11 results on '"Pickering, M.E."'
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2. Comparaison du profil de risque cardiovasculaire des patients ayant une arthrose digitale ou une polyarthrite rhumatoïde
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Mathieu, S., primary, Lambert, C., additional, Fayet, F., additional, Salembien, M.H., additional, Couderc, M., additional, Beauger, M., additional, Ladouce, F., additional, Malochet-Guinamand, S., additional, Pickering, M.E., additional, Tournadre, A., additional, and Soubrier, M., additional
- Published
- 2022
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3. Évolution de la densité minérale osseuse après 5 ans de traitement anti-TNF dans la spondyloarthrite axiale
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Beauger, M., primary, Alia, T., additional, Lambert, C., additional, Fan, A., additional, Couderc, M., additional, Mathieu, S., additional, Tournadre, A., additional, Pickering, M.E., additional, Malochet-Guinamand, S., additional, and Soubrier, M., additional
- Published
- 2022
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4. Trajectoires et facteurs influençant l’évolution du hand grip chez les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde
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Squercioni, B., primary, Pereira, B., additional, Beauger, M., additional, Ladouce, F., additional, Couderc, M., additional, Malochet-Guinamand, S., additional, Mathieu, S., additional, Pickering, M.E., additional, Soubrier, M., additional, and Tournadre, A., additional
- Published
- 2022
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5. O.66 - La périostine est associée à un plus grand risque de calcifications de l’aorte abdominale chez la femme ménopausée
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Pickering, M.E., Sornay-Rendu, E., Szulc, P., Pereira, B., and Chapurlat, R.
- Published
- 2016
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6. Trajectoires d’utilisation des corticoïdes sur 2 ans au cours du traitement de la polyarthrite rhumatoïde
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Delteil, A., primary, Lambert, C., additional, Pereira, B., additional, Couderc, M., additional, Malochet-Guinamand, S., additional, Mathieu, S., additional, Pickering, M.E., additional, Villedon de Naide, M., additional, Soubrier, M., additional, and Tournadre, A., additional
- Published
- 2021
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7. La périostine est associée à un plus grand risque de calcifications de l’aorte abdominale chez la femme ménopausée
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Pickering, M.E., primary, Sornay-Rendu, E., additional, Szulc, P., additional, Pereira, B., additional, and Chapurlat, R., additional
- Published
- 2016
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8. Étude PHONERIC : étude transversale monocentrique sur l'utilisation du smartphone dans trois pathologies articulaires des mains.
- Author
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Mathieu, S., Riou, C., Beauger, M., Couderc, M., Ladouce, F., Malochet-Guinamand, S., Pickering, M.E., Squercioni, B., Soubrier, M., and Tournadre, A.
- Abstract
Les patients ayant une arthrose digitale (AD), une polyarthrite rhumatoïde (PR) ou un rhumatisme psoriasique (Rpso) peuvent avoir des arthralgies, des synovites, des érosions radiographiques et un handicap fonctionnel lors des gestes fins des doigts. Aucune étude n'a évalué et comparé l'impact de ces pathologies sur l'utilisation du smartphone qui fait maintenant partie du quotidien des patients. Des utilisateurs intensifs du smartphone (plusieurs heures par jour) ont rapporté la survenue de douleurs articulaires, notamment du pouce ou de paresthésies dans les doigts. Ces utilisateurs étaient souvent des jeunes sans pathologie articulaire sous-jacente. L'objectif de notre étude est d'évaluer les patients ayant une AD, une PR ou un Rpso lors de l'utilisation de leur smartphone. Les patients vus entre juin 2023 et août 2024 pour une AD, une PR ou un Rpso ont été invités à remplir un questionnaire pour savoir si l'utilisation de leur smartphone occasionne des douleurs des doigts, des paresthésies et si leur rhumatisme cause une gêne fonctionnelle qui limite son utilisation. Nous avons recherché une association entre l'existence d'une gêne fonctionnelle ou d'une douleur lors de l'utilisation de leur smartphone et les paramètres d'activité clinique et radiographique de la pathologie articulaire. Enfin, nous avons comparé les résultats entre les 3 pathologies articulaires. 360 patients (82 AD, 175 PR et 103 Rpso) dont 261 femmes (72,5 %) avec un âge moyen de 61,5 ans ont été inclus. 108 étaient en activité et 174 avaient ou avaient eu une activité professionnelle manuelle. Sur les 329 patients qui ont un smartphone, 84/325 rapportent une douleur du pouce lors de son utilisation, 87/324 une douleur des doigts, 79/319 des paresthésies et 92/320 une gêne fonctionnelle. Dans les 3 pathologies articulaires, les douleurs des doigts et du pouce sont plus fréquentes chez les femmes par rapport aux hommes et chez les patients en invalidité par rapport aux actifs et aux retraités. La présence d'érosions radiographiques, de déformations des doigts ou de synovites cliniques n'est pas associée à la survenue de douleurs articulaires. À l'inverse, plus la maladie est active selon le patient ou le médecin et plus la fréquence des douleurs est élevée. Il y a aussi une association significative avec l'EVA douleur, l'indice articulaire et le nombre d'heures moyen d'utilisation. La survenue de douleur des doigts est associée à un score fonctionnel plus élevé (FIHOA, HAQ ou score de Cochin). Dans la PR et le Rpso, il n'y a pas d'association entre la survenue de douleurs et le score DAS28CRP. Le pourcentage de patients avec une douleur du pouce ou des doigts est significativement plus élevé (p < 0,001) dans le groupe arthrose digitale (respectivement : 33/77 (42,9 %) et 35/77 (45,5 %)) versus (26/153 (17 %) et 29/151 (19,2 %)) dans le groupe PR et (25/95 (26,3 %) et 23/96 (24 %)) dans le groupe Rpso. Nous avons les mêmes résultats pour les paresthésies ou la gêne fonctionnelle plus fréquentes en cas d'arthrose digitale. Les 3 pathologies articulaires impactent le quotidien des patients mais la douleur articulaire, les paresthésies et la gêne fonctionnelle lors de l'utilisation du smartphone sont plus fréquentes en cas d'arthrose digitale. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2024
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9. Caractéristiques cliniques et paracliniques de la cohorte française d'ostéopathie au méthotrexate METHOFRACT.
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Robin, F., Ghossan, R., Mehsen, N., Triquet, L., Coiffier, G., Mina, M., Pickering, M.E., Barthe, C., Paccou, J., Roitg, I., Hauzeur, J.P., Chatelus, E., Koumakis, E., Aubrun, A., Branquet, M., Legrand, J.L., Schaeverbeke, T., Leloix, A., Massy, E., and Masson, M.
- Abstract
L'ostéopathie induite par le méthotrexate est une affection rare. Elle est souvent révélée par des douleurs des membres inférieurs liées à des fractures/fissures osseuses métaphysaires, principalement du tibia ou des os du pied. L'objectif principal de cette étude était d'identifier la population affectée et éventuellement d'identifier des facteurs de risque. Nous avons mené une étude rétrospective multicentrique incluant tous les patients identifiés comme présentant une présentation clinique et/ou paraclinique évocatrice d'ostéopathie liée au MTX. Étaient inclus, par ailleurs, des patients identifiés par la pharmacovigilance nationale, après analyse du dossier médical par l'investigateur principal (FR). Les données recueillies étaient cliniques (recherche des causes classiques et des facteurs de risque de la fragilité osseuse, modalités de traitement après le diagnostic, localisation des fractures), densitométrique (résultats de la densité minérale osseuse au moment du diagnostic et au cours du suivi si disponible), biologique (bilan biologique à la recherche d'une ostéopathie fragilisante) et d'imagerie (imagerie utilisée pour le diagnostic). Entre 2012 et 2024, 64 patients ont été identifiés comme atteints d'ostéopathie au MTX sur la base principalement d'une description clinique et d'imagerie évocatrice (Fig. 1) auxquels s'ajoutent dix autres patients identifiés par la base de données française de pharmacovigilance. Il s'agissait principalement de femmes ménopausées (69/74, 94 %) atteintes de polyarthrite rhumatoïde séropositive (55/74, 74 %), avec des antécédents de fracture ostéoporotique sévère dans 22 % des cas et une ostéoporose densitométrique au moment du diagnostic chez 53 % des patients. Le rhumatisme au diagnostic était inactif ou peu actif (93 %). Seuls 31 patients (42 %) avaient une corticothérapie avec une dose moyenne de 6 (±3) mg/j. La modalité de prise (per os ou sous-cutanée) ou la dose de MTX ne semblait pas en lien avec le développement de ces fractures. Les fractures se situaient principalement dans les régions métaphysaires du tibia (85 %) ou sur les os du pied (55 %), avec des localisations multiples fréquentes (78 %). Le délai diagnostique était souvent important, expliquant la survenue de fractures répétées et s'additionnant au cours du temps (64 %). Le diagnostic était réalisé par IRM de la localisation douloureuse (85 %), mais la scintigraphie osseuse était également utilisée (32 patients, 45 %). Le traitement comprenait classiquement l'arrêt du méthotrexate (89 %) avec l'ajout d'un traitement complémentaire (principalement par bisphosphonates [BP]) chez 42 patients (58 %). L'évolution des douleurs et des fractures a été bonne chez 83 % des patients. Sur les 25 patients évalués à distance (6 mois) traités par arrêt du MTX seul, 92 % présentait une bonne évolution clinique avec cicatrisation sans nouvelle fracture contre 79 % (33 patients) chez les patients traités par arrêt du MTX et BP. Sur les 8 patients chez qui le MTX était maintenu, 50 % présentait une cicatrisation lente ou une nouvelle fracture. Huit patients ont bénéficié de tériparatide en monothérapie ou en association avec une bonne évolution clinique chez sept d'entre eux. L'ostéopathie induite par le méthotrexate reste une affection rare mais doit être connue et évoquée, surtout en cas de douleurs des membres inférieurs de patientes ménopausées, non expliquées par un déséquilibre du rhumatisme sous-jacent et ne correspondant pas à des localisations de fractures ostéoporotiques classiques. Dans la majorité des cas, l'évolution clinique a été favorable, l'arrêt du méthotrexate permettait une amélioration clinique avec ou sans ajout de BP. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2024
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10. Tolérance du tramadol et de la morphine chez les patients hospitalisés en 2022 dans un service de rhumatologie.
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Roullier, B., Couderc, M., Malochet-Guinamand, S., Pickering, M.E., Soubrier, M., Tournadre, A., and Mathieu, S.
- Abstract
Le motif principal d'hospitalisation en rhumatologie reste la douleur. La prescription d'antalgiques, notamment d'opioïdes selon l'intensité douloureuse est ainsi fréquente. Les patients hospitalisés sont souvent âgés avec des comorbidités rendant parfois délicate l'utilisation des opioïdes. Nous avons discuté de cas d'évènements indésirables graves (EIG) lors de réunions de morbi-mortalité en lien avec les morphiniques. L'objectif de cette étude est d'évaluer la tolérance de la morphine et du tramadol chez des patients hospitalisés et de rechercher les facteurs de risque d'évènements indésirables. Les patients hospitalisés en 2022 pendant au moins 48 heures ont été inclus. Leur âge, sexe, indice de masse corporelle (IMC), comorbidités (score de Charlson) ont été recueillis, tout comme le motif d'hospitalisation et l'intensité douloureuse à l'admission. Le traitement antalgique (paracétamol, tramadol, morphine ou autres) initié lors de l'hospitalisation et la dose maximale prescrite ont été colligés. Nous avons défini comme « bonne tolérance » la survenue d'aucun d'évènement indésirable. Un EIG était retenu en cas d'agitation ou confusion, de somnolence, de syndrome occlusif, de sondage urinaire pour rétention ou de chute. Un évènement indésirable non grave (EING) était défini par la survenue transitoire et résolutive de nausées, vomissements, constipation ou vertiges en lien avec le tramadol ou la morphine sans nécessité d'arrêter ou de diminuer les doses de traitement. Sur 761 patients hospitalisés, 225 ont été exclus (hospitalisation < 48 heures [ n = 167] ou patients déjà sous morphine à l'admission [ n = 58]) et 142 n'ont pas reçu d'antalgiques. Sur les 394 autres patients (âge moyen 72 ans et 168 femmes [42 %]), 130 ont eu de la morphine (33,0 %) et 77 du tramadol (19,5 %). L'intensité douloureuse moyenne à l'admission était plus élevée dans le groupe morphine que tramadol (Echelle numérique : 6,6 ± 2,2 versus 5,1 ± 2,4 sur 10 en cm). Sous morphine (n = 130), nous avons constaté une bonne tolérance chez 50 % des patients (n = 65), un EING chez 40 % (n = 52) et un EIG chez 18,5 % (n = 24 avec 14 cas de somnolence, 4 de confusion, 3 sondages urinaires et 3 syndromes occlusifs). Ces pourcentages sont respectivement de 74 % (n = 57), 24,7 % (n = 19) et 2,6 % (n = 2) sous tramadol. Le seul facteur de risque associé à un EIG sous morphine est la présence de comorbidités avec un score de Charlson élevé (OR = 1,27 [IC95 % : 1,04–1,55]). Il y a une augmentation du risque avec l'avancée en âge sans significativité (OR = 1,03 [IC95 % : 0,99–1,06]). En cas d'EIG sous morphine, la durée d'hospitalisation est plus élevée (21,8 ± 16,0 versus 10,1 ± 7,0 jours ; p < 0,001). Nous n'avons pas retrouvé d'autre facteur de risque significatif (sexe, IMC, nombre de traitements quotidiens, créatininémie, hémoglobine, bilan hépatique) d'EIG ou EING sous morphine, notamment pas de lien avec la dose prescrite. Cette dernière est un peu plus élevée dans le groupe EIG mais sans significativité (38,7 ± 21,9 versus 32,7 ± 19,5 mg/jour ; p = 0,19). Sous tramadol, nous n'avons retrouvé aucun facteur de risque de survenue d'un EIG ou EING. Dans notre échantillon, le recours à la morphine s'est accompagné de plus d'évènements indésirables graves par rapport au tramadol, surtout en cas de comorbidités. L'évaluation des comorbidités, avec le calcul du score de Charlson, semble essentielle pour déterminer le rapport bénéfice-risque lors de la prescription de morphines. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2024
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11. Efficacité et tolérance des patchs de capsaïcine 8 % (QUTENZA®) : l'expérience d'un service de rhumatologie.
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Mathieu, S., Beauger, M., Couderc, M., Ladouce, F., Malochet-Guinamand, S., Pickering, M.E., Squercioni, B., Soubrier, M., and Tournadre, A.
- Abstract
L'application de patchs de capsaïcine 8 % est recommandée dans le traitement des douleurs neuropathiques localisées. Son application s'effectue en milieu hospitalier dans les centres d'évaluation et de traitement de la douleur ou dans les centres formés à son utilisation. Nous avons débuté en octobre 2019 les applications régulières pour les patients ayant des douleurs neuropathiques (score DN4 ≥ 4/10). L'intérêt de cette étude est d'évaluer l'efficacité et la tolérance des patchs de capsaïcine 8 % chez les patients traités dans notre service de rhumatologie. Les patients ayant eu un patch de capsaïcine 8 % entre le 30/10/2019 et le 31/12/2023 sont inclus dans l'étude. Leurs caractéristiques sont recueillies : âge, sexe, ancienneté de la douleur et score DN4. La pathologie à l'origine de la douleur neuropathique et l'intensité de la douleur le jour de la pose sont également recueillies. La tolérance du patch est évaluée le jour de la pose (sensation de brûlure, poussée hypertensive). Le patient est appelé 15 jours après la pose du patch pour lui demander s'il est amélioré, l'intensité de sa douleur et la survenue éventuelle de sensations de brûlures. Cent douze patients (âge moyen 62 ans et 70 % de femmes) ont eu l'application d'au moins un patch. La douleur neuropathique existait depuis en moyenne 5 ans. Les causes de cette douleur étaient sur le trajet d'une cicatrice opératoire (n = 31), une arthrose digitale (n = 26), une radiculalgie (n = 22), une neuropathie (n = 9) ou une autre cause parfois inconnue (n = 30). Soixante patients ont rapporté une amélioration (54 %) avec un pourcentage moyen d'amélioration de 59 %. L'intensité douloureuse moyenne est passée de 6,4 ± 1,9 à 4,5 ± 2,7 (p < 0,001). Cette amélioration de la douleur était significative quelle que soit son étiologie. Nous avons constaté aucune différence d'âge, de sexe, d'ancienneté de la douleur et de score DN4 entre les patients améliorés ou non. Aucun lien n'existait entre la présence de sensations de brûlure et l'efficacité du patch. 58 patients (54,7 %) ont eu des sensations de brûlures dans les suites de la pose, principalement d'intensité modérée à sévère (32/52 : 61,5 %) avec une durée moyenne de 2 jours. 31 patients ont eu une deuxième pose de patch. Sur les 8 non améliorés après la 1re pose, 6 ont constaté une amélioration après la 2e pose d'environ 50 %. Un patient non amélioré après la 1re et 2e pose a tenté une 3e pose, sans plus de succès. Sur les 23 améliorés après la 1re pose, 19/22 étaient améliorés après la 2e pose, 7/8 après la 3e pose et 4/4 après la 4e pose. Les délais moyens entre les poses étaient respectivement de 4,8, 7,2 et 7,4 mois. 16/22 ont eu des sensations de brulure après la 1re pose dont 9/14 d'intensité modérée à sévère. Ils étaient 12/22 après la 2e pose dont 8/12 d'intensité modérée à sévère. Après la 3e pose, 2/8 rapportaient une sensation de brulure d'intensité légère ayant duré 48 heures. La capsaïcine 8 % semble un traitement efficace dans 50 % des cas de douleurs neuropathiques localisées, quelque soit la cause de la douleur. Il semble bénéfique de renouveler la pose après échec de la 1re. Les sensations de brulures après la pose sont assez fréquentes, d'intensité le plus souvent modérée à sévère mais pendant une durée brève, environ 2 jours. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2024
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