Search

Recent cohort studies suggest that increased breast cancer risks were associated with longer smoking duration, higher pack-years and a dose-response relationship with increasing pack-years of smoking between menarche and first full-term pregnancy (FFTP). Studies with comprehensive quantitative life-time measures of passive smoking suggest an association between passive smoking dose and breast cancer risk. We conducted a study within the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition to examine the association between passive and active smoking and risk of invasive breast cancer and possible effect modification by known breast cancer risk factors. Among the 322,988 women eligible for the study, 9,822 developed breast cancer (183,608 women with passive smoking information including 6,264 cases). When compared to women who never smoked and were not being exposed to passive smoking at home or work at the time of study registration, current, former and currently exposed passive smokers were at increased risk of breast cancer (hazard ratios (HR) [95% confidence interval (CI)] 1.16 [1.05-1.28], 1.14 [1.04-1.25] and 1.10 [1.01-1.20], respectively). Analyses exploring associations in different periods of life showed the most important increase in risk with pack-years from menarche to FFTP (1.73 [1.29-2.32] for every increase of 20 pack-years) while pack-years smoked after menopause were associated with a significant decrease in breast cancer risk (HR = 0.53, 95% CI: 0.34-0.82 for every increase of 20 pack-years). Our results provide an important replication, in the largest cohort to date, that smoking (passively or actively) increases breast cancer risk and that smoking between menarche and FFTP is particularly deleterious.

L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’effet d’une intervention d’activité physique (AP) concomitante aux traitements adjuvants du cancer du sein sur l’évolution des hormones et cytokines circulantes. L’objectif secondaire était d’évaluer les relations entre niveaux d’AP et taux circulants d’hormones et de cytokines. Des femmes débutant une chimiothérapie adjuvante pour un cancer du sein localisé ont participé à un essai randomisé évaluant la faisabilité d’une intervention de 6 mois d’AP versus la prise en charge diététique habituelle. Les taux circulants des marqueurs biologiques (insuline, insulin-like growth factor 1 [IGF1], estradiol, adiponectine, leptine, interleukine 6 [IL6] et facteur de nécrose tumorale α [TNFα]) étaient mesurés en début d’intervention et à 6 mois. Le niveau d’AP était évalué à l’aide de l’International Physical Activity Questionnaire (IPAQ). L’intervention d’AP n’a pas induit d’amélioration significative des taux d’hormones et de cytokines comparée au bras témoin. Dans une analyse de l’ensemble de la cohorte (n=58), le taux d’IGF1 était significativement associé à l’évolution du niveau d’AP des patientes (p=0,03). Après 6 mois, le taux d'IGF1 a diminué de 11,2% chez les femmes ayant maintenu ou atteint un niveau élevé d’AP (≥3000 MET-minutes/semaine), tandis qu'il a augmenté de 12,4% chez les femmes présentant un niveau modéré ou faible d’AP à 6 mois. Ces résultats suggèrent un effet bénéfique d’un niveau élevé d’AP (équivalent à 2h20 de marche active par jour) sur le taux circulant d’IGF1, précédemment relié au pronostic du cancer du sein. D’autres études à plus grande échelle évaluant différentes modalités d’intervention sont essentielles pour améliorer les connaissances sur l’intérêt potentiel de l’activité physique pendant et après les traitements adjuvants du cancer

National audience; L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’effet d’une intervention d’activité physique (AP) concomitante aux traitements adjuvants du cancer du sein sur l’évolution des hormones et cytokines circulantes. L’objectif secondaire était d’évaluer les relations entre niveaux d’AP et taux circulants d’hormones et de cytokines. Des femmes débutant une chimiothérapie adjuvante pour un cancer du sein localisé ont participé à un essai randomisé évaluant la faisabilité d’une intervention de 6 mois d’AP versus la prise en charge diététique habituelle. Les taux circulants des marqueurs biologiques (insuline, insulin-like growth factor 1 [IGF1], estradiol, adiponectine, leptine, interleukine 6 [IL6] et facteur de nécrose tumorale α [TNFα]) étaient mesurés en début d’intervention et à 6 mois. Le niveau d’AP était évalué à l’aide de l’International Physical Activity Questionnaire (IPAQ). L’intervention d’AP n’a pas induit d’amélioration significative des taux d’hormones et de cytokines comparée au bras témoin. Dans une analyse de l’ensemble de la cohorte (n=58), le taux d’IGF1 était significativement associé à l’évolution du niveau d’AP des patientes (p=0,03). Après 6 mois, le taux d'IGF1 a diminué de 11,2% chez les femmes ayant maintenu ou atteint un niveau élevé d’AP (≥3000 MET-minutes/semaine), tandis qu'il a augmenté de 12,4% chez les femmes présentant un niveau modéré ou faible d’AP à 6 mois. Ces résultats suggèrent un effet bénéfique d’un niveau élevé d’AP (équivalent à 2h20 de marche active par jour) sur le taux circulant d’IGF1, précédemment relié au pronostic du cancer du sein. D’autres études à plus grande échelle évaluant différentes modalités d’intervention sont essentielles pour améliorer les connaissances sur l’intérêt potentiel de l’activité physique pendant et après les traitements adjuvants du cancer

Recent cohort studies suggest that increased breast cancer risks were associated with longer smoking duration, higher pack-years and a dose-response relationship with increasing pack-years of smoking between menarche and first full-term pregnancy (FFTP). Studies with comprehensive quantitative life-time measures of passive smoking suggest an association between passive smoking dose and breast cancer risk. We conducted a study within the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition to examine the association between passive and active smoking and risk of invasive breast cancer and possible effect modification by known breast cancer risk factors. Among the 322,988 women eligible for the study, 9,822 developed breast cancer (183,608 women with passive smoking information including 6,264 cases). When compared to women who never smoked and were not being exposed to passive smoking at home or work at the time of study registration, current, former and currently exposed passive smokers were at increased risk of breast cancer (hazard ratios (HR) [95% confidence interval (CI)] 1.16 [1.05–1.28], 1.14 [1.04–1.25] and 1.10 [1.01–1.20], respectively). Analyses exploring associations in different periods of life showed the most important increase in risk with pack-years from menarche to FFTP (1.73 [1.29–2.32] for every increase of 20 pack-years) while pack-years smoked after menopause were associated with a significant decrease in breast cancer risk (HR = 0.53, 95% CI: 0.34–0.82 for every increase of 20 pack-years). Our results provide an important replication, in the largest cohort to date, that smoking (passively or actively) increases breast cancer risk and that smoking between menarche and FFTP is particularly deleterious.

International audience