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Este trabajo estudia la presencia de la materia de Bretaña en textos vinculados a la tradición del Liber regum. En primer lugar, analiza la sección dedicada a los reyes de Bretaña de dicha tradición, tratando de demostrar que esta se encontraba ya en la redacción original del Liber regum, aunque no se recoge en el único manuscrito que conserva este texto (el códice villarense). Se estudian además los añadidos del texto navarro frente a su fuente (el Roman de Brut) y sus conexiones con otras piezas artúricas. A continuación, se valora la recepción del «Linaje de los reyes de Bretaña» compuesto en Navarra por parte de Pedro de Barcelos, tanto en el Livro de linhagens como en la Crónica de 1344, analizando las escasas innovaciones relacionadas con la leyenda artúrica que en ellos se introducen. En apéndice se ofrece el «Linaje de los reyes de Inglaterra» de la Crónica de 1344, hasta ahora inédito. Ce travail étudie la présence de la matière de Bretagne dans des textes liés à la tradition du Liber regum. En premier lieu, il analyse la section consacrée aux rois de Bretagne dans cette tradition, afin de démontrer que celle-ci figurait déjà dans la première rédaction du Liber regum, bien qu'elle n'apparaisse pas dans le seul manuscrit qui conserve le texte (le codex villarencis). Il étudie en outre les ajouts que le texte navarrais apporte à sa source (le Roman de Brut) et ses rapports à d'autres œuvres arthuriennes. Ensuite, il traite de la transmission du texte « Lignage des rois de Bretagne » composé en Navarre par Pedro de Barcelos, d'une part dans le Livro de linhagens, d'autre part dans la Crónica de 1344, et analyse les rares innovations concernant la légende arthurienne que présentent ces deux œuvres. En appendice figure le « Lignage des rois d'Angleterre » de la Crónica de 1344, jusqu'à présent inédit.

Alors que les chroniques chrétiennes du Nord péninsulaire développent le mythe néo-wisigothique afin de légitimer le pouvoir des rois castillano-léonais et la reconquête contre les Maures, défendant ainsi une continuité ethnique et dynastique entre les Wisigoths, les Léonais et les Castillans, le Liber regum s’éloigne de cette idéologie proprement léonaise et assoit le pouvoir de la dynastie du Restaurateur navarrais García Ramírez sur une continuité de la terre et de la gent qui l’occupe. À partir de l’étude du concept de terre, le sens politique du Liber regum semble défendre les restaurateurs, et la terre navarraise se fait ainsi le creuset du territoire hispanique.Mientras que las crónicas cristianas del norte peninsular desarrollan el mito neo-visigótico para legitimar el poder de los reyes castellano-leoneses y la reconquista contra los moros, defendiendo así una continuidad étnica y dinástica entre los godos, los leoneses y los castellanos, el Liber regum se aparta de esta ideología propiamente leonesa y asienta el poder de la dinastía del Restaurador navarro García Ramírez en una continuidad de la tierra y de la gente que la ocupa. Partiendo del estudio del concepto de tierra, el sentido político del Liber regum parece defender a los restauradores, y la tierra navarra se vuelve así el crisol del territorio hispánico.

Este estudio se propone confrontar detenidamente el contenido del Linage de Rodric Diaz, genealogía del Cid integrada en la parte final del Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum), con su principal fuente, la Historia Roderici. Dicha comparación permite poner de realce los procedimientos de abreviación, de condensación y de reescritura que dan paso a la nueva semantización del texto y de su contenido ideológico en un contexto geopolítico y de redacción diferente. La confrontation minutieuse du contenu du Linage de Rodric Diaz, fragment intégré à la partie finale du Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum), et de celui de sa principale source, l’Historia Roderici, permet de mettre l’accent sur les procédés d’abréviation, de condensation et de réécriture conduisant à la nouvelle sémantisation du texte et de son contenu idéologique dans un contexte géopolitique et rédactionnel différent.

A subida de Urraca I (1109-1126) ao trono do reino de Leão e Castela como sucessora de Afonso VI (1072-1109) representou, como atestam vários testemunhos escritos, um acontecimento problemático para os seus contemporâneos. Consoante a posição que assumem perante este facto, os textos historiográficos peninsulares não deixaram de fornecer argumentos e justificações que favoreciam ou que, pelo contrário, atacavam o papel da filha de Afonso VI. Partindo da análise do catálogo das mulheres de Afonso VI em dois desses textos -O Chronicon Regum Legionensium e o Liber Regum Villarensis-, este artigo procura problematizar não apenas o lugar de Urraca no quadro genealógico das mulheres e da descendência de Afonso VI, mas também avaliar de que modo estas relações genealógicas são apresentadas por cada um destes textos, para legitimar ou denegrir a rainha de Leão e Castela e, através dela, a dinastia a que esta pertence. Comme on le constate à travers plusieurs témoignages écrits, l’accession au trône de León et Castille d’Urraque (1109-1126), succédantà Alphonse VI (1072-1109), fut perçue par ses contemporains comme un fait de nature problématique. Selon la position qu’ils adoptent, les textes historiographiques hispaniques fournissent autant d’arguments et de justifications favorables ou hostiles au rôle politique de la fille d’Alphonse VI. À partir de l'analyse de la liste des femmes d’Alphonse VI dans le Chronicon regum Legionensium de Pélage d’Oviedo et du Liber regum Villarensis, cet article s’intéresse non seulement à la place d’Urraque dans la généalogie des femmes et de la descendance d’Alphonse VI mais tente aussi de montrer comment ces relations généalogiques sont présentées dans chacun de ces textes afin de légitimer ou discréditer la reine de Léon et Castille et, à travers elle, sa propre dynastie.

Este estudio se propone confrontar detenidamente el contenido del Linage de Rodric Diaz, genealogía del Cid integrada en la parte final del Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum), con su principal fuente, la Historia Roderici. Dicha comparación permite poner de realce los procedimientos de abreviación, de condensación y de reescritura que dan paso a la nueva semantización del texto y de su contenido ideológico en un contexto geopolítico y de redacción diferente.La confrontation minutieuse du contenu du Linage de Rodric Diaz, fragment intégré à la partie finale du Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum), et de celui de sa principale source, l’Historia Roderici, permet de mettre l’accent sur les procédés d’abréviation, de condensation et de réécriture conduisant à la nouvelle sémantisation du texte et de son contenu idéologique dans un contexte géopolitique et rédactionnel différent.

Partindo da identificação e localização dos primeiros usos do termo «linhagem» e dos seus equivalentes nas várias línguas de raiz latina da Península Ibérica ao longo do séc. XIII, o presente estudo identifica dois envolvimentos semânticos que caracterizam esse uso, tanto em textos literários como documentais da mais variada tipologia: por um lado, um sentido que se refere à ascendência-descendência de um dado indivíduo, numa tradição que parece próxima da que se detecta no Liber Regum; por outro, um sentido que identifica «linhagem» com um grupo de parentes de sangue coexistentes num dado espaço, não sendo fácil identificar contextos discursivos em que ambas as acepções se combinem.Partant de l’identification des premiers usages du mot «linhagem» et de ses équivalents en langues ibériques néo-latines au long du XIIIe siècle, on repère dans des textes littéraires et documentaires de typologies diverses deux spécialisations sémantiques de ce terme. D’un côté, «linhagem» désigne l’ascendance-descendance d’un individu précis, dans une tradition qui semble proche de celle du Liber Regum; de l’autre côté, le même mot désigne un groupe synchronique de parents consanguins habitant dans la même région. La coexistence des deux acceptions dans un même contexte discursif est rare.

A subida de Urraca I (1109-1126) ao trono do reino de Leão e Castela como sucessora de Afonso VI (1072-1109) representou, como atestam vários testemunhos escritos, um acontecimento problemático para os seus contemporâneos. Consoante a posição que assumem perante este facto, os textos historiográficos peninsulares não deixaram de fornecer argumentos e justificações que favoreciam ou que, pelo contrário, atacavam o papel da filha de Afonso VI. Partindo da análise do catálogo das mulheres de Afonso VI em dois desses textos -O Chronicon Regum Legionensium e o Liber Regum Villarensis-, este artigo procura problematizar não apenas o lugar de Urraca no quadro genealógico das mulheres e da descendência de Afonso VI, mas também avaliar de que modo estas relações genealógicas são apresentadas por cada um destes textos, para legitimar ou denegrir a rainha de Leão e Castela e, através dela, a dinastia a que esta pertence.Comme on le constate à travers plusieurs témoignages écrits, l’accession au trône de León et Castille d’Urraque (1109-1126), succédantà Alphonse VI (1072-1109), fut perçue par ses contemporains comme un fait de nature problématique. Selon la position qu’ils adoptent, les textes historiographiques hispaniques fournissent autant d’arguments et de justifications favorables ou hostiles au rôle politique de la fille d’Alphonse VI. À partir de l'analyse de la liste des femmes d’Alphonse VI dans le Chronicon regum Legionensium de Pélage d’Oviedo et du Liber regum Villarensis, cet article s’intéresse non seulement à la place d’Urraque dans la généalogie des femmes et de la descendance d’Alphonse VI mais tente aussi de montrer comment ces relations généalogiques sont présentées dans chacun de ces textes afin de légitimer ou discréditer la reine de Léon et Castille et, à travers elle, sa propre dynastie.

L’attribution à Rodrigue Diaz du titre de princeps dans la charte de donation à la cathédrale de Valence en 1098 et celui de princeps super militiam regis dans l’Historia Roderici révèlent deux attitudes très différentes envers le personnage. Le premier titre veut souligner l’autonomie de la principauté valencienne et présente Rodrigue comme menant la reconquête et la croisade hispaniques de sa propre volonté. Le second présente Rodrigue comme le sénéchal du roi Sanche, tombé par la suite en disgrâce du fait de la jalousie d’Alphonse et de ses courtisans, ce qui oblige le héros exilé à agir malgré lui. Le Carmen Campidoctoris reprend les deux titres, mais le premier est employé d’une façon éminemment honorifique, tandis que l’emploi du second révèle l’influence textuelle et idéologique de la biographie latine.La atribución a Rodrigo Díaz del título de princeps en el acta de dotación de la catedral de Valencia en 1098 y el de princeps super militiam regis en la Historia Roderici revelan dos actitudes profundamente distintas. La primera intitulación pretende subrayar la autonomía del señorío valenciano y reforzar el carácter de Rodrigo como caudillo de la reconquista y la cruzada hispánicas por voluntad propia. La segunda equivale a representar a Rodrigo como alférez del rey Sancho, luego caido en desgracia por la envidia del rey Alfonso y de sus cortesanos, por lo que, héroe perseguido, se ve empujado a actuar en el destierro por decisiones ajenas. El Carmen Campidoctoris recoge ambas titulaciones, pero la primera con un sentido eminentemente honorífico, mientras que la segunda revela su dependencia textual e ideológica respecto de la biografía latina.

L’étude des types de verbes et des temps verbaux employés dans le Liber Regum nous permet de conclure que les concepts de devoir et de cause n’existent pas pour l’auteur de l’œuvre. Seule l’action en soi est importante pour lui. Le rédacteur cherche à souligner l’action, et l’action pour l’action. Pour y parvenir, il se place volontiers dans le passé, son temps verbal favori, ce qui lui permet de mettre en relief un autre facteur : l’appartenance des rois aux lignages qui constituent le vrai protagoniste et l’objectif de son travail. Ces traits linguistiques sont, en même temps, les caractéristiques les plus remarquables des textes historiques « nus », dépourvus de toute intention théorique ou de toute réflexion. Ces silences ont une signification. De même que dans un texte musical, les silences servent à bâtir le sens global du texte. On respecte aussi là le principe structural de l’interdépendance de tous les éléments d’un système.El estudio de los tipos de verbos y de los tiempos verbales empleados en el Liber Regum nos permite concluir que los conceptos de deber y de causa no existen para el autor de la obra, solamente la acción en sí misma tiene importancia para él. El redactor de estas páginas busca subrayar la acción, la acción por la acción, y, para conseguirlo, se sitúa en el pasado, su tiempo verbal preferido, lo que le permite poner de relieve otro factor, la pertenencia de sus reyes a los linajes que constituyen su verdadero protagonista y el objetivo de su trabajo. Aquellos rasgos lingüísticos, al mismo tiempo, son las características más notables de los textos históricos “desnudos”, desprovistos de toda intención teórica y de toda reflexión. Esos silencios tienen significación. De la misma manera que en un texto musical, los silencios sirven para construir el sentido global del texto. Se respeta así el principio estructural de la interdependencia de todos los elementos de un sistema.

Este trabajo intenta ofrecer una valoración conjunta de la historia textual del Liber regum, haciendo inventario de todos los textos derivados de esta obra que han sido identificados y explorando las relaciones que existen entre ellos y respecto del texto original, en especial por lo que respecta a las piezas historiográficas. El estudio textual se centra en particular en las obras de Pedro de Barcelos, e intenta contribuir a esclarecer el problema de las versiones conocidas por don Pedro y los usos que hizo de ellas, lo que tiene repercusiones para el conocimiento de la versión toledana del Liber regum. Asimismo, se exploran las relaciones entre los textos gallegos que muestran alguna conexión con la tradición del Liber regum. El artículo se cierra con una propuesta de stemma y con una serie de conclusiones en las que se incide en el valor de las versiones y derivados del Liber regum para el establecimiento del texto original. Una serie de apéndices tocan temas puntuales, y el último de ellos da noticia de un manuscrito hasta ahora no utilizado del Libro de las generaciones.Ce travail propose une évaluation d’ensemble de l’histoire textuelle du Liber regum, en passant en revue tous les textes dérivés de cette œuvre qui ont été identifiés et en explorant les relations qui existent entre eux ainsi que leur rapport avec le texte original, notamment en ce qui concerne les pièces historiographiques. L’étude textuelle s’intéresse en particulier aux oeuvres de Pedro de Barcelos, ettente d’apporter sa contribution à l’élucidation du problème des versions connues de don Pedro et des usages qu’il en a fait, ce qui a des répercussions sur la connaissance de la version tolédane du Liber regum. Dans cet article, l’auteur explore également les relations entre les textes galiciens qui montrent quelque connexion avec la tradition du Liber regum. L’article s’achève par une proposition de stemma et une série de conclusions dans lesquelles l’auteur insiste sur la valeur des versions et dérivés du Liber regum pour l’établissement du texte original. Une série d’appendices concerne des thèmes ponctuels et le dernier d’entre eux rend compte de l’existence d’un manuscrit jusqu’alors inutilisé du Libro de las generaciones.

International audience; El Liber regum, según la versión propuesta por el Códice Villarensis, basa la relación genealógica de los reyes de Navarra en una reelaboración mítica de la misma destinada a legitimar el linaje de Sancho VII. Pero va más allá: tanto la fecha de composición del relato marco, como su forma y contenido, o el monarca a quien iba destinado, permiten que el Liber regum sea también artificio de una renovación política e ideológica.; Le Liber regum, selon la version du Codex Villarensis, fonde la narration généalogique des rois de Navarre sur une réélaboration mythique de celle-ci, destinée à légitimer le lignage de Sanche VII. En outre, la date de composition du récit-cadre, sa forme, son contenu, et le monarque à qui il était destiné, permettent au Liber regum d'être aussi l'artifice d'une rénovation politique et idéologique.

International audience; Se exponen en este artículo unas cuantas reflexiones suscitadas por la preparación de una edición digital del Liber regum (o Libro de las generaciones y linajes de los reyes). Gracias a las posibilidades que ofrece la informática, esta nueva edición podrá proponer varios niveles de acercamiento al texto. Dos transcripciones completarán la entrega de la reproducción fotográfica del manuscrito: la primera, destinada a los investigadores, a los lingüistas y filólogos, respetará la lengua y las formas con vistas a un estudio en el marco de la filología histórica; la segunda, "normalizada" y más accesible, se concibe como instrumento de trabajo para lectores e investigadores deseosos de acceder directamente al texto y de poder "interrogar" su contenido mediante una búsqueda lexicográfica. La edición se publicará en 2011 en la colección en línea Les Livres d'e-Spania.; Dans cet article, l'auteur présente quelques réflexions suscitées par la préparation d'une édition numérique du Liber regum (ou Libro de las generaciones y linajes de los reyes). Grâce aux possibilités offertes par l'outil informatique, cette nouvelle édition proposera plusieurs approches du texte. Deux transcriptions seront mises en regard de la reproduction photographique du manuscrit : la première, destinée aux chercheurs, aux linguistes et aux philologues, s'attachera à respecter la langue et les formes pour permettre une étude de philologie historique ; la seconde, " normalisée " et plus accessible, est conçue comme un outil de travail pour les chercheurs désirant accéder directement au texte et souhaitant " interroger " son contenu par une recherche lexicographique. L'édition sera publiée en 2011 dans la collection en ligne Les Livres d'e-Spania.

A presença do Liber regum em Portugal é normalmente associada ao Livro de Linhagens ou à Crónica de 1344, as mais conhecidas obras de D. Pedro, Conde de Barcelos, onde diferentes redacções dessa obra genealógica navarra são extensamente transcritas. Todavia, são conhecidas desde os pioneiros estudos de Luís Filipe de Lindley Cintra e de Diego Catalán outras realizações historiográficas, embora de pequena dimensão, que também fizeram uso do Liber regum, por vezes numa época que é forçoso considerar muito recuada. O Livro Velho de Linhagens, a Primeira Crónica Portuguesa, uma pequena crónica castelhana perdida e a mais antiga tradução de uma crónica castelhana pós-alfonsina são os textos onde o presente estudo se detém, tentando mostrar que são provenientes tanto da corte régia portuguesa como de grupos da aristocracia em busca de uma representação autónoma do passado histórico, num período que precede a actividade historiográfica de D. Pedro, Conde de Barcelos.La présence du Liber regum au Portugal est d'ordinaire réduite au Livro de Linhagens et à la Crónica de 1344, les œuvres les plus connues de D. Pedro, comte de Barcelos, où différentes rédactions de ce livre généalogique navarrais sont transcrites de façon détaillée. Pourtant, depuis les études pionnières de Luís Filipe de Lindley Cintra et de Diego Catalán, on connaît d'autres textes historiographiques, quoique de moindre dimension, ayant également utilisé le Liber regum, parfois à une époque que l'on doit considérer fort reculée. Le Livro Velho de Linhagens, la Primeira Crónica Portuguesa, une petite chronique castillane perdue et la plus ancienne traduction d'une chronique castillane post-alphonsine, sont les textes sur lesquels le présent essai se centrera, afin d’essayer de montrer qu'ils proviennent soit de la cour royale portugaise, soit de groupes aristocratiques en quête d'une représentation autonome du passé historique, à une période qui précède l'activité historiographique du comte Pedro de Barcelos.