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To reduce treatment burden and optimise patient outcomes in diabetic macular oedema, we present 1-year results from two phase 3 trials of faricimab, a novel angiopoietin-2 and vascular endothelial growth factor-A bispecific antibody.YOSEMITE and RHINE were randomised, double-masked, non-inferiority trials across 353 sites worldwide. Adults with vision loss due to centre-involving diabetic macular oedema were randomly assigned (1:1:1) to intravitreal faricimab 6·0 mg every 8 weeks, faricimab 6·0 mg per personalised treatment interval (PTI), or aflibercept 2·0 mg every 8 weeks up to week 100. PTI dosing intervals were extended, maintained, or reduced (every 4 weeks up to every 16 weeks) based on disease activity at active dosing visits. The primary endpoint was mean change in best-corrected visual acuity at 1 year, averaged over weeks 48, 52, and 56. Efficacy analyses included the intention-to-treat population (non-inferiority margin 4 Early Treatment Diabetic Retinopathy Study [ETDRS] letters); safety analyses included patients with at least one dose of study treatment. These trials are registered with ClinicalTrials.gov (YOSEMITE NCT03622580 and RHINE NCT03622593).3247 patients were screened for eligibility in YOSEMITE (n=1532) and RHINE (n=1715). After exclusions, 940 patients were enrolled into YOSEMITE between Sept 5, 2018, and Sept 19, 2019, and 951 patients were enrolled into RHINE between Oct 9, 2018, and Sept 20, 2019. These 1891 patients were randomly assigned to faricimab every 8 weeks (YOSEMITE n=315, RHINE n=317), faricimab PTI (n=313, n=319), or aflibercept every 8 weeks (n=312, n=315). Non-inferiority for the primary endpoint was achieved with faricimab every 8 weeks (adjusted mean vs aflibercept every 8 weeks in YOSEMITE 10·7 ETDRS letters [97·52% CI 9·4 to 12·0] vs 10·9 ETDRS letters [9·6 to 12·2], difference -0·2 ETDRS letters [-2·0 to 1·6]; RHINE 11·8 ETDRS letters [10·6 to 13·0] vs 10·3 ETDRS letters [9·1 to 11·4] letters, difference 1·5 ETDRS letters [-0·1 to 3·2]) and faricimab PTI (YOSEMITE 11·6 ETDRS letters [10·3 to 12·9], difference 0·7 ETDRS letters [-1·1 to 2·5]; RHINE 10·8 ETDRS letters [9·6 to 11·9], difference 0·5 ETDRS letters [-1·1 to 2·1]). Incidence of ocular adverse events was comparable between faricimab every 8 weeks (YOSEMITE n=98 [31%], RHINE n=137 [43%]), faricimab PTI (n=106 [34%], n=119 [37%]), and aflibercept every 8 weeks (n=102 [33%], n=113 [36%]).Robust vision gains and anatomical improvements with faricimab were achieved with adjustable dosing up to every 16 weeks, demonstrating the potential for faricimab to extend the durability of treatment for patients with diabetic macular oedema.F Hoffmann-La Roche.

Resume Objectif Evaluer le suivi et le devenir a long terme de l’acuite visuelle des patients dans les œdemes maculaires diabetiques (OMD) et lies aux occlusions veineuses retiniennes (OVR). Materiel et methode Nous avons mene une etude observationnelle retrospective de « vraie vie » monocentrique incluant 65 yeux de 47 patients traites pour OMD et 33 yeux de 33 patients traites pour œdeme maculaire compliquant une OVR entre juillet 2012 et octobre 2018. Les patients traites etaient naifs de tout traitement et ont ete suivi au moins un an. Nous avons recueilli les donnees telles que l’acuite visuelle, l’epaisseur maculaire centrale, les injections intra-vitreennes (nombre/an, schema d’injection, le nombre de switch), le nombre de visite et le nombre de perdu de vue. Resultats Pour les OMD : l’âge moyen a l’inclusion etait de 65,9 ans avec 60,4 % de femme et le suivi moyen de 28,5 mois. Le gain moyen d’acuite visuelle apres 1 an de suivi est de 6,4 lettres ETDRS pour les patients traites par anti-VEGF et de 2,6 lettres pour les patients traites par dexamethasone. Le nombre moyen d’injections intra-vitreennes d’anti-VEGF etait de 5,6/an, contre 2,9/an pour la dexamethasone. Quatorze patients initialement traites par anti-VEGF ont ete switches vers la dexamethasone. Pour les OVR, l’âge moyen a l’inclusion etait de 68,8 ans avec 54,5 % de femme et un suivi moyen de 31,1 mois. Le gain moyen d’acuite visuelle apres 1 an de suivi est de 26,7 lettres ETDRS pour les patients traites par anti-VEGF et de 7,0 lettres pour les patients traites par dexamethasone. Le nombre moyen d’injections intra-vitreennes d’anti-VEGF etait de 5,8/an, contre 2,4/an pour la dexamethasone. Cinq patients initialement traites par anti-VEGF ont ete switches vers la dexamethasone dans la premiere annee de suivi. Conclusion On retrouve dans cette etude retrospective de « vraie vie » des donnees anatomiques et fonctionnelles similaires a celles des etudes publiees, et se maintenant au cours du temps pour les patients atteints d’occlusion veineuse retinienne et d’œdeme maculaire diabetique.

Resume Introduction L’objectif de l’etude a ete d’etudier la reproductibilite ou la variabilite des delais des recidives exsudatives chez des patients ayant recu un traitement par injections intra-vitreennes (IVT) d’anti-VEGF (ranibizumab, aflibercept) dans le cadre d’une degenerescence maculaire liee a l’âge (DMLA) de type exsudative. Les donnees etudiees ont ete le nombre de recidives annuelles, la duree ecoulee entre la recidive et la derniere IVT ainsi que la fluctuation dans le temps chez un meme patient, et les modifications de prise en charge therapeutique de ces recidives exsudatives concernant la realisation d’un nouveau traitement d’induction de trois IVT, d’un changement de protocole de suivi, et d’un changement de molecule anti-VEGF. Materiels et methodes Nous avons mene une etude retrospective de « vraie-vie », monocentrique au CHU de Nantes, concernant 33 patients (42 yeux) qui ont ete inclus entre mars 2012 et mars 2017. Il s’agissait de patients naifs d’IVT, chez lesquels un traitement par IVT d’anti-VEGF a ete initie dans le cadre de la prise en charge d’une DMLA exsudative, avec une duree de suivi d’au moins deux annees consecutives. Le critere de jugement principal etait la fluctuation des delais de recidives pour un meme patient. Resultats Sur les 33 patients inclus, 9 presentaient une atteinte bilaterale, soit un total de 42 yeux. Vingt etaient des femmes (60,6 %), l’âge median a l’inclusion etait de 78,5 ans pour une duree de suivi de 3,7 annees. Le delai de recidive moyen etait de 11,6 semaines apres la derniere IVT. La 1re recidive survenait dans un delai de 9,8 semaines apres la derniere IVT. 12,3 % des yeux presentaient des delais de recidives fixes avec fluctuations inferieures a 2 semaines entre les differentes recidives sur les deux annees de suivi. Un total de 7,1 % des yeux ne presentaient aucune recidive exsudative dans la suite du suivi. La premiere recidive exsudative avait lieu en moyenne a 38,2 semaines de suivi apres le diagnostic de la pathologie soit 37,2 semaines apres la premiere IVT. Un total de 14,3 % des recidives ont conduites a la realisation d’un nouveau traitement d’induction de trois IVT d’anti-VEGF, 8,6 % ont conduites a un changement de molecule anti-VEGF, et 7,1 % a une modification du schema de traitement. Discussion Cette etude avait pour but d’etudier la variabilite des delais de recidive exsudative chez les patients traites par IVT d’anti-VEGF dans le cadre d’une DMLA exsudative, car depuis l’avenement des IVT d’anti-VEGF en 2007, peu de donnees existent concernant le suivi a long terme et les fluctuations des delais de recidive, a propos de patients qui beneficieront d’un traitement durant plusieurs annees. Conclusion Les delais de recidives ne sont pas reproductibles au cours du temps, notamment chez les patients ayant realise leur premiere recidive exsudative au-dela de 8 semaines et chez les patients presentant de nombreuses recidives exsudatives.

Resume Introduction L’objectif de cette etude est de rechercher des correlations anatomo-fonctionnelles chez les patients atteints de chorioretinopathie de Birdshot afin de mieux comprendre les mecanismes aboutissant a la perte de fonction visuelle. Materiel et methode Nous avons realise une etude prospective observationnelle monocentrique au CHU de Nantes incluant tous les patients suivis pour une maladie de Birdshot entre janvier 2019 et juillet 2019. Les parametres etudies etaient l’acuite visuelle, la microperimetrie, la perimetrie automatisee standard, l’OCT-SD, l’OCT-EDI, l’OCT-A, l’OCT-RNFL, les retinophotographies grand champ et les angiographies a la fluoresceine et a l’ICG. Resultats Quarante-quatre yeux ont ete etudies. Une correlation significative a ete retrouvee entre l’acuite visuelle et l’epaisseur retinienne (p = 0,002 r = 0,44) mais pas choroidienne (p = 0,16). Une correlation significative a egalement ete constatee entre la sensibilite retinienne et l’epaisseur maculaire de la retine totale (p Discussion Nous retrouvons des correlations significatives entre les parametres fonctionnels tels que l’acuite visuelle et la sensibilite retinienne et les parametres anatomiques retiniens et notamment avec la retine interne tandis qu’il n’y a pas de correlation mise en evidence avec les parametres anatomiques choroidiens. Conclusion Les principaux resultats de notre etude concordent en faveur d’une origine retinienne plutot que choroidienne a l’origine de la degradation de la fonction visuelle dans la maladie de Birdshot.

To measure the predictive values of relative afferent pupillary defect (RAPD) assessed semi-quantitatively, and visual acuity (VA) at onset of central retinal vein occlusion (CRVO), for neovascularization.Retrospective analysis of the TROXHEMO trial that included patients with CRVO within 30 days after the onset. Inclusion criteria were as follows: semi-quantitative RAPD assessment at diagnosis and/or at one month. RAPD was 'severe' if ≥ 0.9 log. Exclusion criteria were as follows: prophylactic panretinal photocoagulation (PRP) before neovascularization.Among the 119 patients enrolled in the main centre, 101 were analysed. 26 had a neovascular complication during the twelve months of follow-up: rubeosis (19), glaucoma (7) and posterior neovascularization (15). The mean time to onset of a neovascular complication was 4.7 months (1 to 12, median 3 months). All the patients who had a neovascular complication had RAPD at first examination or at one month (negative predictive value (NPV) = 100%) but the positive predictive value (PPV) was low (31%, 95% CI [21%; 42%]). The association 'severe RAPD or VA 35 letters (ETDRS) at inclusion or at one month' was the best compromise between PPV (53%, [39%; 68%]) and NPV (96%, [92%; 100%]).To predict neovascularization, RAPD should be routinely evaluated with filters: the risk of neovascular complication is (a) almost nil if there is no RAPD, (b) very low if there is no severe RAPD and if VA is higher than 35 letters, and (c) higher than 50% if RAPD is ≥ 0.9 log or if VA is less than 35 letters.

Background The epiretinal membrane (ERM) is a degenerative condition associated with age, which can cause loss of vision and/or metamorphopsia. The treatment of symptomatic ERM involves surgical removal including a vitrectomy followed by peeling of the ERM using a microforceps. As the internal limiting membrane (ILM) is adherent to the ERM, it is sometimes removed with it (spontaneous peeling). If ILM remains in place, it can be removed to reduce ERM recurrence. However, it is important to clarify the safety of ILM peeling, while it increases surgical risks and cause histological disorganization of the retina that can lead to microscotomas, may be responsible for definitive visual discomfort. Methods PEELING is a prospective, randomized, controlled, single-blind, and multicentered trial with two parallel arms. This study investigates the benefit/risk ratio of active ILM peeling among individuals undergoing ERM surgery without spontaneous ILM peeling. Randomization is done in the operating room after ERM removal if ILM remains in place. After randomization, the two groups—“active peeling of the ILM” and “no peeling of the ILM”—are compared during a total of three follow-up visits scheduled at month 1, month 6, and month 12. Primary endpoint is the difference in microscotomas before surgery and 6 months after surgery. Patients with spontaneous peeling are not randomized and are included in the ancillary study with the same follow-up visits and the same examinations as the principal study. Relevant inclusion criteria involve individuals aged > 18 years living with idiopathic symptomatic ERM, including pseudophakic patients with transparent posterior capsule or open capsule or lensed patients with age-related cataracts. The calculated sample size corresponds to 53 randomized eyes (one eye/patient) per arm that means 106 randomized eyes (106 randomized patients) in total and a maximum of 222 included patients (116 spontaneous peeling). Discussion ILM peeling is often practiced in ERM surgery to reduce ERM recurrence. It does not impair postoperative visual acuity, but it increases the surgical risks and causes anatomical damages. If active ILM peeling is significantly associated with more microscotomas, it may contraindicate the ILM peeling during primitive idiopathic ERM surgery. Trial registration ClinicalTrials.gov, NCT02146144. Registered on 22 May 2014. Recruitment is still ongoing.

Resume Objectif Evaluer les resultats anatomiques et fonctionnels de la chirurgie des decollements de retine (DR) de janvier 2011 a novembre 2014. Materiels et methode Nous avons realise une etude retrospective sur 182 yeux de 175 patients, avec un suivi de 6 mois minimum, operes de DR au CHU de Nantes. Elle comprend 56 DR simples et 126 DR complexes traites en premiere intention par une chirurgie externe ou endoculaire ou chirurgie combinant les deux. L’analyse est basee sur la reapplication anatomique a l’issue d’un suivi d’au moins 6 mois apres la premiere chirurgie et sur l’evolution de la meilleure acuite visuelle de loin corrigee (MAVC). Resultats Cent soixante-deux vitrectomies, 15 indentations et 5 chirurgies combinees (vitrectomie + indentation) ont ete pratiquees. Le taux de succes anatomique global apres une seule operation concerne 131 yeux (72 %). Il passe a 163 yeux (90 %) au terme du suivi. Selon la typologie du DR, le succes anatomique a 6 mois apres une intervention concerne 47 DR simples (84 %) et 84 DR complexes (67 %). Au terme du suivi, ces taux passent, apres une ou plusieurs operations, a 53 DR simples (95 %) et 110 DR complexes (87 %). Pour tous les DR avec succes anatomiques, nous observons une amelioration visuelle ≥ 2 lignes (45 %) et une MAVC postoperatoire ≥ 5/10 dans 40 % des cas. Conclusion Cette etude confirme l’evolution vers plus de chirurgie endoculaire. Elle retrouve des resultats anatomiques et fonctionnels conformes aux donnees de la litterature avec un pourcentage d’environ 5 % de DR non reappliques malgre plusieurs operations.

The aim of the study was to assess the microperimetric consequences of active internal limiting membrane (ILM) peeling during idiopathic epimacular membrane (IEMM) surgery.This retrospective monocentric study included 32 eyes of 31 consecutive patients who underwent IEMM surgery. Internal limiting membrane integrity was assessed by ILM Blue staining after IEMM removal: peeling was spontaneous (Group S) or active (Group A). Preprocedure and postprocedure (1 and 6 months) examinations were performed using visual acuity determination, spectral domain optical coherence tomography and microperimetry.Twenty-two eyes had an "active ILM peeling" and 10 a "spontaneous ILM peeling." Both groups had comparable and significant improvements in visual acuity 6 months after surgery (+1.82 lines [+9 letters] [Group A] and +1.51 lines [+8 letters] [Group S], P0.01) associated with a significant reduction in optical coherence tomography central thickness (-99.9 μm [Group A], P0.01 and -62.2 μm [Group S], P = 0.05). Six months after surgery, the microperimetry showed more numerous and deeper microscotomas in the Group A than in the Group S (change in the number of microscotomas: 2.09 vs. -0.10, P = 0.06; change in deficit severity score: 13.18 dB vs. -2 dB, P0.01 for Group A and S, respectively). The number of microscotomas and also severity were increased in 63.6% of Group A patients and in only 20% of Group S patients. Microscotomas were most frequently located in IEMM and/or ILM areas.Internal limiting membrane peeling has progressively become generalized in IEMM surgery to reduce recurrences. This additional procedure does not change the postoperative visual acuity but increases the development of deeper microscotomas. The real impact on the quality of vision remains unclear.Active ILM peeling in IEMM surgery may be responsible for visual impairment related to its microtraumatic effects.

Resume Introduction Le domaine des uveites est en relation avec de nombreuses entites pathologiques. L’une des principales causes de baisse d’acuite visuelle chez ces patients est l’œdeme maculaire. Un volet de son traitement est represente par les corticoides d’utilisation peri- et intra-oculaire. Materiels et methode Le but de notre travail etait d’evaluer les criteres d’efficacite (sur l’amelioration de l’acuite visuelle et de l’œdeme maculaire ainsi que le delai de recidive) et de securite (sur l’apparition d’une hypertonie oculaire ou d’une cataracte) de ces differentes voies d’administration d’un corticoide apres une seule injection. Nous avons compare des patients traites par intra-vitreenne d’Ozurdex® versus sous-conjonctivale de triamcinolone versus sous-tenonienne de triamcinolone. Il s’agit d’une etude retrospective realisee dans 2 centres tertiaires, le CHU de Nantes et l’hopital de la Pitie-Salpetriere de novembre 2011 a novembre 2013. Resultats Au temps initial, 25 % des patients presentaient une AV superieure a 5/10. Au cours du suivi, cette proportion a augmente a 45 % a M1, 49 % a M6 et 48 % en fin de suivi. Il n’y avait pas de difference significative en termes de gain d’AV entre les 3 groupes. Les reductions d’EMC moyennes par rapport a j0 (soit un gain d’une ligne logarythmique en log-OCT) etaient toutes statistiquement significatives. De facon generale, on a observe une amelioration d’epaisseur maculaire de 88 % a M1, 61 % a M6 et 60 % en fin de suivi, significative a chaque temps (p = 0,001) Il n’a pas ete retrouve de difference significative entre les 3 groupes. Un comparatif des delais de recidive anatomique et visuelle a ete realise sans difference. La plus forte augmentation de TIO a ete observee a M1 statistiquement differente par rapport aux autres temps. Discussion Les injections intra- et peri-oculaires sont a considerer comme un traitement adjuvant, car la majorite des pathologies considerees necessitent un traitement general de fond. Elles permettent d’avoir des concentrations intra-vitreennes plus efficaces avec moins d’effets systemiques. Conclusion A terme, nous n’avons pas demontre de reelle superiorite d’un des 3 traitements. Il n’y a pas eu de difference de tolerance entre les 3 groupes non plus.