8 results on '"J. Litovsky"'
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2. Les tests de provocation alimentaire dans 4 pays européens : France, Espagne, Italie et Royaume-Uni
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Antoine Deschildre, A. Santos, Pascal Demoly, F. Paravati, P. Rodriguez del Rio, Elena Carboni, J. Just, J. Litovsky, Davide Caimmi, E. Manca, Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier), Institut Pierre Louis d'Epidémiologie et de Santé Publique (iPLESP), and Sorbonne Université (SU)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)
- Subjects
0303 health sciences ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,030228 respiratory system ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,Immunology and Allergy ,3. Good health ,030304 developmental biology - Abstract
Resume En Europe, il y a une variabilite dans les modalites de realisation de tests de provocation aux aliments dans les differents centres d’allergologie. La Societe italienne d’allergologie et immunologie pediatrique (SIAIP) a mene une enquete, dans plusieurs pays, pour evaluer les pratiques locales de realisation de ces tests et rechercher les possibles differences. Nous presentons les resultats d’un questionnaire realise sur une plateforme en ligne par 120 centres d’allergologie, distribues en 4 pays europeens differents : France, Italie, Espagne, Royaume-Uni. Malgre quelques differences, les modalites de prise en charge des patients restent assez concordantes entre les differents pays.
- Published
- 2020
3. REPRISCAR–Suivi des patients ayant fait une toxidermie sévère entre 2009 et 2019 : impact sur la prise ultérieure de traitements et sur la qualité de vie
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Anca-Mirela Chiriac, J.L. Faillie, J. Litovsky, C. Philibert, Jean-Luc Bourrain, D. Hillaire-Buys, A. Gauthier, Pascal Demoly, Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier), Laboratoire de géographie physique : Environnements Quaternaires et Actuels (LGP), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université de Montpellier (UM), Hôpital Lapeyronie [Montpellier] (CHU), Service de radiologie, CHU Toulouse [Toulouse], CHU Montpellier, Institut Desbrest de santé publique (IDESP), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université de Montpellier (UM), Département pneumologie et addictologie [Montpellier], Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier)-Hôpital Arnaud de Villeneuve, Institut Pierre Louis d'Epidémiologie et de Santé Publique (iPLESP), and Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Sorbonne Université (SU)
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Immunology and Allergy ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
Introduction Les etapes diagnostiques et d’identification du ou des medicaments responsables des toxidermies severes peuvent s’averer delicates notamment du fait du manque de sensibilite des tests allergologiques. Les patients atteints de toxidermie peuvent avoir une mefiance vis-a-vis des medicaments ainsi qu’un retentissement sur leur qualite de vie. Nous avons cherche a evaluer cet impact via l’etude de la prise ulterieure de traitements chez ces patients. Methodes Un questionnaire a ete adresse aux patients atteints de toxidermie severe entre le 1er janvier 2009 et le 31 decembre 2019 et notifies au centre regional de pharmacovigilance ou adresses au service d’allergologie de l’hopital. Les dossiers medicaux des patients inclus ont ete etudies de maniere retrospective. Resultats Sur 24 questionnaires retournes, le nombre total median de medicaments repris etait de 12,5. Cette liste comporte des antibiotiques, des antalgiques, des medicaments a visee cardio-vasculaire, des psychotropes et des antihistaminiques. L’etude du dossier medical permettait d’identifier plus de medicaments repris que l’interrogatoire du patient, notamment ceux a prescription hospitaliere. Deux tiers des patients ayant realise un bilan allergologique ont recu une liste de medicaments autorises et/ou interdits. La communication autour de l’allergie entre patients et professionnels de sante semblait ameliorable. Deux tiers des patients connaissaient les medicaments responsables de leur reaction. Conclusion Le niveau d’information des patients sur leur reaction est variable. La reprise de certaines classes medicamenteuses, notamment a prescription hospitaliere, peut etre particulierement difficile a suivre pour eux. La recherche, par les professionnels de sante, des allergies medicamenteuses dans le dossier medical manque de fiabilite avec des informations parfois obsoletes, erronees ou qui manquent de visibilite. Ces difficultes de transmission d’information, ajoutees aux difficultes diagnostiques inherentes aux toxidermies, sont un risque pour le patient. La generalisation d’un passeport numerique d’allergie, compatible avec tous les logiciels de sante, nous apparait donc comme essentiel.
- Published
- 2021
4. Exploration en SDS-PAGE et IgE-immunoblot de 2 nouveaux cas d’anaphylaxie due à des cosmétiques au lait d’ânesse
- Author
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K. Swiontek, J. Litovsky, Aurélie Du-Thanh, Q. Landry, C. Hilger, and Jean-Luc Bourrain
- Subjects
Dermatology - Abstract
Introduction Les savons et emollients au lait d’ânesse (LA) sont plebiscites dans differents medias rappelant les celebres bains de Cleopâtre. Observations La patiente 1 (p1, 19 ans) sans allergie alimentaire, avec une dermatite atopique ancienne, signalait une eruption urticarienne generalisee avec malaise sans dyspnee lors de la 1re utilisation d’un savon, aggraves par l’application d’un emollient. La patiente 2 (p2, 47 ans), avec une urticaire chronique sous omalizumab et desloratadine depuis 1 an, des allergies alimentaires multiples type LTP, rapportait une urticaire generalisee avec angiœdeme du visage, malaise hypotensif et dyspnee sibilante au 3e jour d’application d’un nouvel emollient. Les cosmetiques incrimines contenaient du LA. Les 2 patientes rapportaient l’utilisation anterieure toleree de cosmetiques au LA sans (p2) ou avec un grand intervalle libre (p1). La declaration en cosmetovigilance etait realisee. Les prick-tests etaient positifs pour le LA frais ( Fig. 1 ). La p2 tolerait le lait de vache mais ni de chevre ni de brebis. Le SDS-PAGE du LA puis l’immunoblot IgE avec le serum des patientes, le LA et le lysozyme de LA purifie montraient un profil de sensibilisation a ce dernier ( Fig. 2 ). Discussion Seuls 5 cas de reactions d’HS immediate au LA ont ete decrits lors de l’application de cosmetiques ou de l’inhalation de lyophilisats en contexte professionnel ou de l’ingestion de LA. Dans ces derniers cas, l’utilisation de cosmetiques avait precede l’ingestion parfois de plusieurs annees, renforcant ainsi la theorie de sensibilisation par voie percutanee. Le long delai entre les applications de la petite enfance et a 19 ans de la patiente 1 fait suspecter une grande remanence de la sensibilisation malgre une eviction complete. L’utilisation prealablement bien toleree de cosmetiques par la patiente 2 evoque une rupture de tolerance (liee a une concentration en LA du nouvel emollient a 40 % vs les 5 a 15 % habituels ?). Chez 2 autres patientes en 2018 etait trouve un profil de sensibilisation identique contre le lysozyme du LA, aux proprietes conservatrices recherchees dans l’elaboration des cosmetiques. Les 5 cas decrits survenaient chez des atopiques : responsabilite du defaut de barriere cutanee ? biais d’utilisation plus assidue de cosmetiques dits « naturels » ? Ces cas rappellent les anaphylaxies decrites avec les cosmetiques contenant des proteines de soja ou d’isolats de ble, ayant fait l’objet d’une suppression apres de nombreuses declarations de cosmetovigilance. Enfin, l’utilisation concomitante d’huiles essentielles pour masquer l’odeur du LA complete le tableau de cosmetiques a risque de sensibilisation. Conclusion Ces 2 nouveaux cas alertent sur les dangers de l’utilisation de proteines sensibilisantes dans les cosmetiques, en particulier le LA, en particulier chez l’atopique, et rappellent l’utilite des declarations en cosmetovigilance.
- Published
- 2019
5. Allergic Contact Dermatitis to Tea Tree Oil With No Sensitization to Fragrance Markers.
- Author
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Samaran Q, Litovsky J, Girod M, Dereure O, and Raison-Peyron N
- Subjects
- Humans, Odorants, Patch Tests, Allergens adverse effects, Tea Tree Oil adverse effects, Dermatitis, Allergic Contact diagnosis, Dermatitis, Allergic Contact etiology, Perfume adverse effects
- Published
- 2024
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6. Omalizumab Drug Survival in Chronic Urticaria: A Retrospective Multicentric French Study.
- Author
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Litovsky J, Hacard F, Tétart F, Boccon-Gibod I, Soria A, Staumont-Sallé D, Doutre MS, Amsler E, Mansard C, Dezoteux F, Darrigade AS, Milpied B, Bernier C, Perrot JL, Raison-Peyron N, Paryl M, Droitcourt C, Demoly P, Grosjean J, Mura T, and Du-Thanh A
- Subjects
- Humans, Omalizumab therapeutic use, Retrospective Studies, Quality of Life, Chronic Disease, Chronic Inducible Urticaria, Treatment Outcome, Anti-Allergic Agents therapeutic use, Urticaria drug therapy, Urticaria chemically induced, Chronic Urticaria drug therapy
- Abstract
Background: Omalizumab (OMA) dramatically improves disease control and quality of life in patients with chronic urticaria (CU)., Objective: We aimed to evaluate the discontinuation patterns of OMA and their determinants in a cohort of French patients with CU., Methods: We conducted a retrospective multicenter study in 9 French tertiary referral hospitals. All patients diagnosed with either spontaneous (CSU) and/or inducible (CIndU) CU who received at least 1 injection of OMA between 2009 and 2021 were included. We analyzed OMA drug survival and investigated possible determinants using Kaplan-Meier curves and log-rank tests., Results: A total of 878 patients were included in this study; 48.8% had CSU, 10.1% CIndU, and 41.1% a combination of both. OMA was discontinued in 408 patients, but the drug was later reintroduced in 50% of them. The main reason for discontinuing treatment was the achievement of a well-controlled disease in 50% of patients. Half of the patients were still being treated with OMA 2.4 years after the initiation of treatment. Drug survival was shorter in patients with CIndU and in those with an autoimmune background. In atopic patients, OMA was discontinued earlier in patients achieving a well-controlled disease. A longer OMA drug survival was observed in patients with a longer disease duration at initiation., Conclusion: In French patients with CU, the drug survival of OMA appears to be longer than that observed in previous studies conducted elsewhere, highlighting discrepancies in prescription and reimbursement possibilities. Further studies are warranted to develop customized OMA treatment schemes based on individual patterns., (Copyright © 2023 American Academy of Allergy, Asthma & Immunology. Published by Elsevier Inc. All rights reserved.)
- Published
- 2023
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7. Severe allergic contact dermatitis to coumarin contained in a perfume mimicking skin drug reaction.
- Author
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Raison-Peyron N, Litovsky J, Samaran Q, and Dereure O
- Subjects
- Humans, Skin, Patch Tests, Coumarins, Perfume, Dermatitis, Allergic Contact diagnosis, Dermatitis, Allergic Contact etiology, Drug-Related Side Effects and Adverse Reactions
- Published
- 2023
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8. Cold contact urticaria triggered by a permanent tattoo.
- Author
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Raison-Peyron N, Litovsky J, Huet P, and Dereure O
- Subjects
- Adult, Cold Temperature, Female, Humans, Anaphylaxis, Tattooing adverse effects, Urticaria chemically induced
- Abstract
Cold contact urticaria is an inducible urticaria triggered by exposure to cold air, liquids, or objects. Symptoms may range from mild, localized urticaria to genuine anaphylaxis particularly after extensive contact of large skin areas to cold. Treatment mainly requires a strict avoidance of cold exposure and the use of second-generation H1 antihistamine. In most cases, it is not associated with any specific etiology although in rare cases it can be secondary to various associated diseases or triggered by a number of external factors. We present the observation of a 38-year-old woman for whom cold contact urticaria began on a recent tattoo area., (© 2020 Wiley Periodicals LLC.)
- Published
- 2021
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