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A simple method to estimate the size of the vaccine bank needed to control an epidemic of an exotic infectious disease in case of introduction into a country is presented. The method was applied to the case of a Lumpy Skin disease (LSD) epidemic in France. The size of the stock of vaccines needed was calculated based on a series of simple equations that use some trigonometric functions and take into account the spread of the disease, the time required to obtain good vaccination coverage and the cattle density in the affected region. Assuming a 7-weeks period to vaccinate all the animals and a spread of the disease of 7.3 km/week, the vaccination of 740 716 cattle would be enough to control an epidemic of LSD in France in 90% of the simulations (608 196 cattle would cover 75% of the simulations). The results of this simple method were then validated using a dynamic simulation model, which served as reference for the calculation of the vaccine stock required. The differences between both models in different scenarios, related with the time needed to vaccinate the animals, ranged from 7% to 10.5% more vaccines using the simple method to cover 90% of the simulations, and from 9.0% to 13.8% for 75% of the simulations. The model is easy to use and may be adapted for the control of different diseases in different countries, just by using some simple formulas and few input data. info:eu-repo/semantics/publishedVersion

Cette mission fait suite à celle de 2003, en appui au Projet ESA (Eau - Sol - Arbre) au Nord-Cameroun, avec, pour objectifs principaux: - Suivi - évaluation des travaux de recherches SCV en cours, - Définition des orientations prioritaires pour assurer le progrès technico-économique et scientifique des SCV, préparer leur diffusion à grande échelle avec le concours de tous les acteurs (méthodes de recherche - actions participatives), - Recherche de financements pour pérenniser le développement des SCV dans cette région représentative des agricultures familiales de la Zone Soudanienne Africaine.

Cette première mission technique devait faire le point sur la plantation et son entretien, sur la préparation du terrain et les caractéristiques du sol, la fertilisation, les pépinières, la taille, la lutte antiravageur et le contrôle des maladies, l'organisation du travail et le traitement après récolte afin de proposer des solutions pour améliorer les pratiques actuelles, le rendement et la gestion

Le projet a pu montrer que l'on peut proposer des équipements aux producteurs dans un pays où les salaires sont très bas. La combinaison de l'approvisionnement en machines et de l'accès au crédit a fait s'exprimer une véritable demande en équipements. Les producteurs font rapidement l'apprentissage des nouvelles techniques et prennent en charge la gestion des machines. Dans un pays où le problème du transport limite le développement d'unités centralisées, la rentabilité peut être assurée par le déplacement de l'équipement. L'utilisation des équipements en prestations de service correspond bien aux capacités d'investissement et de gestion des producteurs, et permet de limiter les risques. L'attribution d'équipements à des groupements entraîne souvent des problèmes de gestion et de remboursement du crédit. La faiblesse relative du taux de recouvrement de crédit est en premier lieu imputable à la conjoncture économique et politique et à une mauvaise appréciation de certains risques. Ces difficultés devraient pouvoir être levées par une intervention active du projet et de l'organisme de crédit. A l'avenir, le travail de sélection des demandeurs d'équipement devra être intégralement confié à la CAMEC et aux ONG locales d'appui. Une plus grand transparence est souhaitée dans la gestion du fonds d'équipement par la CAMEC. La participation de quelques ONG a montré l'importance de l'appui aux groupements d'agriculteurs et aux privés pour le succès des processus de développement engagés.

Les plantations sont les piliers de nombreuses agricultures des tropiques humides. Après avoir brièvement exposé leurs conditions d'établissement et de développement, les auteurs distinguent les plantations familiales et les grandes plantations spécialisées. Leurs principales caractéristiques (milieu, démographie, organisation, niveau technique, intégration au marché) sont passées en revue. Sont ensuite examinées leurs perspectives au regard de leur durabilité écologique, de leurs problèmes environnementaux et socio-économiques et des conséquences de la nouvelle organisation des marchés internationaux.

L'objectif de cette mission était d'étudier la possibilité d'implanter une huilerie de palme permettant de traiter les productions de la station du Rio Urubu, dans l'état d'Amazonie et d'améliorer les capacités d'autofinancement de la station. Des recommandations préalables à cette opération ont été émises : remise en état de la piste pour évacuer les productions de manière fiable et à coût raisonnable, gestion de la production, récolte, collecte en plantation et usinage à l'huilerie confiée à une structure de type privé; engagement de l'EMBRAPA à affecter les recettes réalisées à la station. Le projet de financement concernerait la construction d'une huilerie de capacité de 3 tonnes de régimes/h, le réseau d'adduction d'eau de forage à l'usine, les lagunes de traitement des effluents, l'achat du matériel roulant nécessaire à assurer la collecte ainsi que l'assistance technique pour la conception et la construction de l'usine

Production de semences de palmier à huile et programme d'amélioration de cette plante à la station de La Dibamba (Cameroun). La réalisation de ce programme nécessite une aide financière, c'est pourquoi une note sur les besoins en financement de la recherche élaéicole (exercices budgétaires 1992-1993 et 1993- 1994) constitue la deuxième partie du rapport. Le compte rendu de la visite du Département des Recherches de Lobé permet de faire le point sur la production de semences et le programme d'amélioration de ce département