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The challenge of delabeling amoxicillin allergy is an important issue for patients and clinicians, especially when anaphylaxis is reported. A recent study has proposed a clinical decision rule, PEN-FAST, to identify low-risk penicillin allergies.To validate the PEN-FAST clinical decision rule in a population with high risk of suspected immediate amoxicillin allergy and to identify clinical predictive factors of amoxicillin immediate hypersensitivity.We retrospectively analyzed medical records of patients with a suspected immediate amoxicillin allergy who carried out an allergologic evaluation by a specialist in the Allergy Unit of Strasbourg University Hospital from 2015 to 2020.A total of 142 adult patients (88 women [62.0%]; median age, 52 [interquartile range, 40.3-62.0] years) were analyzed. Most of them reported anaphylaxis (68.8%). Internal validation of PEN-FAST score revealed a good discrimination with area under the curve of 0.86 (95% confidence interval, 0.79-0.92). A cutoff of less than 3 points for PEN-FAST was used to classify 29 from 142 patients at low risk of allergy, of whom only 2 (6.9%) received positive results of allergy testing. The negative predictive value for successful delabeling was 0.93 (95% confidence interval, 0.77-0.99). Predictive clinical features for immediate amoxicillin hypersensitivity were time since reaction (P.001), time elapsed between drug intake and first symptom (P.001), severity grade reaction (P.001), and treatment or hospitalization required (P.001).PEN-FAST has been validated to identify low-risk penicillin allergies in our European cohort of patients mainly reporting anaphylaxis. This is the first reported external validation of a penicillin allergy clinical decision rule internationally.

Background Viral infections are known to exacerbate asthma in adults. Previous studies have found few asthmatics among SARS-CoV-2 pneumonia cases. However, the relationship between SARS-CoV-2 infection and severe asthma exacerbation is not known. Objective We assessed the frequency of asthma exacerbation in asthmatic patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia and compared symptoms laboratory and radiological findings in asthmatic and non-asthmatic patients with SARS-CoV-2 pneumonia. Methods We included 106 patients between March 4 and April 6, 2020, who were hospitalized in the Chest Diseases Department of Strasbourg University Hospital; 23 were asthmatics. To assess the patients’ asthma status, three periods were defined: the last month before the onset of COVID-19 symptoms (p1), pre-hospitalization (p2) and during hospitalization (p3). Severe asthma exacerbations were defined according to GINA guidelines during p1 and p2. During p3, we defined severe asthma deterioration as the onset of breathlessness and wheezing requiring systemic corticosteroids and inhaled beta-2-agonist. Results We found no significant difference between asthmatics and non-asthmatics in terms of severity (length of stay, maximal oxygen flow needed, non-invasive ventilation requirement and ICU transfer). 52.2% of the asthmatic patients were Gina 1. One patient had a severe exacerbation during p1, two patients during p2, and five patients were treated with systemic corticosteroids and inhaled beta-2-agonist during p3. Conclusion Our results demonstrate that asthmatic patients appeared not to be at risk for severe SARS-CoV-2 pneumonia. Moreover, SARS-CoV-2 pneumonia did not induce severe asthma exacerbation., Highlights box: 1. What is already known about this topic? Asthmatic patients are rare in epidemiological studies of SARS-CoV-2 pneumonia. 2. What does this article add to our knowledge? Being asthmatic is not a risk factor for severe SARS-CoV-2. 3. How does this study impact current management guidelines? SARS-CoV-2 pneumonia may not induce severe asthma exacerbation.

Introduction Au cours d’un choc anaphylactique le medecin anesthesiste-reanimateur (MAR) en charge du patient emet souvent une hypothese quant a l’agent potentiellement responsable, basee sur la symptomatologie clinique, la nature du medicament et la chronologie de l’administration. Il est frequent en consultation (MAR ou Allergologue) que le patient rapporte une reaction ancienne aux curares, sans qu’un bilan allergologique ait ete effectue. L’objectif de cette etude etait d’identifier avec quelle frequence l’hypothese initiale du MAR concernant l’allergie aux curares etait confirmee par le bilan allergologique. Methodes De 2014 a 2020, dans le cadre de l’etude Alpho, les MAR ont systematiquement adresse en consultation d’allergologie du CHU de Strasbourg les patients suspects d’une reaction anaphylactique aux curares. En utilisant les conclusions du bilan allergologique (basees sur l’analyse de la chronologie de la reaction, les tests cutanes et biologiques par un allergologue specialise et un MAR expert) comme reference, nous avons evalue la valeur diagnostique du MAR pour diagnostiquer l’allergie aux curares. Resultats Sur la periode, 26 patients ont ete inclus (grade I/II n = 3,grade III n = 15, grade IV n = 8). Le diagnostic d’allergie aux curares a ete confirme chez 20 patients (76 %), ayant tous presente une reaction severe de grade III ou IV. La VPP du diagnostic du MAR etait de 76 %, s’elevant a 87 % en considerant uniquement les reactions severes. Lorsque le diagnostic n’a pas ete retenu, il s’agissait d’un patient au bilan negatif et de 5 reactions d’histaminoliberation (3 reactions grade I et II,2 grade III) Discussion Bien que l’echantillon soit de taille reduite et qu’il existe un biais de selection (seuls les patients adresses en consultation par les MAR ont ete inclus, impossible donc de calculer la VPN), nos resultats montrent que si le MAR a pense que le curare etait le responsable de la reaction, le bilan l’a confirme frequemment, notamment lorsque la reaction etait severe. Conclusion L’avis du MAR donne au moment de la reaction est important a prendre en compte pour le conseil allergologique, notamment en cas de reaction ancienne mal documentee, lorsque celle-ci avait ete severe.

Introduction La prise en charge des patients rapportant une allergie a l’amoxicilline et la remise en question de ce diagnostic souvent mentionne a tort dans les dossiers medicaux reste une reelle difficulte pour les medecins, en particulier lorsqu’une anaphylaxie est rapportee. Recemment, un outil d’aide a la decision « PEN-FAST », etabli sur un score clinique facile a evaluer, a ete valide dans une population australienne et americaine pour permettre l’identification des patients a faible risque d’allergie, et qui pourraient beneficier directement d’un test de provocation. L’objectif de notre etude etait de valider le PEN-FAST dans une population fortement suspecte d’allergie a l’amoxicilline et d’identifier les facteurs predictifs d’hypersensibilite IgE-mediee a l’amoxicilline. Methodes Nous avons analyse retrospectivement les dossiers medicaux des patients evalues pour une suspicion d’allergie immediate a l’amoxicilline dans l’Unite d’Allergologie du CHU de Strasbourg entre 2015 a 2020. Resultats Au total 142 patients (88 femmes [62,0 %] ; âge median, 52 ans [IQR 40,3–62,0]) ont ete analyses, rapportant pour la plupart une anaphylaxie (68,3 %). La validation interne du PEN-FAST etait satisfaisante, avec une aire sous la courbe a 0,86 (95 % IC, 0,79–0,92) et une valeur predictive negative de 0,93 (95 % IC, 0,77-0,99). Les facteurs cliniques predictifs d’hypersensibilite IgE-mediee a l’amoxicilline etaient le temps ecoule depuis la reaction (p Conclusion Nous avons valide le PEN-FAST pour identifier les patients a faible risque d’allergie a l’amoxicilline, dans notre large cohorte de patients rapportant majoritairement une anaphylaxie. Il s’agit de la premiere validation externe rapportee d’un outil d’aide a la decision dans l’allergie a la penicilline valide au niveau international.

Introduction L’apparition precoce de sensibilisations allergeniques et leur caractere multiple parait favoriser un asthme persistant et plus severe au cours de l’enfance, d’ou l’importance de leur mise en evidence en terme de pronostic. Notre objectif est de decrire les sensibilisations identifiees par la puce ImmunoCAP® ISAC (Thermofischer) dans une cohorte d’enfants asthmatiques d’âge prescolaire et d’evaluer son apport en regard des explorations allergologiques d’usage courant. Methodes Les donnees cliniques et les resultats des explorations allergologiques : puce ISAC® (n = 98), tests cutanes (TC) (n = 89) et tests multi-allergeniques (TMA) Phadiatop®/trophatop® (n = 96) ont ete recueillies chez 98 enfants asthmatiques de 1 a 5 ans, inclus durant une exacerbation severe au sein de la cohorte prospective lilloise VIRASTHMA2. Resultats A l’inclusion, 70 % etaient exacerbateurs frequents (≥ 2 en 6 mois). Une maladie allergique autre que l’asthme etait retrouvee dans 56 % des cas (dermatite atopique : 37 %, allergie alimentaire : 8 %). 28 % presentait une polysensibilisation (≥ 2 allergenes). Sur les donnees ISAC® : acariens (30 %), chat (18 %), chien (8 %), graminees (9 %), arachide (7 %) et œuf (7 %) etaient les allergenes les plus frequemment retrouves. Les donnees comparatives des tests allergologiques sont decrites en Fig. 1 . Dans notre population, par rapport aux TC et aux TMA, la puce ISAC® a permis de rattraper respectivement 6,7 % et 3,1 % de sensibilisations. Ces sensibilisations etaient principalement dirigees vers les chats et les acariens. Conclusion Des discordances entre TC/TMA et puce ISAC® ont ete identifiees. La puce ISAC® complete l’evaluation des sensibilisations. La valeur predictive de l’histoire naturelle clinique et fonctionnelle de l’asthme sera evaluee prospectivement en precisant l’apport de cette puce.

Introduction L’hypersensibilite immediate a l’amoxicilline est l’une des plus frequentes hypersensibilites medicamenteuses. Le bilan allergologique de ces hypersensibilites est bien codifie. Il nous a paru interessant d’etudier celles explorees dans notre unite et de les comparer aux donnees de la litterature. Methodes Nous avons collige de facon retrospective les dossiers des patients pris en charge dans notre service de janvier 2015 a decembre 2019 pour lesquels le diagnostic d’hypersensibilite immediate a l’Amoxicilline a ete retenu au terme du bilan allergologique. Tous ont ete soumis a un interrogatoire allergologique detaille, a des tests cutanes a lecture immediate a l’amoxicilline et a la penicilline G selon les recommandations de l’EAACI. Certains ont beneficie du dosage d’IgE specifiques de l’amoxicilline (Thermoscientific/Phadia, seuil de positivite 0,10 kU/L). En cas de negativite, ces investigations ont ete completees pour certains par un TPO a l’Amoxicilline. Tous ont beneficie d’un TPO au Cefuroxime. Resultats Nous avons collige 111 patients, majoritairement des adultes (110) de sexe feminin (57,7 %), et d’âge moyen 53,1 ans. Les patients ont developpe des reactions de grade III (62,2 %), II (24,3 %) ou I (13,5 %) selon la classification de Ring et Messmer. 75,7 % des patients ont rapporte une prise anterieure de Penicilline potentiellement sensibilisante. Le delai median du bilan allergologique etait de 151 jours. 55,9 % des patients presentaient des tests cutanes positifs. 40,5 % des patients avaient des IgE specifiques Amoxicilline positives. Le diagnostic a ete confirme par un TPO chez 7 patients. Pour la majorite des autres patients dont les investigations etaient negatives, le TPO etait contre-indique du fait de la gravite de la reaction ou du terrain associe. Tous les TPO au Cefuroxime etaient negatifs. Conclusion Notre serie est interessante car si les donnees demographiques sont superposables a celles publiees, nos delais d’investigations sont plus courts, nous rassemblons une proportion plus importante d’anaphylaxie de grade 3 et le dosage des IgE specifique est souvent contributif. Nous n’avons pas mis en evidence de reactivite croisee avec les cephalosporines de 2e et 3e generations.

To understand what is going on in France at the moment in the domain of computers and related communication technologies in teacher training, there are two major developments that have to be kept in mind. Firstly, the ways of becoming a teacher in France underwent major changes in 1991. It is therefore too early to come to general conclusions about the effects of this reform in the field of new information technologies. Secondly, French IT in schools policy has shifted from a large-scale centralized equipment operation, which provided microcomputers in each school from 1985 to 1987, to a more regional management of equipment funding, with less national piloting in the field. This paper describes what happened during the previous period and what is taking place now. With matters still evolving the paper represents a snapshot rather than an exhaustive survey; such a survey remains to be done.

no abstract