Back to Search Start Over

Host plant resistance to aphids in cultivated crops: Genetic and molecular bases, and interactions with aphid populations

Authors :
Catherine Dogimont
Véronique Chovelon
Abdelhafid Bendahmane
Nathalie Boissot
ProdInra, Migration
Génétique et Amélioration des Fruits et Légumes (GAFL)
Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
Unité de recherche en génomique végétale (URGV)
Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université d'Évry-Val-d'Essonne (UEVE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
Source :
HAL, Comptes Rendus Biologies, Comptes Rendus Biologies, 2010, 333 (6-7), pp.566-573, Comptes Rendus Biologies, Elsevier, 2010, 333 (6-7), pp.566-573
Publication Year :
2010
Publisher :
Elsevier BV, 2010.

Abstract

Host plant resistance is an efficient and environmentally friendly means of controlling insects, including aphids, but resistant-breaking biotypes have occurred in several plant–aphid systems. Our review of the genetic and molecular bases of aphid resistance in crop species emphasizes the limited number of aphid resistance genes and alleles. Inheritance of aphid resistance may be monogenic (dominant or recessive genes) or polygenic. Two dominant, aphid resistance genes have been isolated to date. They both encode NBS-LRR proteins involved in the specific recognition of aphids. Strategies to ensure aphid resistance effectiveness and durability are discussed. Innovative research activities are proposed.<br />La résistance génétiquement déterminée des plantes est un moyen efficace et respectueux de l’environnement de lutter contre les pucerons. Cependant, des biotypes de pucerons, capables de contourner les résistances, sont apparus dans plusieurs systèmes plantes–pucerons. Dans cet article, sur les bases génétiques et moléculaires des résistances aux pucerons chez les espèces cultivées, nous insistons sur le nombre de gènes de résistance aux pucerons disponibles est limité. Les résistances aux pucerons sont contrôlées par des gènes majeurs (dominants ou récessifs) aussi bien que par des facteurs génétiques quantitatifs. Deux gènes de résistance aux pucerons ont été clonés jusqu’à présent, chez la tomate et le melon. Ils codent pour des protéines NBS-LRR, qui sont impliquées dans la reconnaissance spécifique des pucerons. Les stratégies de gestion dura

Details

ISSN :
16310691
Volume :
333
Database :
OpenAIRE
Journal :
Comptes Rendus Biologies
Accession number :
edsair.doi.dedup.....bd5ae5ceaa96e436049ba56ba1abd858
Full Text :
https://doi.org/10.1016/j.crvi.2010.04.003