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El liberalismo mexicano de principios del siglo XIX estuvo influenciado por el pensamiento benthamiano, pero confrontándose con la realidad social estamental postvirreinal. El constituyente original coincidió en el sistema representativo como la metáfora que mantiene la ficción de que el poder procede del pueblo y, a partir de ello, manipular su nivel y modos de participación en la toma de decisiones fundamentales. En Hispanoamérica, las élites criollas (liberales y conservadoras), abanderaron la representación parlamentaria, aunque no la confundieron con la democracia. Los indios, castas y negros fueron excluidos y marginados de los proyectos nacionales plasmados en la letra constitucional, más aún, resultaron asimilados y despojados de sus bienes comunitarios (materiales e inmateriales). Sus legítimas demandas nunca fueron escuchadas por los representantes en el poder legislativo. Mexican liberalism in the early 19th century was influenced by Benthamian thought but confronted with the post-viceregal social reality. The original constituent agreed on the representative system as the metaphor that maintains the fiction that power comes from the people and based on this assumption, manipulate their level and modes of participation in fundamental decision-making. In Spanish America, the Creole elites (liberals and conservatives) championed parliamentary representation, although they did not confuse it with democracy. The Indians, castes and blacks were excluded and marginalized from the national projects embodied in the constitution, moreover, they were assimilated and deprived of their community assets (material and immaterial). Their legitimate demands were never heard by the representatives in the legislative power. Le libéralisme mexicain du début du XIXe siècle a été influencé par la pensée benthamienne, mais confronté à la réalité sociale post-vice-royale. Le constituant d'origine était d'accord sur le système représentatif comme la métaphore qui maintient la fiction selon laquelle le pouvoir vient du peuple et, sur cette base, manipule son niveau et ses modes de participation à n’importe quelle prise de décision. En Amérique espagnole, les élites créoles (libéraux et conservateurs) se sont fait les champions de la représentation parlementaire, sans toutefois la confondre avec la démocratie. Les Indiens, les castes et les noirs ont été exclus et marginalisés des projets nationaux inscrits dans la constitution, de plus, ils ont été assimilés et privés de leurs biens communautaires (matériels et immatériels). Leurs revendications légitimes n'ont jamais été entendues par les représentants du pouvoir législatif.