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Reply to comment by Gracz on 'Wetland drying and succession across the Kenai Peninsula Lowlands, south-central Alaska'.

Authors :
Klein, Eric S.
Berg, Edward E.
Dial, Roman
Source :
Canadian Journal of Forest Research; Feb2011, Vol. 41 Issue 2, p429-433, 4p
Publication Year :
2011

Abstract

Gracz (2011, Can. J. For. Res. 41: 425-428) proposes that the Good Friday earthquake of 1964 caused falling lake levels and drying wetlands on Alaska's Northern Kenai Lowlands (NKL). His hypothesis states that the earthquake increased hydraulic conductivity by fracturing a leaky confining layer, accelerating drainage of surface water into regional aquifers. We counter that a single model of draining does not apply across the heterogeneity of geomorphology and soils on the NKL. In particular, the NKL's glacial history precludes uniform application of a subsurface hydrologic model for lake draining and the nature of peat-based wetlands precludes its application to wetland drying. Instead, small, yet cumulative, climatic reductions in moisture surplus explain both observed lake level declines and vegetation changes. Moreover, and unlike a climatic hypothesis, a seismic hypothesis fails to explain lake drying elsewhere in Alaska. Although it is likely that the earthquake influenced some hydrologic features in the NKL, it is unlikely that a single hydrologic model based on a simple mechanical cause, e.g., downward drainage, adequately explains the changes observed across the whole NKL. Conversely, we maintain that the uniformity of the vegetation response seen across different landscapes, including wetlands, forests, and alpine areas, throughout the state of Alaska strongly supports a climatic hypothesis. Gracz (2011, Rev. Can. Rech. For. 41: 425-428) prétend que le tremblement de terre survenu le Vendredi saint en 1964 serait responsable de la baisse du niveau des lacs et de l'assèchement des zones humides des basses terres du nord de la péninsule de Kenai en Alaska. Selon son hypothèse, le tremblement de terre aurait augmenté la conductivité hydraulique en fracturant une couche encaissante non étanche, ce qui aurait accéléré le drainage de l'eau de surface dans les aquifères régionaux. Nous répliquons qu'un seul modèle de drainage ne peut s'appliquer étant donné l'hétérogénéité de la géomorphologie et des sols des basses terres du nord de la péninsule de Kenai. En particulier, l'histoire glaciaire des basses terres du nord de la péninsule de Kenai exclut l'application uniforme d'un modèle hydrologique souterrain pour le drainage des lacs et la nature des zones humides constituées de tourbe exclut l'application d'un tel modèle à l'assèchement des zones humides. Au contraire, des réductions légères mais cumulatives de l'excédent d'humidité dues au climat expliquent la baisse du niveau des lacs et les changements dans la végétation qui ont été observés. De plus, et contrairement à une hypothèse climatique, une hypothèse sismique ne peut expliquer l'assèchement des lacs ailleurs en Alaska. Bien qu'il soit probable que le tremblement de terre ait eu un effet sur certaines caractéristiques hydrologiques dans les basses terres du nord de la péninsule de Kenai, il est peu probable qu'un seul modèle hydrologique basé sur un cause mécanique simple, le drainage vers le bas par exemple, explique adéquatement les changements observés partout dans les basses terres du nord de la péninsule de Kenai. À l'inverse, nous maintenons que l'uniformité de la réaction de la végétation à travers différents paysages, incluant les zones humides, les forêts et les régions alpines, partout en Alaska milite fortement en faveur de l'hypothèse climatique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Details

Language :
English
ISSN :
00455067
Volume :
41
Issue :
2
Database :
Complementary Index
Journal :
Canadian Journal of Forest Research
Publication Type :
Academic Journal
Accession number :
57512599
Full Text :
https://doi.org/10.1139/X10-216