Environmental indicators: establishing a common language for green building.

Environmental indicators for buildings have the potential to serve as a means of making the environmental impacts (and possibly benefits) of buildings visible to all relevant actors. In addition, indicators facilitate the consideration and management of an array of environmental issues in the relevant decision-making situations. The broad acceptance of indicators across different groups of decision-makers in different phases of a building's life cycle is especially important when indicators are not mandatory, but are to be used in voluntary bottom-up initiatives. The objective of the present study was to investigate if (and to what extent) a consensus on environmental indicators for buildings as ‘a common language for green building’ can be reached among core actors in the Danish building sector and what such indicators could look like. Based on an analysis of current indicator systems and a qualitative investigation of the views of different actor groups on environmental indicators for buildings, the areas of consensus and lines of conflict between the actor groups were identified. Four different technological frames were used to identify four different perceptions of environmental indicators. Applying the theory of the social construction of technology (SCOT) in a prospective way, the findings show that a closure of the indicator-debate on the basis of an all-actors consensus within the near future is unlikely. Instead, three likely scenarios are described for the future development of the indicator debate and the directions for different actors are identified to create a common language for the use of green building indicators. Les indicateurs environnementaux applicables aux bâtiments peuvent être un moyen utile pour rendre visible l'impact des bâtiments sur l'environnement (et, éventuellement, de leurs avantages) à tous les acteurs concernés. En outre, ces indicateurs facilitent la prise en compte et la réponse à un ensemble de questions environnementales lors du processus décisionnel. La large acceptation de ces indicateurs par les différents groupes de décideurs lors de diverses phases du cycle de vie d'un bâtiment est particulièrement significative lorsque ces indicateurs ne sont pas obligatoires mais qu'ils doivent être utilisés dans le cadre d'initiatives volontaires initiées per le terrain. L'objectif de la présente étude était de savoir si (et dans quelle mesure) on pouvait atteindre un consensus sur les indicateurs environnementaux applicables aux bâtiments et considérés comme ‘langage commun pour des bâtiments verts’ pour les principaux acteurs du secteur de la construction au Danemark; il s'agissait également de savoir à quoi pouvaient ressembler ces indicateurs. Sur la base d'une analyse des systèmes actuels d'indicateurs et d'une analyse qualitative de l'opinion des différents groupes d'acteurs quant aux indicateurs environnements applicables aux bâtiments, on a pu recenser les domaines consensuels et les axes de conflits entre les groupes acteurs. On a utilisé quatre cadres technologiques différents pour recenser quatre perceptions différentes des indicateurs environnementaux. Lorsque l'on applique la théorie de la construction sociale de la technologie (SCOT) de manière prospective, il apparaît qu'il est peu vraisemblable que le débat sur les indicateurs s'achève sur la base d'un consensus de tous les acteurs dans un proche avenir. Au contraire, l'auteur décrit trois scénarios possibles concernant l'avancée du débat sur les indicateurs et recense les axes d'évolution pour des acteurs différents afin de créer un langage commun permettant d'utiliser les indicateurs applicables aux bâtiments verts. Mots clés: élaboration d'un consensus, système d'aide à la décision, indicateurs environnementaux, bâtiments verts, construction sociale de la technologie (SCOT), évaluation de la durabilité [ABSTRACT FROM AUTHOR]