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Cet article analyse l’idée Leibnizienne d’une caractéristique universelle, partant du livre de Genèse 2, 19 : ‘’Yahvé Dieu modela encore du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel, et il les amena à l’homme pour voir comment celui-ci les appellerait : chacun devrait porter un nom que l’homme lui aurait donné. Cet acte de nomination sera dans la Bible dévolu, à Adam avant le péché. La Bible fait ressortir l’affirmation selon laquelle l’imposition des noms n’est pas l’apanage de tout le monde. C’est l’œuvre du premier homme : législateur ou l’Adam de la Bible, d’où sortira la langue adamique chère aux mystiques.