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Les équilibres entre musiques, sound design et ambiances sonores participent aux aspects narratifs et sensitifs de l’épisode 3 de la dernière saison de Game of Thrones : « The Long Night ». En effet, celui-ci concentre les tensions d’une bonne partie de la série dans un combat qui, à l’écran, joue sur l’imperceptibilité des scènes. Ainsi, le son, dans toute sa multiplicité, prend une réelle importance dans la perception de la narration et de l’impact sur le spectateur. Nous nous attacherons donc à montrer comment les différents éléments musicaux et, en particulier le sound design, œuvrent dans cet épisode. De la construction des identités sonores aux thèmes musicaux incarnés, des effets de mise en suspens à l’émotion du spectateur, le travail des sound designers12 et du compositeur accompagne la plongée du spectateur dans la diégèse paroxistique renforçant l’immersion spectatorielle. Le « son » des personnages, de leurs liens, de leur histoire, tant du point de vue de cet épisode que de la diégèse globale, possède une attention particulière signifiante. Tous ces éléments sont ici analysés dans le but de comprendre la construction sonore en lien avec le propos et l’image.

Aborder Nosfell, c’est entrer dans un univers complexe qui se deploie sur de multiples supports ecrits, enregistres, dessines, live. La voix etant l’instrument privilegie de cet artiste, qui pourrait a certains egards se classer dans le grand tout de la « chanson », son etude est apparue necessaire. Ainsi en convoquant les notions d’interpretation et de personnages, et en recontextualisant l’œuvre dans le domaine de la popular music, l’article s’interesse a la cosmogonie nosfellienne possedant une langue (le klokobetz), une contree (Klokochazia), des Etres la peuplant. L’enjeu principal ici est de decouvrir la facon dont Nosfell utilise sa voix : comme instrument, d’une part, au meme titre qu’une guitare ; comme incarnation de personnages, d’autre part. Cette etude a permis de definir quatre portraits-types vocaux personnifiant les Etres des recits de l’album pris comme corpus : Pomaie Klokochazia balek.

The effectiveness of natural enemies to control pests can be enhanced through habitat manipulation. However, due to the differences in their ecology, generalist and specialist species may respond differently to the same manipulation. Moreover, interactions among natural enemies (i.e. cannibalism, intraguild predation, hyperparasitism) may complicate the assumption that a higher density of natural enemies would increase the level of biological control. We investigated the natural enemy guild composition and the predation rate along flower vs. grass margins at the edge of winter wheat (Triticum aestivum) fields in Denmark. Natural enemies were sampled by pitfall trapping and by suction sampling; predation intensity was measured using two different sentinel prey methods: artificial caterpillars made of plasticine, and sentinel aphid colonies. Specialist and generalist species responded differently to the two margin types: specialists (mostly parasitic wasps) were attracted by the flower margins, while generalists (ground beetles, rove beetles and spiders) were more active in grass margins. The number of artificial caterpillars attacked was significantly greater in grass margins (mean = 48.9%, SD = 24.3) than in flower margins (mean = 30.7%, SD = 17.4). We found a significant positive relationship between the number of artificial caterpillars attacked by chewing insects, and activity density for large (≥15 mm) ground beetles. Predation of sentinel aphids in wheat fields did not vary significantly in relation to margin type. Our results suggest that flowering margins may be beneficial for canopy-active specialist natural enemies, but grassy margins are more useful for ground-active generalist predators.