCH ONDERZOEK 8 -- 2.2. RISICO-STRATIFICATIE 11 -- 2.3. BEELDVORMING .. 13 -- 3. NIET-INVASIEVE AANPAK 14 -- 3.1. SELF-MANAGEMENT 14 -- 3.2. BEGELEID OEFENPROGRAMMA 15 -- 3.3. MANUELE TECHNIEKEN .. 15 -- 3.4. PSYCHOLOGISCHE INTERVENTIES 16 -- 3.5. MULTIDISCIPLINAIR REVALIDATIEPROGRAMMA 17 -- 3.6. WERKHERVATTING 17 -- 4. FARMACOLOGISCHE INTERVENTIES 18 -- 4.1. NSAID’S, OPIOÏDEN OF PARACETAMOL 18 -- 4.2. ANTIDEPRESSIVA EN ANTI-EPILEPTICA 20 -- 5. INVASIEVE INTERVENTIES 21 -- 5.1. EPIDURALE INFILTRATIES VOOR (SUB)ACUTE RADICULAIRE PIJN 21 -- 5.2. RADIOFREQUENTE DENERVATIE: BIJ VERMOEDEN VAN CHRONISCHE FACETGEWRICHTSPIJN .. 22 -- 5.3. CHIRURGISCHE SPINALE DECOMPRESSIE VOOR PERSISTENTE RADICULAIRE PIJN 23 -- 5.4. ARTRODESE: ENKEL VOOR ZEER SPECIFIEKE GEVALLEN VAN LAGE RUGPIJN 23 -- 6. NIET AANBEVOLEN INTERVENTIES 24 -- 7. INTERVENTIES ZONDER DUIDELIJKE AANBEVELING 26 -- 8. ONDERZOEKSVOORSTELLEN 27 -- 9. NIET-BESTUDEERDE ONDERWERPEN .. 28 -- 10. IMPLEMENTATIE.. 28 -- 11. GLOSSARIUM 29 -- 12. VRAGENLIJSTEN 30