Search

Introduction : Avec l’augmentation du nombre de femmes accouchant après 35 ans dans les pays développés, l'association entre l'âge maternel avancé et les complications obstétricales est une préoccupation croissante. Les études ont démontré un lien entre l'âge maternel avancé et les effets indésirables lors de la grossesse mais peu de recherches ont été menées sur les risques spécifiques liés à un accouchement par césarienne non programmée chez les nullipares à terme. Objectif de l’étude : Cette étude visait à évaluer les risques associés à l'accouchement par césarienne non programmée chez les nullipares à ≥37 semaines de gestation, en comparant les résultats des patientes plus jeunes à ceux des patientes âgées de ≥40 ans. Méthode : Cette étude de cohorte rétrospective a été menée dans une maternité dans un hôpital universitaire en Suisse (CHUV). L'étude a inclus les nullipares qui ont accouché d'un enfant né vivant à ≥37 semaines entre janvier 2015 et décembre 2019. Nous avons exclu les femmes enceintes ayant subi une césarienne planifiée, âgées de <18 ans, multipares, les naissances avant 37 semaines de gestation ou les mort-nés. Les participantes ont été divisées en 2 groupes d'âge : (1) ≥40 ans et (2) <40 ans. Le résultat principal était l'incidence des accouchements par césarienne non programmés. L’association avec l'âge maternel avancé, exprimée par un odds ratio ajusté (aOR), a été évaluée après ajustement des facteurs de confusion par régression logistique multivariée. Les résultats secondaires comprenaient l'issue de la grossesse et l'issue néonatale. Résultats : Les données de 13'734 patientes ont été extraites des dossiers médicaux. Après exclusion, 5’211 participantes ont été incluses dans l’analyse : 173 dans le groupe ≥ 40 ans (âge maternel avancé) et 5038 dans le groupe <40 ans (âge maternel non avancé) ; 26.01% (intervalle de confiance à 95% (IC 95%), 19.7-33.2 ; n=45) des femmes dans le groupe d'âge maternel avancé ont eu un accouchement par

Objectives: The COVID-19 pandemic has been a major public health concern for the past 3 years. Scientific evidence on the relationship between SARS-CoV-2 infection and indoor air quality still needs to be demonstrated. This scoping review aims to study the association between air quality indoors and COVID-19. Methods: A scoping review analyzing the association between indoor air quality and epidemiological outcomes was conducted. Papers published between 1 January 2020 and 31 October 2022 were included. Hospital settings were excluded from the study. Results: Eight relevant articles met the inclusion criteria. Indoor settings included workplaces, schools, restaurants, and public transport. Types of ventilation used to improve indoor air quality were dilution methods (opening windows) and mechanical systems with or without filtration or purifier. CO2 sensors were employed in one study. All the studies showed a positive association between indoor air quality and its improvement and epidemiological indicators. Conclusion: The findings of this scoping review indicate that indoor air quality, which can be improved with ventilation methods, may reduce the risk of developing COVID-19. Ventilation could thus be viewed as a possible effective mitigating method.