Philippe Birnbaum, Thomas Ibanez, Robin Pouteau, Sandrine Isnard, Tanguy Jaffré, Hervé Jourdan, Bruno Fogliani, Jérôme Munzinger, Audrey Leopold, David Bruy, Jennifer Read, Yohan Pillon, Louis Lagarde, Marc Ducousso, Dominique Cluzel, Laboratoire des symbioses tropicales et méditerranéennes (UMR LSTM), Institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro), Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Université de Montpellier (UM)-Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Botanique et Modélisation de l'Architecture des Plantes et des Végétations (UMR AMAP), Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Université de Montpellier (UM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD [France-Sud])-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Institut de Recherche pour le Développement (IRD [Nouvelle-Calédonie]), Institut Agronomique Néo-Calédonien (IAC), Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC), Institut de sciences exactes et appliquées (ISEA), University of Hawai'i [Hilo], Institut méditerranéen de biodiversité et d'écologie marine et continentale (IMBE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UMR237-Aix Marseille Université (AMU)-Avignon Université (AU), TRajectoires d’OCéAnie (TROCA), School of Biomedical Sciences [Monash University, Clayton], Monash University [Clayton], Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université de Montpellier (UM)-Institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro), Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Avignon Université (AU)-Aix Marseille Université (AMU)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UMR237-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université de Montpellier (UM)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Institut Agro - Montpellier SupAgro, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), Département Systèmes Biologiques (Cirad-BIOS), and Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)
The OCBIL theory comprises a set of hypotheses to comprehend the biota of old, climatically buffered, infertile landscapes (OCBILs). Here, we review evidence from the literature to evaluate the extent to which this theory could apply to the biodiversity hotspot of New Caledonia. We present geological, pedological and climatic evidence suggesting how the island might qualify as an OCBIL. The predictions of OCBIL theory are then reviewed in the context of New Caledonia. There is evidence for a high rate of micro-endemism, accumulation of relict lineages, a high incidence of dioecy, myrmecochory and nutritional specializations in plants. New Caledonian vegetation also exhibits several types of monodominant formations that reveal the importance of disturbances on the island. Fires and tropical storms are likely to be important factors that contribute to the dynamic of New Caledonian ecosystems. Although naturally infertile, there is archaeological evidence that humans developed specific horticultural practices in the ultramafic landscapes of New Caledonia. Further comparisons between New Caledonia and other areas of the world, such as South Africa and Southwest Australia, are desirable, to develop the OCBIL theory into a more robust and generalized, testable framework and to determine the most efficient strategies to preserve their outstanding biodiversity.