7 results on '"Charles de (1890-1970)"'
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2. Les juristes gaullistes
- Author
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Allorant, Pierre, Centre d'études politiques contemporaines (CEPOC), Pouvoirs - Lettres - Normes (POLEN), Université d'Orléans (UO)-Université d'Orléans (UO), François Audigier, Bernard Lachaise et Sébastien Laurent (dir.), ANR-07-CORP-0023,GAULHORE,Les gaullistes. Hommes et réseaux(2007), Université d'Orléans, SCD, and Corpus et outils de la recherche en sciences humaines et sociales - Les gaullistes. Hommes et réseaux - - GAULHORE2007 - ANR-07-CORP-0023 - CORP - VALID
- Subjects
Rassemblement pour la République (France) ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Charles de (1890-1970) ,Gaullisme ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gaullistes ,Gaulle - Abstract
International audience; Né dans le refus de la défaite, le gaullisme a fortement marqué la vie politique française, des grandes réformes de la Libération à la fondation de la Ve République. Son histoire est longtemps restée lacunaire, négligeant les aspects militants au profit de ses personnalités illustres et de leurs actions gouvernementales majeures. Trop souvent oubliés, ces gaullistes ont pourtant grandement participé à la réussite du mouvement et continuent aujourd'hui de le faire évoluer.À travers les études des meilleurs spécialistes, cet ouvrage met en lumière ces hommes de l’ombre et réseaux locaux et réaffirme leur importance au sein de la « famille » gaulliste. De Louis Joxe à Jacques Chaban-Delmas, en passant par les CDR et l’UNI, il démontre leur rôle de mobilisation et leur influence sur les redéfinitions successives de l’identité gaulliste.Fortement liée au charisme de son leader, cette formation politique n’en est pas moins marquée par une grande diversité, remodelée au gré des différentes crises qu’elle a traversées. L’exploration de ces facettes multiples renouvelle de façon considérable l’historiographie du gaullisme.
- Published
- 2013
3. Les diplomates gaullistes : hommes et réseaux (1944-1981)
- Author
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Matthieu Trouvé, Audigier, François and Lachaise, Bernard and Laurent, Sébastien-Yves, Centre d'études des mondes moderne et contemporain (CEMMC), Université Bordeaux Montaigne, Université, Bordeaux Montaigne, and Audigier, François and Lachaise, Bernard and Laurent, Sébastien-Yves
- Subjects
Politique et gouvernement ,1958 ,Rassemblement pour la République (France) ,Influence ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Charles de (1890-1970) ,Amis et relations ,France ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gaullisme ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Gaulle - Abstract
International audience
- Published
- 2013
4. Le Midi toulousain
- Author
-
Chiaradia, Éric, Université, Bordeaux Montaigne, Audigier, François and Lachaise, Bernard and Laurent, Sébastien-Yves, Centre d'études des mondes moderne et contemporain (CEMMC), Université Bordeaux Montaigne, Audigier, François and Lachaise, Bernard and Laurent, and Sébastien-Yves
- Subjects
Politique et gouvernement ,1958 ,Rassemblement pour la République (France) ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Charles de (1890-1970) ,Amis et relations ,France ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gaullisme ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Gaulle - Abstract
International audience
- Published
- 2013
5. The Gaullist movements from 1958 to 1976 : the diversity of political family, its networks, cultures and conflicts
- Author
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Pozzi, Jérôme, Université Nancy 2, Jean El Gammal, and Du Ccsd, Administrateur
- Subjects
France -- Politique et gouvernement -- 1958-1969 ,Famille gaulliste ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Charles de (1890-1970) ,France -- 1958-1969 (Charles de Gaulle) ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gaulle ,Mouvements gaullistes - Abstract
Unavailable, Le retour au pouvoir du général de Gaulle au printemps 1958, dans la foulée des événements du 13 mai à Alger, ouvre une période de domination de la vie politique nationale par la famille gaulliste. Rassemblés dans les rangs de l'Union de la nouvelle République (U.N.R), les fidèles de l'homme du 18 juin triomphent lors des élections législatives des 23 et 30 novembre 1958. Pourtant, l'U.N.R ne rassemble pas tous les gaullistes issus de la traversée du désert, même si l'on y retrouve les anciennes figures de proue du R.P.F et des Républicains sociaux. Par ailleurs, le maillage du territoire métropolitain réalisé par les anciens délégués départementaux du R.P.F est d'une grande utilité pour les dirigeants de l'U.N.R dans les premiers mois de son existence et sert bien souvent de cadre à son action. Pourtant, quelques gaullistes, dont la fibre sociale est plus prononcée et qui considèrent l'U.N.R comme un mouvement purement « droitier » - de par la présence de personnes comme Jacques Soustelle -, préfèrent rejoindre des formes d'encadrement plus souples, dans lesquelles le débat d'idées est moins cadenassé, à l'instar du Centre de la réforme républicaine (C.R.R), puis de l'Union démocratique du travail (U.D.T), créée en 1959 par Louis Vallon et René Capitant. Qualifiés de « gaullistes de gauche », ceux-ci entretiennent des relations privilégiées avec la rue de Lille. Leurs principaux porte-drapeaux oscillent sans cesse entre attraction envers le mouvement gaulliste et affirmation de leur particularisme, malgré les tentatives de rassemblement qui sont opérées à plusieurs reprises, notamment celle qui se déroule lors des Assises de Lille de l'U.D.Ve (24-26 novembre 1967) sous l'impulsion de Robert Poujade.Si les gaullistes de gauche sont une sensibilité importante de la famille gaulliste - par leur rayonnement et le nombre de leurs sympathisants plus que par l'effectif des différents groupuscules qui les ont rassemblé dans les années 1960 et 1970 - d'autres gaullistes préfèrent des formes d-actions plus radicales et choisissent pour ce faire de rejoindre le Service d-action civique (S.A.C) ou les Comités de défense de la République (C.D.R), notamment dans le contexte de mai 1968. De même, un certain nombre de clubs, de groupes d-études ou de structures destinées à une certaine élite intellectuelle, comme par exemple le club Nouvelle frontière, entretiennent des liens plus ou moins étroits avec l'U.N.R et ses pseudopodes (U.D.Ve et U.D.R) au gré des circonstances. Ces mouvements parallèles redoublent d'activité lors des campagnes référendaires gaulliennes ou au lendemain d'échéances électorales qui ont mis à mal la famille gaulliste, comme après l'élection présidentielle de décembre 1965 par exemple. Au premier rang des organisations qui gravitent autour de l'U.N.R, puis de l?U.D.R, l'Association nationale pour le soutien de l'action du général de Gaulle figure en bonne place. Fondée par Pierre Lefranc et présidée par le colonel Bernard Dupérier, l'Association nationale (A.N) est un bastion d'inconditionnels, qui redouble d'activité pendant les périodes sensibles pour le chef de l'Etat, comme entre 1959 et 1962, lorsque des fissures apparaissent au sein du groupe parlementaire gaulliste sur la question algérienne.Ainsi, la famille gaulliste est moins monolithique dans les années soixante et soixante-dix que ses contemporains ont pu le penser. Sur ce point, l'arrivée de Georges Pompidou à l'Elysée tend à accentuer les tensions entre l'U.D.R et les gaullistes de gauche, tout comme avec la frange des gaullistes orthodoxes, qu'il s'agisse des sympathisants de l'A.N ou des membres de l'amicale Présence et action du gaullisme, rassemblés autour de Pierre Messmer. Le projet pompidolien d'un mandat présidentiel ramené à cinq ans et la question de l'élargissement européen servent de prétexte à des procès d'intentions à l'encontre du successeur du Général, qui est considéré par une minorité d'encenseurs de l'homme du 18 juin comme le fossoyeur des principes gaulliens. En dépit de ces différentes forces centrifuges, qui provoquent des conflits d'intensité plus ou moins variable avec le mouvement gaulliste, celui-ci est le cadre d'un remarquable renouvellement générationnel.Qu'il s'agisse de sa direction nationale ou de son groupe parlementaire, l'U.N.R passe - en l'espace d'une quinzaine d'années - d'un rassemblement de résistants et de Français libres qui ont poursuivi leur engagement dans les rangs du R.P.F à une génération qui est étroitement liée à la République gaullienne. Celle-ci a souvent débuté sa carrière parlementaire dans les années soixante et doit sa réussite dans l'arène politique par le labourage systématique d'une circonscription électorale, la transmission d'un fief électoral - même si ce cas est moins fréquent - et le passage par un cabinet ministériel. Toutefois, l'itinéraire exceptionnel d'un énarque comme Jacques Chirac, qui apparaît depuis 1967 comme le protégé de Georges Pompidou, ne doit pas masquer celui de la majorité des parlementaires gaullistes élus lors des cinq législatures étudiées (1958, 1962, 1967, 1968 et 1973), dans la mesure où la plupart d'entre eux doivent leur succès à un ancrage militant parfois ancien plutôt qu'au passage par la prestigieuse école de la rue des Saints-Pères. En fin de compte, le renouvellement du groupe parlementaire gaulliste à l'Assemblée nationale s'est effectué par étapes, même si les élections législatives de 1968 et 1973 peuvent être considérées comme un tournant, puisqu'elles font entrer au Palais-Bourbon un certain nombre de quadragénaires de l'U.D.R.Les circonstances de l'élection présidentielle de mai 1974 et notamment la publication du « manifeste des 43 » révèle au grand jour le profond malaise qui règne au sein de l'U.D.R et ce depuis les Assises de Nantes (16-18 novembre 1973), entre frontbenchers et backbenchers. D'une certaine manière, l'union des barons et des députés parisiens qui leur sont proches - rassemblés derrière la candidature de Jacques Chaban-Delmas - se heurte au pragmatisme des députés provinciaux et au sens politique de Jacques Chirac, Marie-France Garaud et Pierre Juillet, qui préfèrent pousser Pierre Messmer à se présenter, avant de soutenir tacitement Valéry Giscard d'Estaing. L'élection de l'ancien ministre des Finances à l'Elysée, suivie de la nomination de Jacques Chirac à Matignon, sèment le trouble dans la famille gaulliste. Pourtant, la culture politique gaulliste, qui privilégie la légitimité à l'égard du chef de famille - ce qui tend de facto à limiter les risques de scission - plutôt que le choc frontal entre les différents courants, permet de rassembler progressivement les militants autour de Jacques Chirac. Au final, le Premier ministre parvient à prendre en mains une U.D.R moribonde et à mettre en place une thématique du changement qui aboutit à la création du Rassemblement pour la République (R.P.R) le 5 décembre 1976.
- Published
- 2008
6. The Gaullist movements from 1958 to 1976 : the diversity of political family, its networks, cultures and conflicts
- Author
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Pozzi, Jérôme, Du Ccsd, Administrateur, Université Nancy 2, and Jean El Gammal
- Subjects
France -- Politique et gouvernement -- 1958-1969 ,Famille gaulliste ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Charles de (1890-1970) ,France -- 1958-1969 (Charles de Gaulle) ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gaulle ,Mouvements gaullistes - Abstract
Unavailable, Le retour au pouvoir du général de Gaulle au printemps 1958, dans la foulée des événements du 13 mai à Alger, ouvre une période de domination de la vie politique nationale par la famille gaulliste. Rassemblés dans les rangs de l'Union de la nouvelle République (U.N.R), les fidèles de l'homme du 18 juin triomphent lors des élections législatives des 23 et 30 novembre 1958. Pourtant, l'U.N.R ne rassemble pas tous les gaullistes issus de la traversée du désert, même si l'on y retrouve les anciennes figures de proue du R.P.F et des Républicains sociaux. Par ailleurs, le maillage du territoire métropolitain réalisé par les anciens délégués départementaux du R.P.F est d'une grande utilité pour les dirigeants de l'U.N.R dans les premiers mois de son existence et sert bien souvent de cadre à son action. Pourtant, quelques gaullistes, dont la fibre sociale est plus prononcée et qui considèrent l'U.N.R comme un mouvement purement « droitier » - de par la présence de personnes comme Jacques Soustelle -, préfèrent rejoindre des formes d'encadrement plus souples, dans lesquelles le débat d'idées est moins cadenassé, à l'instar du Centre de la réforme républicaine (C.R.R), puis de l'Union démocratique du travail (U.D.T), créée en 1959 par Louis Vallon et René Capitant. Qualifiés de « gaullistes de gauche », ceux-ci entretiennent des relations privilégiées avec la rue de Lille. Leurs principaux porte-drapeaux oscillent sans cesse entre attraction envers le mouvement gaulliste et affirmation de leur particularisme, malgré les tentatives de rassemblement qui sont opérées à plusieurs reprises, notamment celle qui se déroule lors des Assises de Lille de l'U.D.Ve (24-26 novembre 1967) sous l'impulsion de Robert Poujade.Si les gaullistes de gauche sont une sensibilité importante de la famille gaulliste - par leur rayonnement et le nombre de leurs sympathisants plus que par l'effectif des différents groupuscules qui les ont rassemblé dans les années 1960 et 1970 - d'autres gaullistes préfèrent des formes d-actions plus radicales et choisissent pour ce faire de rejoindre le Service d-action civique (S.A.C) ou les Comités de défense de la République (C.D.R), notamment dans le contexte de mai 1968. De même, un certain nombre de clubs, de groupes d-études ou de structures destinées à une certaine élite intellectuelle, comme par exemple le club Nouvelle frontière, entretiennent des liens plus ou moins étroits avec l'U.N.R et ses pseudopodes (U.D.Ve et U.D.R) au gré des circonstances. Ces mouvements parallèles redoublent d'activité lors des campagnes référendaires gaulliennes ou au lendemain d'échéances électorales qui ont mis à mal la famille gaulliste, comme après l'élection présidentielle de décembre 1965 par exemple. Au premier rang des organisations qui gravitent autour de l'U.N.R, puis de l?U.D.R, l'Association nationale pour le soutien de l'action du général de Gaulle figure en bonne place. Fondée par Pierre Lefranc et présidée par le colonel Bernard Dupérier, l'Association nationale (A.N) est un bastion d'inconditionnels, qui redouble d'activité pendant les périodes sensibles pour le chef de l'Etat, comme entre 1959 et 1962, lorsque des fissures apparaissent au sein du groupe parlementaire gaulliste sur la question algérienne.Ainsi, la famille gaulliste est moins monolithique dans les années soixante et soixante-dix que ses contemporains ont pu le penser. Sur ce point, l'arrivée de Georges Pompidou à l'Elysée tend à accentuer les tensions entre l'U.D.R et les gaullistes de gauche, tout comme avec la frange des gaullistes orthodoxes, qu'il s'agisse des sympathisants de l'A.N ou des membres de l'amicale Présence et action du gaullisme, rassemblés autour de Pierre Messmer. Le projet pompidolien d'un mandat présidentiel ramené à cinq ans et la question de l'élargissement européen servent de prétexte à des procès d'intentions à l'encontre du successeur du Général, qui est considéré par une minorité d'encenseurs de l'homme du 18 juin comme le fossoyeur des principes gaulliens. En dépit de ces différentes forces centrifuges, qui provoquent des conflits d'intensité plus ou moins variable avec le mouvement gaulliste, celui-ci est le cadre d'un remarquable renouvellement générationnel.Qu'il s'agisse de sa direction nationale ou de son groupe parlementaire, l'U.N.R passe - en l'espace d'une quinzaine d'années - d'un rassemblement de résistants et de Français libres qui ont poursuivi leur engagement dans les rangs du R.P.F à une génération qui est étroitement liée à la République gaullienne. Celle-ci a souvent débuté sa carrière parlementaire dans les années soixante et doit sa réussite dans l'arène politique par le labourage systématique d'une circonscription électorale, la transmission d'un fief électoral - même si ce cas est moins fréquent - et le passage par un cabinet ministériel. Toutefois, l'itinéraire exceptionnel d'un énarque comme Jacques Chirac, qui apparaît depuis 1967 comme le protégé de Georges Pompidou, ne doit pas masquer celui de la majorité des parlementaires gaullistes élus lors des cinq législatures étudiées (1958, 1962, 1967, 1968 et 1973), dans la mesure où la plupart d'entre eux doivent leur succès à un ancrage militant parfois ancien plutôt qu'au passage par la prestigieuse école de la rue des Saints-Pères. En fin de compte, le renouvellement du groupe parlementaire gaulliste à l'Assemblée nationale s'est effectué par étapes, même si les élections législatives de 1968 et 1973 peuvent être considérées comme un tournant, puisqu'elles font entrer au Palais-Bourbon un certain nombre de quadragénaires de l'U.D.R.Les circonstances de l'élection présidentielle de mai 1974 et notamment la publication du « manifeste des 43 » révèle au grand jour le profond malaise qui règne au sein de l'U.D.R et ce depuis les Assises de Nantes (16-18 novembre 1973), entre frontbenchers et backbenchers. D'une certaine manière, l'union des barons et des députés parisiens qui leur sont proches - rassemblés derrière la candidature de Jacques Chaban-Delmas - se heurte au pragmatisme des députés provinciaux et au sens politique de Jacques Chirac, Marie-France Garaud et Pierre Juillet, qui préfèrent pousser Pierre Messmer à se présenter, avant de soutenir tacitement Valéry Giscard d'Estaing. L'élection de l'ancien ministre des Finances à l'Elysée, suivie de la nomination de Jacques Chirac à Matignon, sèment le trouble dans la famille gaulliste. Pourtant, la culture politique gaulliste, qui privilégie la légitimité à l'égard du chef de famille - ce qui tend de facto à limiter les risques de scission - plutôt que le choc frontal entre les différents courants, permet de rassembler progressivement les militants autour de Jacques Chirac. Au final, le Premier ministre parvient à prendre en mains une U.D.R moribonde et à mettre en place une thématique du changement qui aboutit à la création du Rassemblement pour la République (R.P.R) le 5 décembre 1976.
- Published
- 2008
7. Les Français et de Gaulle
- Author
-
Goguel, François, Centre de recherches politiques de Sciences Po (Sciences Po, CNRS) (CEVIPOF), Sciences Po (Sciences Po)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Jean Charlot, and Sciences Po Institutional Repository, Spire
- Subjects
Politique et gouvernement - France - 1958-1969 ,Charles de (1890-1970) ,Gaullisme ,[SHS.SCIPO] Humanities and Social Sciences/Political science ,Gaulle ,[SHS.SCIPO]Humanities and Social Sciences/Political science - Published
- 1971
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