Search

International audience

OBJECTIVE: The objective of the review is to explore the evidence that investigates behavioral and psychological mechanisms underlying the development of obesity in patients with craniopharyngioma, in order to map that evidence, identify gaps in the literature, and find avenues of future intervention.INTRODUCTION: Craniopharyngiomas are low-grade intracranial tumors of the supersellar region. Obesity is associated with the tumor or surgery or radiotherapy to treat the tumor, however, the behavioral and psychological processes contributing to that association are not clear. This review will provide a synthesized evidence base of the relevant research.INCLUSION CRITERIA: The scoping review will consider published studies with all types of study designs, including patients with childhood- or adult-onset craniopharyngioma. Articles assessing factors that may impact eating behavior will be included based on the following categories: eating behavior, obesity, neuroimaging, endocrine response, energy expenditure, sleep, and neuropsychology.METHODS: MEDLINE, Embase, and PsycINFO will be searched, in addition to Cochrane Library, Web of Science, Scopus, Clinical trials.gov, NICE evidence search, and International Standard Randomised Controlled Trial Number (ISRCTN). No limits will be placed on the scope of the search. Methodology will follow the proposed three-stage process with two independent reviewers at each stage, including an initial database search, screening of titles and abstracts of retrieved studies, full-text assessment for inclusion criteria, and hand searching of reference lists. Data will be extracted using a standardized charting form and summarized in tables. The data will be synthesized using a narrative summary and diagrammatic map and will be based on the evidence for each of the proposed research categories.

National audience; En étudiant les données longitudinales de la "Framingham Heart Study", Fowler, et Christakis (2008) en ont déduit que si les amis de nos amis, ou même les amis d'amis de nos amis sont heureux alors nous sommes plus susceptibles de devenir heureux. Et si finalement le bien-être au travail de certains salariés faisait le bien-être des autres? Au vu des recherches actuelles dans plusieurs disciplines et des transformations sociales et organisationnelles, se décentrer d'explications individualistes, essentialistes et atomistiques vers des compréhensions plus relationnelles, contextuelles et systémiques apparaît opportun (Borgatti et Foster, 2003). Telle est l'ambition de notre étude sur le bien-être au travail. À l'heure de la crise sanitaire que nous vivons depuis plus d'un an, qui a distendu fortement les liens sociaux et augmenté les fragilités psychologiques, le retour des salariés dans la sphère professionnelle doit être anticipé et préparé. Au travers d'une littérature scientifique pluridisciplinaire et de la confrontation entre les réseaux et les profils de bien-être au travail, notre objectif est de visualiser des clusters de bien-être au travail afin d'appréhender un "bien-être collectif". Les hypothèses de départ sont que les proximités (spatiale, de statut, de valeur) favoriseront la constitution de clusters entre les profils les plus semblables. À l'issu de notre étude de terrain, nous constatons que suivant le type de réseaux, le principe de proximité permet ou non d'expliquer les relations entre les profils de bien-être au travail.

Article relu et accepté à la conférence internationale avec actes IHRM 2020. Conférence annulée pour cause de Covid-19.