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Besides being an indispensable amino acid for protein synthesis, arginine (Arg) is also involved in a number of other physiological functions. Available data on the quantitative requirement for Arg in different teleosts appear to show much variability. So far, there are very limited data on the maintenance requirements of indispensable amino acids (IAA) in fish. In the present study, we compared N and Arg requirements for maintenance and growth of four finfish species: rainbow trout (Oncorhynchus mykiss), turbot (Psetta maxima), gilthead seabream (Sparus aurata) and European seabass (Dicentrarchus labrax). Groups of fish having an initial body weight close to 5–7 g were fed semi-purified diets containing graded levels of N (0 to 8 % DM) and Arg (0 to 3 % DM) over 4 to 6 weeks. For each species, N and Arg requirements for maintenance and for growth were calculated regressing daily N gain against daily N or Arg intakes. N requirement for maintenance was estimated to be 37·8, 127·3, 84·7 and 45·1 mg/kg metabolic body weight per d and 2·3, 2·2, 2·6 and 2·5 g for 1 g N accretion, in rainbow trout, turbot, gilthead seabream and European seabass respectively. The four species studied appear to have very low or no dietary Arg requirements for maintenance. Arg requirement for g N accretion was calculated to be 0·86 g in rainbow trout and between 1·04–1·11 g in the three marine species. Turbot required more N for maintenance than the other three species, possibly explaining its reputedly high overall dietary protein requirement. Data suggest a small but sufficient endogenous Arg synthesis to maintain whole body N balance and differences between freshwater and marine species as regards Arg requirement. It is worth verifying this tendency with other IAA.

*INRA, Unité Mixte Nutrition des Poissons, Saint Pée sur Nivelle (FRA) Diffusion du document : INRA, Unité Mixte Nutrition des Poissons, Saint Pée sur Nivelle (FRA) Diplôme : Dr. d'Université

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Dans le cadre de programme de création variétale chez le riz, l'androgenèse est un outil intéressant pour obtenir rapidement des plantes haploïdes. Deux méthodes androgénétiques principales existent : la culture d'anthères et la culture de microspores isolées. Cette dernière permet d'éviter les effets toxiques des anthères lorsqu'elles brunissent dans le milieu de culture et la régénération de plantes à partir des tissus somatiques. Dans cette étude, plusieurs facteurs pouvant influencer la réponse androgénétique lors de la culture de microspores isolées ont été testés : la culture de microspores isolées par broyage avec pré-culture ou non des anthères en milieu liquide et la culture de microspores en "shed pollen". Dans ce dernier cas, les grains de pollen immatures sont libérés passivement lors de la déhiscence naturelle des anthères #in vitro# et restent à leur contact. Les microspores isolées ont été placées sur trois milieux de culture, différant par leur source carbonée et leurs hormones, pour l'induction de l'androgenèse. L'effet d'une co-culture d'ovaires de maïs et de riz avec les microspores isolées a également été testé. Cette étude a été réalisée sur neuf génotypes de riz. Deux principaux critères de réponse ont été pris en compte : la réponse sous forme de callogenèse et la régénération #in vitro# de plantes haploïdes. Les rendements de callogenèse lors de la culture de microspores isolées par broyage sont plus faibles qu'en culture d'anthères ou en "shed pollen". De plus, une pré-culture des anthères avant l'isolement des microspores par broyage semble augmenter ces rendements. Le rôle des tissus des anthères dans le processus androgénétique des microspores isolées de riz est discuté