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Delay in termination of pregnancy among unmarried adolescents and young women attending a tertiary hospital abortion clinic in Trivandrum, Kerala, India

Authors :
Sowmini, C.V.
Source :
Reproductive Health Matters. Jun2013, Vol. 21 Issue 41, p243-250. 8p.
Publication Year :
2013

Abstract

Unwed pregnancy among adolescents is a disturbing event in Indian belief-systems, and very young motherhood limits girls' social, economic and educational prospects. Girls who seek abortions are always at higher risk for delay in care seeking; this paper looks at the reasons why. It reports the experiences of 34 unmarried adolescent girls and young women, aged 10–24 years, who obtained induced abortion from a tertiary care abortion clinic over a period of seven months in 2004. Ten were below 19 years of age, the rest were 20–24 years. Only eight of the 34 pregnancies were <12 weeks. The reasons for delay were fear of disclosure, lack of any support system and scarcity of resources. In 30 cases, the decision to terminate was made jointly with family members, especially the mother. Only half knew about contraception, of whom two used condoms. Only two of the partners accompanied the girl to the abortion clinic and another two offered some financial support. Because of the conflict between wanting to have sex and feeling guilty about it, these young people experienced terrible distress in the course of unwanted pregnancy. Comparing the adolescents who attended the clinic in 2004 with those we have seen in 2012–2013, the paper shows that as regards the essentials, much has remained the same. Les grossesses chez les adolescentes célibataires sont un événement troublant dans les systèmes de croyance indiens et la maternité chez les très jeunes femmes limite leurs perspectives sociales, économiques et éducatives. Les adolescentes qui souhaitent avorter courent toujours plus de risques de morbidité et de retard dans la recherche de soins car elles tendent à se faire soigner par des prestataires non formés ou non agréés. L'article décrit l'expérience de 34 adolescentes et jeunes femmes célibataires âgées de 10 à 24 ans, qui ont interrompu leur grossesse dans un centre d'avortement de soins tertiaires sur une période de sept mois en 2004. Dix étaient âgées de moins de 19 ans, les autres avaient de 20 à 24 ans. Seules huit des 34 grossesses étaient <12 semaines ; les raisons du retard étaient la peur de la révélation, le manque de tout système de soutien et la pénurie de ressources. Dans 30 cas, la décision d'avorter avait été prise conjointement avec les membres de la famille, spécialement la mère. La moitié seulement des femmes connaissait la contraception, et deux utilisaient des préservatifs. Seuls deux des partenaires avaient accompagné la jeune femme dans le centre d'avortement et deux autres avaient offert un soutien financier. En raison du conflit entre la volonté d'avoir des rapports sexuels et le sentiment de culpabilité, ces jeunes connaissaient une terrible détresse au cours de leur grossesse non désirée. Comparant les adolescentes qui ont fréquenté le dispensaire en 2004 avec celles que nous avons vues en 2012–2013, l'article montre qu'en ce qui concerne les points essentiels, la situation n'a guère changé. El embarazo entre adolescentes solteras es un suceso preocupante en los sistemas de creencias indias; la maternidad a una edad muy temprana limita las posibilidades sociales, económicas y educativas de las niñas. Aquéllas que buscan servicios de aborto siempre corren mayor riesgo de postergar la búsqueda de servicios y de morbilidad porque tienden a acudir a prestadores de servicios no capacitados o no autorizados. En este artículo se informan las experiencias de 34 adolescentes y jóvenes solteras, de 10 a 24 años de edad, que recibieron servicios de aborto inducido en una clínica terciaria de aborto, en un plazo de siete meses durante el 2004. Diez de ellas tenían menos de 19 años; el resto, de 20 a 24 años. Solo ocho de los 34 embarazos eran <12 semanas; las razones para postergar la búsqueda de servicios fueron: temor de revelación, falta de un sistema de apoyo y escasez de recursos. En 30 casos, la decisión de interrumpir el embarazo se tomó conjuntamente con miembros de la familia, en particular la madre. Solo la mitad tenía conocimiento de la anticoncepción; dos de ellas usaban condones. Solo dos de las parejas acompañaron a la adolescente a la clínica de aborto y otros dos ofrecieron algún apoyo financiero. Debido al conflicto entre querer tener sexo y sentirse culpable al respecto, estas jóvenes se sintieron muy afligidas durante su embarazo no deseado. Al comparar a las adolescentes que acudieron a la clínica en 2004 con las que vimos en 2012–2013, el artículo muestra que no han cambiado mucho la situación en cuanto a los puntos esenciales. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Details

Language :
English
ISSN :
09688080
Volume :
21
Issue :
41
Database :
Academic Search Index
Journal :
Reproductive Health Matters
Publication Type :
Academic Journal
Accession number :
87616823
Full Text :
https://doi.org/10.1016/S0968-8080(13)41700-7